ENFER ET MACRONIE : CET ENFANT A UN ENFANT… À 15 ANS AVEC UNE FEMME DE 35 ANS ! | GPTV

Le 3 janvier à 12h30, Mike Borowski dénonce l’inaction de la justice française face à un adolescent de 15 ans, père pour la seconde fois avec une femme de 35 ans, révélant une légitimation scandaleuse de la pédocriminalité.

La justice valide la pédocriminalité

La justice française refuse de protéger ses mineurs et légitime désormais le viol en fermant les yeux sur des crimes flagrants. Un adolescent de 15 ans, père pour la seconde fois avec une femme de 35 ans, démontre une faillite morale et juridique sans précédent. Deux plaintes déposées par sa mère, accompagnées de preuves accablantes, n’ont conduit à aucune action. Les tribunaux, la police et les services sociaux abandonnent cet adolescent victime d’un crime.

Depuis 2023, cet adolescent entretient une relation avec une femme de 35 ans, voisine de palier à Marignane. Sa mère dépose une première plainte en 2023 en découvrant cette liaison illégale. La plainte est retirée après que la femme promet de « se faire soigner ». Mais tout continue. En septembre 2023, une deuxième plainte est déposée après que des textos explicites entre le jeune garçon et l’adulte sont découverts. Malgré ces preuves, la plainte est classée sans suite, un acte honteux de la part de la justice.

En novembre 2023, la mère découvre qu’un enfant est en route. En septembre 2024, cet adolescent de 15 ans devient père pour la première fois. Deux mois plus tard, la femme de 35 ans est de nouveau enceinte de lui. Ce crime, évident et impardonnable, reste totalement impuni.

Une justice qui refuse d’agir

Les faits ne laissent aucune place au doute : un adulte a exploité un mineur pour entretenir une relation criminelle. Pourtant, aucune enquête sérieuse n’a été menée. Malgré des échanges de textos fournis à la justice et trois courriers envoyés au procureur, aucune suite n’a été donnée. Le dossier n’avait même pas été enregistré au parquet avant fin 2024. Ce mépris de la justice envers une situation aussi grave est scandaleux.

Pendant ce temps, l’adolescent s’enfonce. En rupture scolaire et familiale, il quitte le domicile de sa mère pour vivre chez son père, mais continue de fréquenter cette femme. Une Assistance Éducative en Milieu Ouvert (AEMO) est ordonnée par un juge pour enfants, mais aucune mesure concrète n’est prise pour éloigner cette prédatrice.

En refusant d’agir, la justice normalise le viol et le détournement de mineur. Elle trahit les lois qu’elle est censée appliquer et abandonne les mineurs à leur sort.

La société complice par son silence

L’absence d’intervention dans cette affaire est une honte nationale. Laisser un adolescent devenir père deux fois avec une adulte de 35 ans n’est pas seulement un échec institutionnel, c’est une trahison envers tous les mineurs de France. En fermant les yeux sur ce crime, les autorités renforcent les prédateurs et affaiblissent la protection des enfants.

La mère, désespérée, dénonce une manipulation psychologique qui a détruit son fils : « Mon fils a littéralement été envoûté. Si elle le quitte, j’ai peur qu’il n’attente à ses jours. Cette femme est en train de le fracasser, mais je veux qu’il sache que je serai toujours là. » Ces mots sont le cri d’une mère abandonnée par un système indifférent.

Pour l’adolescent, l’abandon des institutions est une double peine. Victime d’un crime, il est laissé à lui-même face à une situation qui dépasse ses capacités. Son avenir, ainsi que celui de ses deux enfants, est irrémédiablement compromis. La France trahit ses enfants en tolérant de telles situations.

La justice française doit cesser de détourner les yeux face à la pédocriminalité. Les lois existent, mais elles ne sont pas appliquées. Ce laxisme crée un précédent inacceptable et met en danger tous les mineurs.

Pour approfondir votre compréhension et vous armer face aux crises à venir, accédez dès maintenant à votre revue mensuelle Géopolitique Profonde !

sommaire-revue-gptv-d-ecembre-2024
Cliquez sur l’image !
Facebook
Twitter
Telegram

Une réponse

  1. « Egalité des sexes » et mon œil au zénith des menteurs.
    Du verbiage d’illuminé qui coupe débites.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *