À quelques jours de l’élection présidentielle, le président de la république sortant Emmanuel Macron connaît un grand déballement inédit dans l’histoire politique de notre pays.
En effet, depuis quelques semaines, il n’y a pas une journée où Macron et/ou de son gouvernement ne soient cités dans une affaire.
Du #PfizerGate, au #McKinseyGate, #TrogneuxGate, #AlstomGate, #RothschildGate ou encore #BlackRockGate, les scandales n’ont pas encore terminé d’éclabousser la Macronie et de mettre à jour, presque officiellement, un gigantesque système de corruption au sein même du sommet de la pyramide étatique, à quelques jours seulement du début du scrutin présidentiel.
Entre finance offshore, pratiques mafieuses, scandales sanitaires, étouffement de la justice, privatisation des services de l’État et en particulier de la police pour des intérêts partisans, etc. la Macronie termine le premier mandat du président en roue libre.
Cependant, même les grands médias, qui roulent pourtant tous pour Macron, sont obligés de traiter quelques informations, notamment à cause de l’emballement de l’opinion publique sur certains réseaux sociaux.
Le gouvernement essaie, il est vrai, tant bien que mal de répondre sur certains aspects de ces scandales mais la plupart du temps, le silence est de mise dans cette campagne présidentielle…
Il semble que cela soit la meilleure stratégie pour la République En Marche et quand on voit le niveau de certains, on comprend pourquoi…
Emmanuel Macron, président factuellement le plus détesté de l’histoire de la Ve République, est pourtant en passe de fêter sa réélection le 24 avril prochain, si l’on s’en tient à la Grande Narration officielle.
Là où d’autres n’auraient pas osé se représenter, Emmanuel, le liquidateur de la Patrie, avance fièrement dans cette élection, sans daigner débattre avec ses concurrents.
Mais ce qui va nous intéresser ici dans cet article, c’est une phrase qui résume à elle seule cette mascarade présidentielle et les véritables enjeux derrière Macron.
En effet, un certain Alain Minc, petit conseiller obscur des hautes sphères politiques françaises et fréquemment invité dans les grands médias, a répété une phrase qui est passée totalement inaperçue…
« Macron a signé un CDI avec la Providence »
Alain Minc a donc formulé presque mot pour mot « Macron a signé un CDI avec la Providence », phrase déjà prononcée à l’occasion de l’élection présidentielle de 2017. Celui qui s’est longtemps présenté comme le mentor d’Emmanuel Macron en politique n’a donc pas hésité à ressasser ce « mantra » à la suite d’une de ses sorties médiatiques pré-présidentielle.
Et alors me direz-vous ? Minc a déjà 72 ans et il ne serait pas la première personne âgée à radoter…
Par cette formule, ce fils de dentiste communiste a simplement voulu insister sur le fait que Macron est un potentiel « sauveur » (pour qui ?) et qu’il a une mission surnaturelle à accomplir…
On pourrait aisément souscrire à cette analyse. Mais rien n’est moins sûr, quand on connaît un peu le personnage (Alain Minc) et les sphères de pouvoir qu’il représente. On peut légitimement se dire que le petit Minc est porteur d’un message… Pour le peuple de France, peut-être, pour Emmanuel Macron, cela est certain…
Mais alors quelle est la signification cachée derrière la phrase « Macron a signé un CDI avec la Providence » ?
Pour le comprendre, il est important de s’intéresser à la biographie d’Alain Minc. En effet, ce fils d’immigrés juifs-biélorusses, est un pur produit de la haute bourgeoisie cosmopolite qui a fait ses classes dans la France post- seconde guerre mondiale.
Cet élève des lycées Turgot et Louis-le-Grand est à la base un ingénieur des mines de Paris (1968), diplômé de l’IEP de Paris (promotion 1971) qui sort ensuite major de l’ENA (promotion Blum) à la fin des années soixante-dix.
Chose intéressante, en cette période de Great Reset, Minc fait partie de la première promotion (1981) des « Young Leaders » de la French American Foundation.
Ce haut fonctionnaire (inspection générale des finances) va, à partir des années quatre-vingt, parcourir le secteur privé et occuper des postes de direction dans des grandes entreprises (Compagnie Générale des Eaux, Saint Gobain etc.) et flirter naturellement avec les sphères de la Haute Finance et des médias (Banque de conseils, Compagnies européennes réunies, groupe Bolloré, Le Monde, SANEF, etc.)
