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GRAND ISRAËL ET GREAT RESET

Israël, great reset et le grand israël

Grande Guerre et Grande Terreur

Tout d’abord, le narratif de la Grande Guerre et de la Grande Terreur se trouve renforcé.

D’emblée après les évènements du 7 octobre, les médias de grand chemin, ont annoncé un séisme, un état de choc, des équations stratégiques bouleversées. Le Proche-Orient et le monde médiatique ont donc été plongés dans un état de sidération au sortir du week-end des 7 et 8 octobre 2023.

En effet, l’offensive surprise du Hamas n’a pas seulement eu pour conséquence le pire carnage qu’ait connu Israël en une journée depuis sa naissance il y a 75 ans, mais il a, à  nouveau, plongé le monde occidental dans la « terreur » du terrorisme de masse.

Logotype officiel du Hamas

Les exactions du Hamas qui ont fait (selon les chiffres israéliens) plusieurs centaines de morts et de blessés (on a dépassé le millier) ont rappelé à Israël que l’entité sioniste était en guerre.

D’ailleurs c’est le Premier ministre israélien lui-même qui a réagi à cette attaque en diffusant une déclaration ou il reprend ces mêmes termes et une posture belliciste traditionnelle du monde israélien (celle du chien enragé cher à Moshe Dayan).

Nethanyau l’a dit :

« Le Hamas paiera un prix sans précédent ! »

LN24

Cet événement dramatique qui a vu la mort de nombreux civils remet surtout sur le devant de la scène la cause palestinienne, que les chancelleries occidentales, les capitales arabes engagées dans une normalisation avec Israël et l’État hébreu lui-même avaient négligée au moins depuis les accords d’Abraham et la baisse des actes de résistances palestiniens.

Ainsi depuis l’été, le narratif de la guerre en Ukraine se trouvant au point mort, l’hyperclasse a donc choisi de doubler la guerre Russo-Ukrainienne par un narratif de guerre qui fonctionne efficacement en Occident au moins depuis le 11 septembre 2001, celui du narratif de guerre contre le terrorisme.

Car il n’est pas anodin de constater que les exactions du Hamas et leur communication calamiteuse (propre aux mouvements islamistes) a déjà contribué à déclencher une « guerre » de l’émotion au sein de l’opinion publique occidentale qui ne peut tolérer en aucun cas des exactions sur des civiles.

Évidemment il est néanmoins bon de rappeler que les autochtones dans le conflit israélo-palestinien ce sont les Palestiniens et que ce sont eux qui subissent une occupation, des persécutions, des humiliations et même des exactions de la part de l’entité sioniste qui viole depuis des décennies le droit international.

Néanmoins, il est vrai que la posture du Hamas peut rappeler par certains aspects les narratifs de Daesh et de l’État islamique auprès du grand public. D’ailleurs Nethanyau dans sa propagande n’hésite pas à qualifier les actes du Hamas de « pire que Daesh ».

L’occasion est donc trop belle pour l’Hyperclasse de fédérer le monde occidental derrière une nouvelle bannière, mais cette fois blanche et bleue, après celle bleue et jaune de l’Ukraine

Un « Occident collectif » solidaire du maître israélien

Depuis quelques jours la sécurité d’Israël et son droit à se défendre sont donc devenus les objectifs prioritaires du monde occidental.

« La France, les États-Unis, l’Allemagne, l’Italie et le Royaume-Uni vont aider Israël à se défendre. »

RPUE

Depuis les drames du 7 octobre 2023, le golem Macron ne passe pas une journée à ne pas déclarer son soutien à Israël.

Évidemment les sempiternels discours de propagande dépeignant Israël comme une « démocratie » nous revient jour après jour aux oreilles.

« La France se tient toujours aux côtés de la démocratie. Rien n’excuse le terrorisme et la barbarie », a déclaré la Première ministre Élisabeth Borne.

Dailymotion

Mais en réalité, voir Israël au cœur du nouveau narratif belliciste mondial n’est pas du tout surprenant.

Au grand dam de Zelensky, Israël pays qu’il connait bien, est le leader du mondialisme, une vitrine pour les élites occidentales.

