🔥 Les essentiels de cette actualité
- Le 28 juin à 12h30, Mike Borowski analyse l’acharnement du système contre les dissidents. Pourquoi la répression s’intensifie-t-elle ?
- De la diffamation de Géopolitique Profonde à la mise en examen de Régis de Castelnau, une stratégie d’écrasement total des voix dissidentes est en cours.
- Le pouvoir médiatique-judiciaire déchaîné vise à établir une terreur psychologique. Comment la peur change-t-elle de camp ?
Le 28 juin à 12h30, Mike Borowski revient sur l’acharnement du système contre les dissidents — de la diffamation de Géopolitique Profonde à la mise en examen de Régis de Castelnau — et dévoile pourquoi la répression s’intensifie alors que la peur change de camp.
Une stratégie d’écrasement total des voix dissidentes
Le système ne tolère plus l’opposition. Il ne cherche plus à la contredire, il veut la dissoudre. Ce que vivent aujourd’hui les figures dissidentes françaises — intellectuels, journalistes, humoristes, militaires ou juristes — n’est plus de l’ordre du débat d’idées. C’est une entreprise de disqualification totale, qui passe par la diffamation publique, la répression policière et la persécution judiciaire. Régis de Castelnau, mis en examen pour avoir dénoncé l’inaction criminelle de l’Éducation nationale dans un drame de harcèlement scolaire, en est le dernier exemple. Son analyse rigoureuse, étayée par le droit, est traitée comme un danger public.
Ce que subissent d’autres figures, à l’instar de Dieudonné désormais sous bracelet électronique, ou de Pierre Jovanovic victime d’une descente du RAID, révèle l’intensité du verrouillage en cours. Youssef Hindi est convoqué à répétition, tandis que les morts brutales du général Delawarde ou d’Éric Denécé planent comme des avertissements silencieux. Ce n’est plus une série d’incidents isolés. C’est une mécanique froide, ciblée, construite pour dissuader, neutraliser, effacer toute contestation.
Le pouvoir médiatique-judiciaire déchaîné
Le traitement réservé à notre média, Géopolitique Profonde, s’inscrit dans cette dynamique. Calomniés par France Télévisions, nous avons été publiquement désignés comme ennemis idéologiques. Aucune preuve, aucune contradiction, simplement une exécution médiatique en place publique. Ce procédé se répète. Les grands médias, devenus organes de renseignement narratif, ne cherchent plus la vérité. Ils désignent des coupables. Ils exécutent socialement, dans le silence complice des autorités.
Cette fusion entre le système médiatique et l’appareil judiciaire produit une atmosphère délétère. Il ne s’agit plus d’informer ou de rendre justice, mais d’établir une terreur psychologique. Ceux qui parlent deviennent suspects. Ceux qui écoutent deviennent des cibles potentielles. Les journalistes indépendants sont assimilés à des fauteurs de trouble. Les avocats sont criminalisés. Les humoristes assignés à résidence. L’appareil répressif ne connaît plus de limites. Il se légitime par l’excuse morale : « lutter contre la haine », « préserver la cohésion ». En réalité, il écrase la liberté.
La peur change de camp mais la répression s’intensifie
Ce déchaînement traduit une peur profonde du pouvoir. La dissidence n’est plus marginale. Elle est écoutée, partagée, relayée. Elle structure une contre-société d’information. Le système, sentant son emprise faiblir, passe à l’offensive. Mais cette fuite en avant trahit une perte de contrôle. Il ne maîtrise plus l’espace numérique, ni les imaginaires, ni le récit collectif. Il ne convainc plus. Il impose. Et ce passage de l’influence à la coercition révèle une chose : la digue craque.
Mais cette stratégie est risquée. À mesure que le système frappe, il expose ses failles. Il démontre sa fébrilité. Chaque convocation, chaque condamnation, chaque diffamation, renforce la légitimité de ceux qu’il tente de faire taire. Il fabrique des symboles. Il construit une mémoire collective de la persécution. Il donne corps à une opposition qui n’était jusque-là qu’une somme de voix isolées. Le front dissident, désormais visé en bloc, n’a plus le choix : il devient unifié, structuré, et déterminé à résister.
IMPORTANT - À lire
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