Il est concrètement une figure de l’hyperclasse en France. Sans en être l’un des acteurs majeurs (à l’instar d’un David de Rothschild), ce membre du club Le Siècle est en quelque sorte un V.R.P, un rabatteur de l’établissement (en particulier pour les réseaux Rothschild). Il est chargé de trouver le nouveau poulain de l’oligarchie financière (ex. Sarkozy) pour lui faire accomplir l’agenda politique décidé par les réseaux mondialistes.
Minc est le pendant de Jacques Attali, en plus petit.
Médiatiquement celui qui se targue d’avoir permis à Emmanuel Macron d’entrer à la banque Rothschild & Co en passant un coup de fil à David de Rothschild pour soutenir sa candidature, est en vérité loin d’être le seul.
Minc fait partie d’un réseau de « sentinelles » lié à la Banque de l’avenue de Messine. Macron a d’ailleurs été également « validé » par deux grands amis de Minc, le président de Sanofi, Serge Weinberg (ancien chef de cabinet de Laurent Fabius), et l’avocat d’affaires Jean-Michel Darrois, que Macron a rencontrés dès 2007 à la commission Attali et qui lui permettent d’entrer chez Rothschild, comme l’explique parfaitement le documentaire d’Off Investigation.
C’est véritablement ce trio qui présente Macron à François Henrot, bras droit de David de Rothschild comme l’indique un article, bien renseigné du Figaro.
Minc est aussi l’une des « bouches » médiatiques de l’establishment. Mais qu’a-t-il donc voulu dire avec cette phrase ?
Et si autour de cette formule, aux accents mafieux, répétée par Alain Minc : « Macron a signé un CDI avec la Providence », se cachaient toutes les réponses aux nombreuses zones d’ombre et questions que soulèvent le cas Emmanuel Macron ?
Ce slogan déjà ânonné quelques semaines avant l’élection de 2017 et désormais renouvelé en 2022, ne vise-t-il pas à faire écho au déferlement de révélations qui s’abat actuellement sur le candidat Macron.
Ses « parrains » veulent-ils lui faire passer un message… La question peut se poser.
D’ailleurs, derrière l’expression « La Providence » : n’y a-t-il pas un sens caché autour de Brigitte et des millions gagnés chez Rothschild, qui sont réapparus à l’occasion du RothschildGate et du documentaire publié par Off Investigation ?
Les initiés le savent, le storytelling autour d’Emmanuel Macron et de Brigitte Macron est presque totalement romancé, fabriqué. De multiples zones d’ombre sont apparus ces derniers mois.
Comme chacun sait, La Providence, se trouve être le nom du lycée amiénois où Brigitte et Emmanuel Macron se sont rencontrés. Et il n’est pas impossible que ce lieu soit aussi le théâtre d’un secret structurant la personnalité et l’histoire d’Emmanuel Macron ?
Outre le fait, que la nature de la relation entre Brigitte et Emmanuel (25 ans d’écart), était un détournement de mineur à l’époque et donc une infraction pénale qui aurait dû valoir à Brigitte au minimum quelques soucis disciplinaires, la Providence semble avoir une signification toute particulière pour Emmanuel Macron…
La Providence LLC : la première rumeur du compte offshore
Pour ceux, qui ont un peu de mémoire et qui sont capables de remonter cinq années en arrière, il n’est pas difficile de se souvenir que La Providence était surtout le nom du premier gros scandale qui avait touché Emmanuel Macron au printemps 2017.
Souvenons-nous qu’à quelques heures du débat télévisé avec Marine Le Pen, un internaute anonyme avait fait fuiter deux documents sur 4chan, le plus grand forum du monde. Ces documents indiqués qu’Emmanuel Macron était actionnaire d’une entreprise domiciliée dans un paradis fiscal britannique.
En pleine affaire du #RothschildMacronGate, on peut légitimement se poser la question. Pourquoi l’affaire LLC La Providence a-t-elle été enterrée si facilement sur le plan médiatique ? Sur le plan politique, la présence d’Emmanuel Macron aux commandes de l’État, peut nous apporter rapidement la réponse, mais pour ce qui est des médias, le silence s’était totalement fait avant les révélations de Jean-Baptiste Rivoire et de son média.