Là où la guerre en Ukraine sert à créer de grands blocs en opposition comme lors de la guerre froide et surtout à liquider ce qu’il reste de l’homme caucasien, le « projet Israël » est lui central dans la gouvernance globale et le Moyen-Âge 2.0 qui se constituent tous les jours un peu plus.

Cette opération médiatique vise donc simplement à officialiser un état de fait pour les Nations occidentales : toutes derrière Israël (la lumière des Nations).

Être contre, ou simplement neutre concernant la sacralisation de l’entité sioniste c’est se placer en dehors du camp du bien et du champ politique acceptable dans nos sociétés davosiennes.

C’est un fait, depuis ce week-end d’octobre, le soutien à Israël conditionne désormais le niveau de respectabilité dans la République française.

Si bien que la France Insoumise alignée pourtant sur de nombreux objectifs mondialistes (invasion migratoire, wokisme, écologie, etc.) est en train de sortir de l’arc républicain au profit du RN (qui lui s’est soumis intégralement) à la posture prosioniste du gouvernement.

Le président de la LICRA officine sioniste et lobby pro-israélien en France (avec notamment le CRIF et l’UEJF) a décrété par exemple que Jean-Luc Mélenchon était sorti de l’arc républicain.

Le député israélien qui siège au parlement français Meyer Habib n’a pas hésité fustigé les « insoumis » en les accusant de faire de la cause palestinienne un fonds de commerce.

Dans les médias, le soutien à Israël suite aux exactions du Hamas est aussi régulièrement comparé au 11 septembre 2001, au Bataclan ou encore à Charlie Hebdo…

Ainsi ne pas soutenir Israël c’est soutenir le terrorisme islamiste mondial !

Les antifascistes du NPA pourraient d’ailleurs bientôt faire l’expérience d’un véritable totalitarisme en raison de leur activisme propalestinien en cette période de censure généralisée. La criminalisation de  l’hostilité à l’égard de la sacralisation d’Israël pourrait bien être la prochaine étape.

La communication et les actions du ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin vont en tout cas dans ce sens.

La dissolution de Civitas suite à des propos de Pierre Hillard (qui, rappelons-le, a simplement énoncé des faits historiques concernant le statut des juifs avant la révolution), mais aussi les interpellations et même expulsions expéditives de clandestins ayant professé des paroles antisémites, sont autant de preuves qu’il y a une volonté de « sacraliser » une communauté dans les sociétés occidentales.

Personne n’est plus aveugle que celui qui ne veut pas voir.

Pourtant le déroulement de ces évènements pose question. Comment les meilleurs services de renseignement du monde n’ont-ils pas pu être au courant d’une offensive terrestre d’une telle ampleur ?

Comment peut-on réellement expliquer que Tsahal, le Mossad, le ShinBet ou encore la CIA et la NSA n’aient pas réussi à intercepter la moindre information sur une opération se déroulant le jour du cinquantième anniversaire de la guerre de Kippour ?

Les meilleurs services de renseignements du monde n’auraient donc rien vu venir.

Cependant des « rumeurs » évoquent déjà que le gouvernement israélien – y compris Benyamin Netanyahou lui-même – avait été informé à plusieurs reprises par l’Égypte que les Palestiniens préparaient « quelque chose de gros », mais le gouvernement israélien aurait ignoré ces avertissements :

« Nous les avons prévenus que la situation allait exploser, et que, très prochainement, ce serait quelque chose de gros. Mais ils ont sous-estimé ces avertissements », a déclaré à l’Associated Press ce responsable, s’exprimant sous couvert d’anonymat.

Une information évidemment aussitôt démentie par les autorités israéliennes.

D’autres éléments évoquent que la mise en garde aurait été adressée personnellement à Benyamin Netanyahou par le ministre égyptien du renseignement, le général Abbas Kamel.

Ce dernier aurait prévenu le chef du gouvernement israélien dix jours avant l’attaque du Hamas que les Palestiniens de Gaza allaient probablement faire « quelque chose d’inhabituel, une opération terrible », selon le site Ynet, cité par The Times of Israel.

Ce même avertissement aurait été ignoré selon le site par Benyamin Netanyahou, qui aurait répondu que l’armée israélienne était déjà « submergée » par les troubles en Cisjordanie.

