Boycott du CNC : n’allons plus au cinéma

cnc cinema corruption boycott cnc cinema corruption boycott

🔥 Les essentiels de cette actualité

  • Le 29 septembre à 19h, Yves Chevalier et Laurence Waki invités de La Grande Émission sur Géopolitique Profonde. Découvrez leurs perspectives uniques.
  • Yves Chevalier, producteur de cinéma, soutient des projets audacieux et innovants. Laurence Waki, philosophe, critique les normes sociales et dérives autoritaires.
  • Le CNC, censé encourager la liberté artistique, est devenu un outil de propagande. 700 millions d’euros financent des films « woke » sans public.
  • Des youtubeurs déjà riches bénéficient des subventions, marginalisant les films populaires. Un système de corruption subventionnée au détriment de la culture nationale.

Le 29 septembre à 19h, Yves chevalier et Laurence Waki sont les invités de La Grande Émission animée par Mike Borowski, en direct sur Géopolitique Profonde.

Yves Chevalier est un producteur de cinéma reconnu pour son investissement dans des projets artistiques audacieux et innovants. Il s’attache à soutenir des œuvres marquantes qui abordent des thématiques sociales et humaines avec profondeur, tout en révélant de nouveaux talents. Il a également distribué en France certains des plus grands films, dont Le Projet Blair Witch.

Laurence Waki est une philosophe, écrivaine et essayiste française engagée dans la critique des normes sociales et des dérives autoritaires contemporaines. Elle s’est fait connaître par ses tribunes dans France-Soir, où elle dénonce la soumission croissante des citoyens aux injonctions étatiques et la perte d’autonomie individuelle.

Le cinéma français, censé être un pilier culturel indépendant et créatif, est devenu un instrument de propagande financé par l’argent du contribuable. Le Centre national du cinéma (CNC), créé pour soutenir l’industrie audiovisuelle, a été détourné par les élites politiques depuis l’ère Mitterrand et Jack Lang.

Il ne s’agit plus d’encourager la liberté artistique, mais de distribuer des millions à un cercle restreint de producteurs, d’acteurs et de réalisateurs en phase avec l’idéologie mondialiste dominante. Pendant que des familles françaises peinent à boucler leurs fins de mois, l’État engloutit plus de 700 millions d’euros par an dans des films « woke », élitistes et sans public, transformant la culture en bras armé du politiquement correct. Ce scandale révèle un système de corruption subventionnée où les artistes trahissent le peuple pour l’argent facile et l’allégeance au pouvoir.

Le détournement du CNC par l’État profond

Depuis les années 1980, le CNC n’a cessé de grossir ses réserves financières, dépassant aujourd’hui les 500 millions d’euros. Cette manne gigantesque ne profite pas à la diversité cinématographique, mais à une poignée de producteurs « bankables » qui se partagent le gâteau avec la complicité de fonctionnaires et de ministres acquis à la cause du mondialisme.

Les cachets des stars, soi-disant plafonnés, restent astronomiques, et les aides sélectives financent surtout des projets conformes à l’idéologie dominante. Résultat : les films populaires, enracinés et porteurs d’identité, sont marginalisés, tandis que les productions militantes reçoivent des millions pour des œuvres que personne ne va voir en salle.

La trahison est totale : les commissions d’attribution sont composées de personnalités qui appartiennent elles-mêmes au système ou qui espèrent en profiter. Ainsi, on retrouve dans les bénéficiaires des youtubeurs déjà riches et célèbres comme Cyprien ou Juliette Tresanini, qui n’avaient aucun besoin d’aide publique. Tout cela montre le fonctionnement d’une machine clientéliste qui récompense les amis du pouvoir et muselle les voix dissidentes. L’argent du peuple finance donc l’idéologie du régime, non la culture nationale.

La propagande woke aux frais du contribuable

Chaque année, des films calibrés pour plaire aux cercles mondialistes et militants sont financés à coups de millions, malgré des échecs publics retentissants. Le cas des récentes adaptations des Trois Mousquetaires, gonflées de subventions et d’un budget pharaonique, traduit l’escroquerie : des campagnes médiatiques massives, mais des entrées dérisoires face à l’investissement colossal.

De nombreux films à thématique « woke », promouvant diversité forcée, féminisme hystérique ou repentance coloniale, s’effondrent au box-office mais continuent d’être financés. Le message est clair : peu importe si le peuple rejette cette propagande, le CNC paiera la facture.

Cette logique absurde transforme le cinéma en machine idéologique. Les spectateurs désertent les salles, mais les producteurs s’enrichissent grâce aux subventions. Loin d’encourager la créativité et le talent, le CNC impose une ligne unique : films mondialistes, narrations artificielles, et mépris des réalités françaises. Ceux qui refusent de se plier à cette propagande sont exclus des circuits de financement. Le cinéma, jadis art de liberté, est devenu le miroir des obsessions idéologiques de l’élite au pouvoir.

La connivence entre jury et bénéficiaires

Le système CNC est verrouillé par des commissions où siègent des acteurs du milieu qui profitent directement de leurs propres décisions. Ce mélange de juges et parties est une fraude institutionnalisée. Les aides publiques vont systématiquement vers les mêmes cercles d’influence, consolidant une oligarchie culturelle déconnectée du peuple.

Le cas des youtubeurs subventionnés en 2021 révèle le cynisme de ce dispositif : donner des millions à des influenceurs déjà multimillionnaires, pendant que de jeunes créateurs indépendants n’ont aucun accès à ces fonds.

Ce réseau fermé fonctionne comme une caisse noire du régime. On arrose les amis, on récompense les militants fidèles, et on exclut ceux qui oseraient proposer un cinéma enraciné, populaire et libre. Le CNC, sous couvert de « soutien à la création », agit comme une structure de propagande financée par les impôts.

Derrière le vernis culturel, il ne reste qu’une mécanique de favoritisme, de corruption et de soumission idéologique. Les artistes, autrefois porteurs de vérité et de liberté, se sont transformés en mercenaires de l’État profond, trahissant le peuple pour quelques millions distribués par un jury complice.

IMPORTANT - À lire

Vous voulez approfondir les révélations sur le détournement du CNC et la propagande d'État dans le cinéma français ? Notre revue papier mensuelle vous propose des analyses exclusives sur les dérives idéologiques qui gangrènent la culture, avec des informations inédites et des témoignages de premier plan.

Chaque mois, plongez au cœur des réseaux d'influence qui manipulent l'art et la pensée. Découvrez comment les élites mondialistes instrumentalisent le cinéma, la littérature et les médias pour imposer leur vision du monde, au mépris du peuple et de la liberté créatrice. Soutenez une presse libre et engagée, qui ose briser l'omerta du système !


Participez au débat, et partagez votre opinion !

Faites avancer la discussion en donnant votre avis à la communauté.

En savoir plus sur Géopolitique Profonde

Abonnez-vous pour poursuivre la lecture et avoir accès à l’ensemble des archives.

Poursuivre la lecture