Le paragraphe du Monde essayant d’enquêter ou de démonter la rumeur (ci-dessous en italique) mérite d’ailleurs de rester dans les annales du journalisme…
« De l’authenticité du document « Operating agreement »
Que penser de ce document ? Nous avons pu le comparer avec un autre du même type. En effet, à la suite de la fuite de données de la firme panaméenne Mossack Fonseca dont a découlé le scandale des « Panama papers » révélé en avril 2016, Le Monde a eu accès à un operating agreement (ou « accord d’exploitation »), provenant de Saint-Christophe-et-Niévès (Caraïbes), semblable à celui qui serait attribué à Emmanuel Macron pour la gestion de La Providence LLC.
La manière dont l’intégralité de ces accords sont rédigés est comparable, à peu de chose près, jusqu’à l’inclusion des paraphes sur chaque page. En tout état de cause, le jargon juridique utilisé dans les deux documents est analogue, de la manière dont sont spécifiées les définitions au début des différents documents à la structure même des accords, qui reprennent à l’identique des dizaines de clauses. De par la nature – assez rare – de ce type d’informations dans le domaine public, il semble difficile de croire qu’un « simple » farceur ait construit de toutes pièces ce document imputé à M. Macron.
Néanmoins, quelques différences et éléments troublants apparaissent. Si les deux documents sont bien écrits en anglais, la date mentionnée dans l’accord pour La Providence LLC utilise un format utilisé en français (jour, mois, puis année), alors que l’accord provenant de la base des « Panama papers » utilise la graphie anglaise (mois, jour puis année).
De plus, contrairement au document de la société panaméenne, les pages ne sont pas numérotées – ce qui semble étonnant pour un tel contrat. Enfin, autre fait d’importance, les deux contrats stipulent que « l’Annexe A de l’accord donne les actionnaires de la société et leur adresse ». S’il est vrai que l’annexe provenant de Mossack Fonseca donne bien l’adresse des actionnaires, l’annexe de La Providence LLC ne stipule qu’un seul nom. »
Ainsi, selon les « journalistes » du Monde, le format de date en français tendait à prouver que ce n’est pas Emmanuel Macron qui a signé ce document au format britannique, qui paraît néanmoins authentique… Bien sûr, rien ne nous est indiqué sur les signatures, la graphologie… Les investigations des courageux journalistes s’arrêtèrent simplement à des éléments formels.
Heureusement qu’Alain Minc n’était déjà plus au conseil de surveillance du Monde, car en matière de crédibilité journalistique, on aurait difficilement pu faire pire !
Au final, cette première affaire La Providence LLC et la phrase de Minc, s’ajoutant à tous les scandales de cette fin de mandat, démontrent en réalité qu’Emmanuel Macron a bien été choisi par une petite caste et qu’il doit exécuter le programme pour lequel il a été mis en place (La Grande Réinitialisation et la Liquidation de la France) sans trembler. Sinon quelques casseroles pourraient ressortir et l’éliminer rapidement…
Mais pour celui qui se dit ouvertement le « Hedge » (couverture) de David de Rothschild, il n’est pas certain que cet état de fait lui soit si désagréable…
À voir maintenant, si le peuple français et la Providence, laisseront ce petit employé de banque, liquider la France.
Marc Gabriel Draghi
2 Responses
C’était très bien vu, Monsieur Draghi. D’après votre article, il fallait tout simplement comprendre que l’élection ne dépend ni des « sondages », ni des votes, mais bien de ce que l’élite a décidé et fait passer comme message. Beaucoup, y compris parmi les nationaux, se sont encore laissés « prendre ». Quels seront les pronostics, pour la prochaine majorité présidentielle …? Monsieur MINC ayant prévu à l’avance (!) qu’Emmanuel MACRON n’aura pas de (vraie) majorité. La question d’un CDI avec la Providence fait tout de même frémir, s’agit-il d’un contrôle de type MK-Ultra ?
Excellent ! Par ailleurs, on sait que « MACRON » est l’anagramme de (grand) MONARQUE, ce qui serait de très bonne augure, en quelque sorte, en vue de l’arrivée de ce grand Roi :
https://charte-fontevrault-providentialisme.fr/index.php/2017/06/19/les-etranges-rapports-entre-le-president-macron-et-le-grand-monarque-reflexions-de-francois-xavier-pachot/