Évidemment quand les médias comparent les évènements du 7 et 8 octobre avec le 11 septembre 2001 ou encore les attentats en France, nous sommes en droit de nous poser la question si ces derniers n’ont pas tout simplement été exécutés sous faux drapeaux, ou en tout cas avec l’accord tacite des dirigeants israéliens.

Surtout quand on connait l’histoire du Hamas, mouvement qui a été aidé par Israël pour neutraliser le Fatah et l’autorité palestinienne.

Ces propos que certains pourraient qualifier de « complotistes » ont été tenus par Avi Primor, ancien ambassadeur d’Israël qui a déclaré dans une interview télévisée en 2015 que :

« C’est le gouvernement israélien, c’est nous qui avons créé le Hamas, afin de créer un poids contre le Fatah. »

Surprenant ? Pas vraiment quand on connait l’histoire du consortium Israël et les élites qui composent l’Hyperclasse. La dialectique hégélienne qui vise à contrôler l’antithèse de la thèse pour ensuite maîtriser la synthèse est même assez courante.

C’est même la stratégie constante d’Israël et de l’hyperclasse pour empêcher par tous les moyens, des négociations de paix. Mais aussi pour neutraliser les revendications légitimes du peuple autochtone palestinien.

Ainsi en faisant cela, la création des divisions et l’encouragement de la montée d’un ennemi indéfendable (car potentiellement terroriste), avec qui aucun compromis n’est possible, rendait possible la répression sioniste inconditionnelle et souhaitée pour l’établissement du Grand Israël.

Le Grand Israël et la fin de la question palestinienne

Il y a encore quelques décennies, des groupes laïcs comme le Fatah proposaient des solutions pacifiques, et en plus permettait à l’opposition chrétienne au Sionisme d’exister. Tandis que le Hamas (sponsorisé en grande partie par le Qatar et l’Iran) lui, veut la disparition d’Israël pour établir la loi islamique. Le champ politique n’est donc plus le même et il est vrai que sur cet aspect le Hamas est plus facilement assimilable à Daesh.

D’ailleurs, le Hamas avant l’offensive lancée le 7 octobre était contesté, car il fait régner l’ordre au sein même de Gaza en réprimant les autres mouvements et mobilisations. On pourrait presque dire que c’est la journée du 7 octobre qui vient de lui faire gagner une légitimité qu’il n’avait jamais au auparavant.

Mais quand on analyse un peu la situation, on peut se dire que le gouvernement israélien a lui-même créé son ennemi préféré.

En 2019, le Premier ministre déjà en poste s’était justifié d’avoir autorisé le Qatar à acheminer vers Gaza des fonds destinés à payer les fonctionnaires du Hamas de cette manière :

« Transférer de l’argent au Hamas» était la bonne stratégie pour «contrecarrer la création d’un État palestinien. »

Libération

Le résultat souhaité s’est matérialisé le 7 octobre au prix de centaines de morts parmi les civils israéliens.

Désormais au sein de l’ « Occident collectif », les justes revendications des autochtones palestiniens sont qualifiées de « terroristes » et comparées en France aux attentats du Bataclan comme d’ailleurs le prouve la rhétorique zémourienne.

Cet agent néoconservateur et sioniste, pourtant démasqué très vite par l’auteur Youssef Hindi, résume parfaitement le lancement du narratif officiel en déclarant que :

« Le combat d’Israël est celui de notre civilisation. »

Pour comprendre les objectifs politiques cachés d’Éric Zemmour, visionnez notre entretien avec Youssef Hindi :

C’est une politique d’anéantissement des Palestiniens qui est ainsi légitimée au niveau international.D’ailleurs tout de suite les autorités israéliennes ont communiqué sur le fait que l’électricité et l’eau à Gaza sont coupées ainsi que l’approvisionnement en gaz et nourritures.

Tandis que dans le même temps, le ministre israélien de la Défense Yoav Gallant a déclaré :

« J’ai ordonné un siège complet de Gaza. Nous combattons les animaux humains et agissons en conséquence », le 9 octobre.

Le Point

Une déclaration qui ne laissait pas présager une éventuelle retenue de Tsahal dans les représailles envers le Hamas et Gaza.

Benjamin Nethanyau  est donc le grand gagnant des évènements du 7 octobre.

Pourtant, il y a  encore quelques semaines, des manifestations énormes se déroulaient contre les réformes du Premier ministre.

Désormais face à une tragédie nationale que le narratif officiel n’hésite pas à comparer aux massacres de la Deuxième Guerre mondiale, il n’est pas question de laisser la place à  des protestations.

Par ce 11 septembre israélien, Nethanyau est parvenu à unir Israël et la diaspora derrière lui.

Et en réalité, le Premier ministre s’apprête à résoudre le problème palestinien définitivement, à coup de bombes sur les civils palestiniens et s’il y a encore une escalade (soutenue par le Hezbollah, l’Iran, etc.) en annexant définitivement Gaza et la Cisjordanie.

Au regard des premiers éléments, l’offensive Hamas du 7 octobre a vraisemblablement été un « inside job » comme l’hyperclasse adore réaliser. Tout est permis lorsqu’il s’agit d’opérer « un saut qualitatif » dans l’accomplissement du programme de gouvernance globale.

Évidemment pour la géopolitique de façade certains analystes expliquent déjà que « tout cela va compliquer et ralentir le processus de normalisation entre Riyad et Israël », illustré par la première visite officielle en Arabie saoudite de ministres israéliens ces derniers jours, mais il n’en est rien l’Arabie Saoudite,  ou encore les Émirats arabes unis, le Maroc, etc. adopteront une simple position de principe en évoquant les droits du peuple palestinien tout en traitant et travaillant avec l’autorité sioniste dans l’ombre, comme ils l’ont toujours fait depuis cinquante ans.

Mais alors quel est le rapport direct entre cette nouvelle escalade au Proche-Orient et l’accomplissement de la Grande Réinitialisation ?

En réalité, si nous posons le principe que nous sommes dans le Chapitre II « Guerre » du Grand Récit davosien, cette opération de guerre israélienne, couplée à la terreur médiatique prend tout son sens, et elle va accélérer le processus de nos nations.

Ne pas soutenir les bourreaux des Nations

Évidemment beaucoup de Français autochtones patriotes n’arrivent pas à comprendre le lien entre la cause palestinienne et la liquidation de notre propre nation.

À première vue, la tentation zemmourienne qui consiste à dire que la France a le même ennemi qu’Israël c’est-à-dire en gros les Arabes et l’Islam est facile à démontrer.

Cependant il n’en est rien. Un patriote français doit se détourner de la propagande sioniste et défendre la cause palestinienne, car elle est la transcription concrète de l’attaque de l’hyperclasse contre un peuple autochtone.

Chez nous, ce sont les mêmes qui promeuvent l’invasion migratoire et le métissage généralisé, qui défendent à l’inverse agressivement Israël sur les plateaux de télévision. La sécurité et le caractère juif d’Israël oui, la sécurité et la préservation de l’identité française non !

Et dites-vous bien que les migrants clandestins qui viennent avec la permission de nos gouvernements ne viennent pas pour la Gloire d’Allah, mais bien pour les attraits de Mamon.

George Soros

Des ONG occidentales, payées par des financiers comme George Soros, se font un plaisir de vanter la migration vers l’Occident dans le monde africain et musulman. D’ailleurs, il est drôle de se souvenir qu’un homme comme Soros promouvait la coopération entre le Hamas, Israël et les États-Unis en 2007, dans une tribune.

Pour nous patriotes, nous devons garder à l’esprit que les palestiniens qui sont de toutes confessions, qui fréquentent des mosquées et des églises, sont martyrisés sur leur propre sol par les mêmes qui organisent le pillage, l’invasion et la destruction de nos pays européens.

En Terre Sainte, c’est bien la destruction et la persécution d’un peuple autochtone qui doit nous rendre solidaires du combat palestinien !

De plus au niveau du droit international, l’entité sioniste est bien une puissance d’occupation qui viole délibérément depuis des décennies de multiples résolutions onusiennes.

Et contrairement au narratif officiel, ce qui se passe en Palestine n’est pas un combat keffieh contre kippa, c’est un combat d’un peuple autochtone contre un consortium (une mega entreprise).

Le Mondialisme qui veut la dissolution de toutes les nations s’en sert comme un laboratoire et un prétexte.

Car Israël n’est pas une Nation, c’est une entité sans frontières, sans peuple véritable. L’économie israélienne n’est pas une économie autonome, elle ne survit qu’en pompant les mannes financières de la diaspora et d’autres nations.

Vous en voulez la preuve ? Coupez l’aide militaire occidentale à Israël et les liens financiers avec l’Europe et les États-Unis. Et l’État d’Israël ne survivra pas une semaine…

Le consortium Israël : vitrine du Nouvel Ordre Mondial

En réalité, le projet sioniste est la vitrine du mondialisme.

Revoir Benjamin Nethanyau à la tête du consortium israélien alors que le monde est en pleine instauration de la grande réinitialisation n’a rien d’anodin.

Nethanyau a été un exécutant zélé de l’étape 1 du Great Reset, à savoir la pandémie et l’application des mesures sur ses populations (vaccin, green pass)

L’hyperclasse a édifié Israël comme l’explique très bien Jacob Rothschild dans une interview par l’intermédiaire de la puissance et du contrôle des grandes banques centrales. Son rôle est de servir de modèle et pas seulement en termes de vaccins ou de guerre (État sécuritaire / surveillance généralisée), mais également en termes de nouvelles sociétés.

Comme le dit le désormais célèbre écrivain catholique Pierre Hillard, la Grande Réinitialisation est en quelque sorte  « une réparation du monde » voulue par l’Hyperclasse transnationale.

NB : Petite précision évidente, mais nécessaire : la caste mondialisée n’est pas uniquement composée d’individus se définissant comme « juif », elle regroupe des individus aux origines et ethnies diverses et variées. Néanmoins, la composante judéoprotestante de cette caste est très importante.

Israël et la 4e révolution industrielle

En cette ère de réinitialisation forcée, Israël est tout simplement l’État le plus avancé dans le développement de ce que le Forum Économique mondial désigne comme la 4e révolution industrielle.

Elle constitue même le sujet et le titre d’un livre de Klaus Schwab.

Fusion intelligence humaine et artificielle
Klaus Schwab

Bien que Schwab ne soit qu’un VRP de luxe, un porte-parole de l’hyperclasse. Derrière sa personne se cache un programme politique partagé par une multitude de forces et d’individus qui malgré des oppositions d’ego, travaillent pour les mêmes objectifs.

Dès 2016, bien avant le lancement officiel du Great Reset, Schwab avait expliqué le concept de 4e révolution industrielle de cette manière :

« La quatrième révolution industrielle ne ressemble à rien de ce que l’humanité a connu par le passé. Avec les nouvelles technologies, la fusion des mondes physique, numérique et biologique porte autant de promesses que de dangers potentiels. Par sa rapidité et sa globalité, cette révolution nous oblige à repenser notre politique, notre économie, et le sens même de notre humanité. »

Dans son ouvrage le patron de Davos souligne les espoirs et les options qu’elle induit, sur des champs immenses – l’intelligence artificielle, la robotique, l’internet des objets, les véhicules autonomes, l’impression en 3D, les nanotechnologies, les biotechnologies, le stockage d’énergie, l’informatique quantique.

Pour Schwab, cette quatrième révolution industrielle suggère de nouvelles formes de collaboration et de gouvernance qui permettront à l’humanité d’orienter la quatrième révolution industrielle au profit de tous. En bâtissant un avenir dans lequel l’innovation et la technologie sont orientées vers le bien commun, il dit que nous aiderons l’humanité à se hisser à un degré de moralité supérieure…

En réalité, un autre penseur a parfaitement synthétisé ce saut qualitatif que l’humanité est en train de connaitre il s’agit de l’écrivain israélien, homosexuel et végane Yuval Noah Harrari mascotte du WEF également.

Lui aussi, plus efficacement que Schwab, dans sa 4e de couverture d’Homo Deus (les hommes-dieux), Harari a résumé ce à quoi nous allons être soumis dans le futur :

« Homo Deus nous dévoile ce que sera le monde d’aujourd’hui lorsque, à nos mythes collectifs tels que les dieux, l’argent, l’égalité et la liberté, s’allieront de nouvelles technologies démiurgiques. Et que les algorithmes, de plus en plus intelligents, pourront se passer de notre pouvoir de décision. Car, tandis que l’Homo Sapiens devient un Homo Deus, nous nous forgeons un nouveau destin. »

ynharari.com

Cette 4e révolution industrielle qui est en réalité un totalitarisme digital à la devanture verte qu’on nous présente comme un défi, est la tentative concrète de l’hyperclasse de réifier l’humanité dans sa globalité.

Et chose qui peut paraître surprenante, le peuple de Palestine est en première ligne dans cette tentative de transformation (réparation) du monde.

Lors d’un entretien, Harari a expliqué ce lien entre Palestinien et « chosification » des hommes :

« Pirater les gens signifie connaître les gens mieux qu’ils ne se connaissent eux-mêmes… Et nous arrivons déjà à l’émergence des régimes de surveillance totale comme dans mon pays en Israël où nous avons un grand laboratoire de surveillance appelé « les territoires occupés » où il y a 2,5 millions de cobayes, qui montre comment surveiller et contrôler complètement une population avec très peu de soldats. »

Crowdbunker

La Grande Réinitialisation qui porte comme objectifs, la digitalisation du monde, la fusion entre le biologique et le numérique, le contrôle total des individus, etc. ne peut qu’apprécier la réalisation finale du Grand Israël qui après les exactions du Hamas sur les civils va se charger de régler la question palestinienne, c’est-à-dire la destruction et la liquidation finale d’un peuple autochtone au profit d’un projet de l’oligarchie transnationale.

La Start Up Nation qui a atteint l’ensemble des objectifs du WEF, a été, répétons-le, la Nation la plus zélée pour appliquer le narratif covidien (vaccin, green pass).

Mais le consortium israélien, parfait modèle du capitalisme des parties prenantes (capitalisme inclusif) est aussi à l’avant-garde tout un tas de secteurs promus par la 4e révolution industrielle :

« Mazel Tov ! » diront certains. Ils sont jute plus intelligent !

Or il n’en est rien, le consortium Israël par l’espionnage industriel, les services de renseignements, la trahison des élites des nations, la corruption de masse ou encore le contrôle des grands flux de capitaux mondiaux, parvient à concentrer et à accumuler les informations techniques, stratégiques, technologiques, etc. les plus importantes.

C’est donc désormais Israël qui va donner le ton de la Grande Narration par l’intermédiaire du narratif de la Grande Guerre.

La Grande Guerre a commencé

La liquidation des Palestiniens (patrimoniale, vies humaines…) via différentes opérations militaires, augure de ce qui va se passer à l’horizon 2030 pour l’ensemble des Nations du monde.

Le réenclenchement de vagues terroristes à travers le monde servira aussi à nourrir l’ordo a chao.

D’ailleurs, loin d’apaiser et d’occulter le conflit en Ukraine, la guerre israélienne va permettre d’embraser encore un peu plus le monde.

The Economist 2022

La une de The Economist de Noël dernier (2022), avait annoncé la couleur en mettant en scène de drôles de dessins et notamment un « sapin chandelier à 7 branches », sur un fond de couleurs nous rappelant étrangement le drapeau iranien (et d’autres symboles inquiétants)…

De toute façon le marché mondial pour imposer son arme finale que sont les CBDC (en retard) a besoin d’une guerre de dimension mondiale pour légitimer le cataclysme financier en cours.

Comme lors de la guerre du Kippour fomentée par Kissinger et les élites sionistes, la guerre va servir de prétexte au marché pour nous imposer un nouveau paradigme.

L’éventuelle hausse des prix du pétrole et du gaz qui achèvera la vielle Europe n’est pas la seule composante à prendre en compte.

Le marché tout puissant

Nos nations ont été progressivement subverties par le monde de l’argent. On l’a vu avec les vaccins, désormais la guerre, ou encore des postures identitaires fallacieuses (civilisation judéo-chrétienne, etc.), des éléments nous poussent vers l’atomisation totale de nos sociétés.

Et le contrôle total des masses pourrait justement se mettre en place avec en arrière fond un narratif de guerre civile et d’actes terroristes généralisés.

La subversion étant déjà bien avancée, une grande partie de la population se comporte déjà comme des robots.

Jacques Attali

D’ailleurs, comme à l’accoutumée désormais, c’est encore une fois notre oracle Jacques Attali qui dès 2017, a le mieux décrit la volonté oligarchique de réification du monde dans laquelle nous sommes en train de vivre :

« L’homme est appelé à devenir un objet marchand, devenu un clone, puis un robot de lui-même !

Le marché va s’étendre à des secteurs pour lesquels jusqu’à présent il n’avait pas accès tels que la santé, l’éducation, la justice, la police, les affaires étrangères et en même temps, parallèlement, dans la mesure où il n’y a pas de règles de droit, le marché va s’étendre à des domaines aujourd’hui considérés comme illégaux, criminels comme la prostitution, le commerce des organes, le commerce des armes, le racket, etc., etc.

Et donc, on aura de plus en plus un marché qui va dominer entraînant une concentration des richesses, une inégalité croissante, une priorité absolue donnée au court terme et à la tyrannie de l’instant et de l’argent jusque et y compris, au bout de la route, la commercialisation de la chose la plus importante, c’est-à-dire la vie, la transformation de l’être humain en un objet marchand; lui-même devenu un clone et un robot de lui-même. »

Ainsi derrière ce que certains appellent la colonisation israélienne se cache en réalité, la volonté agressive du « marché tout puissant » comme l’avait théorisé l’écrivain français Roger Garaudy.

Le « Nous sommes en guerre » slogan redondant du Great Reset repris il y a quelques jours, par Nethanyau est le lancement officiel de la Grande Guerre finale.

Certains experts et géopolitologues de caniveau parleront de guerre sainte (contre le terrorisme ou pour le Djihad ou encore de choc des civilisations) or il n’en est rien.

Cette grande guerre finale est celle de Mamon contre Dieu. Celle de l’argent contre les nations, les peuples enracinés qui mettent l’amour de leur terre, leur dignité, leur liberté devant la toute-puissance du marché-monde.

Voilà ce qui est en train de se jouer officiellement devant nos yeux.

Une fois la question palestinienne réglée, c’est-à-dire la prise de pouvoir définitive de Mamon sur la Terre Sainte, l’argent, le Dieu de l’hyperclasse, terminera son plan de liquidation des Nations.

Enfin, l’étape 2 du narratif de guerre, commencée avec l’Ukraine en mars 2022, doit désormais se propager à l’ensemble du monde.

La Grande Guerre, couplée au cataclysme financier (Étape 3) et aux autres narratifs (Climat, etc.) va encore accélérer la grande bascule du monde vers sa réinitialisation.

Pour autant, rien n’est inéluctable et le pire n’est jamais certain.

Marc Gabriel DRAGHI

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3 réponses

  1. Tout ce qui se passe, tend à pousser la résistance dans les bras des Brics et autres nations prônant “officiellement” une alternative au grand Reset. Connaissant la dialectique des mondialistes qui contrôlent la thèse et l’antithèse et au vu de l’affaiblissement manifestement provoqué des nations occidentales sur tous les plans (suicide démographique, culturel, spirituel, moral, économique et même décrépitude militaire….) ne pourrait-on pas penser que les mondialistes jouent en fait la carte de l’Eurasie qu’on risque d’appeler au secours alors que la Russie, la Chine, principaux protagonistes militaires de ce camp sont déjà eux aussi bien avancés dans le contrôle des populations et le relativisme (quoiqu’on puisse penser du soutien de Poutine au christianisme)?

    1. Je suis d’ accord avec vous ….la mondialisation va simplement basculer vers l’ Eurasisme , en utilisant probablement des méthodes un peu plus  » soft » car la Pensée asiatique est celle de  » la voie de l’ eau » …une façon plus progressive afin de ne pas heurter la sensibilité des peuples
      Et puis comme le dit Gabriel  » le pire n’ est pas certain » les mondialistes ont déjà renoncé à certains plans ou bien ont échoué….on ne peut pas faire n’ importe quoi et aller contre la REALITE NATURELLE

  2. Nous sommes prêt pour y faire face, Dieu nous à créer exclusivement pour ce moment, aucun être humain sur terre ne peux me connaître mieux que moi-même !

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