Le 12 janvier à 12h30, Mike Borowski vous donne rendez-vous pour un direct sur un sujet explosif, sur Géopolitique Profonde.
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La crise sanitaire, instrument de contrôle
En 2020, la pandémie de COVID-19 a marqué un tournant historique. Les gouvernements du monde entier ont imposé des confinements, des passeports sanitaires et des campagnes de vaccination massive. Sous prétexte de protéger la santé publique, une surveillance accrue et un contrôle généralisé des populations se sont mis en place.
Dans ce contexte, le sport professionnel n’a pas échappé aux pressions. Les compétitions furent annulées ou conditionnées au respect strict des règles sanitaires, avec comme pivot central l’obligation vaccinale. Alors que la majorité des sportifs professionnels se conformaient pour poursuivre leur carrière, Djokovic a fait un choix radical : refuser.
Djokovic face à la propagande vaccinale
Novak Djokovic, numéro un mondial, s’est opposé dès le départ à l’injection COVID, citant des raisons personnelles et des convictions profondes sur la santé. Ce choix a été perçu comme un acte de défiance envers les autorités sanitaires mondiales. En 2022, il a été expulsé d’Australie avant l’Open d’Australie, un tournoi qu’il avait déjà remporté neuf fois.
Cette expulsion s’inscrit dans une tentative plus large de discréditer un homme qui, par son refus, remettait en cause la narration officielle selon laquelle la vaccination était une condition sine qua non pour « sauver le monde ». Le système médiatique s’est acharné contre lui, le présentant comme un irresponsable mettant en danger la santé publique.
Une tentative d’empoisonnement en Australie ?
Pendant sa détention dans un hôtel de quarantaine à Melbourne, des rumeurs évoquent que Djokovic aurait été exposé à des doses de mercure. Ce métal lourd, connu pour ses effets neurotoxiques, aurait pu être utilisé pour affaiblir ses performances sportives. Plusieurs experts rappellent que le mercure, utilisé historiquement dans des opérations d’empoisonnement, est difficile à détecter sans analyses spécifiques et ses symptômes peuvent être attribués à d’autres causes.
Si cette théorie reste difficile à prouver, il est indéniable que Djokovic a été soumis à des conditions inhumaines dans cet hôtel. Surveillé de près, isolé, il a dû gérer une pression psychologique extrême, alors que le monde entier suivait l’affaire. Pourtant, il a tenu bon, restant fidèle à ses convictions et à sa discipline légendaire.
Un exemple historique de résistance
Le refus de Djokovic rappelle d’autres figures du sport ayant osé défier l’ordre établi. Pendant la Guerre froide, des athlètes comme Jesse Owens ou Viktor Korchnoï, en pleine domination soviétique, ont été des symboles de résistance. Djokovic, en s’élevant contre une obligation mondiale, s’inscrit dans cette lignée.
Ce n’est pas la première fois que des sportifs deviennent des cibles politiques. Muhammad Ali, refusant de servir dans l’armée américaine lors de la guerre du Vietnam, a été dépouillé de ses titres et interdit de compétition. De la même manière, Djokovic a été interdit de plusieurs tournois majeurs, mais cela ne l’a pas empêché de revenir plus fort.
Le défi physique et mental de Djokovic
À 36 ans, Novak Djokovic continue de dominer le tennis mondial. Alors que la plupart des joueurs professionnels prennent leur retraite bien avant cet âge, Djokovic reste au sommet, remportant tournoi après tournoi. Sa discipline extrême, son régime strict et son approche holistique de la santé lui permettent de surpasser des adversaires bien plus jeunes.
Ce succès, sans injection COVID, est un coup dur pour le système. Il prouve que l’excellence physique et mentale peut être atteinte sans céder aux pressions externes. Chaque victoire de Djokovic est un rappel que la conformité n’est pas toujours la seule voie, et cela dérange profondément les structures de pouvoir.
Pourquoi l’élite veut-elle éliminer Djokovic ?
Novak Djokovic représente bien plus qu’un athlète. Il est une voix qui incite des millions de personnes à réfléchir et à remettre en question les décisions imposées par les gouvernements. L’État profond, qui contrôle les narratifs sanitaires et médiatiques, voit en lui un caillou dans sa chaussure.
Le contrôle des esprits passe par l’élimination des figures influentes qui osent contredire l’ordre établi. En humiliant ou en neutralisant Djokovic, l’élite espère décourager d’autres personnalités publiques de suivre son exemple. Mais malgré les tentatives de sabotage, Djokovic continue d’inspirer par son courage, son talent et sa résilience.
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Une réponse
Cette révélation de Djokovic est une confirmation à mon sens que Big pharma avec tout ce que ce terme regroupe a de tel intérêts financiers qu’un contrat par des barbouzes pour simuler sa mort en une contamination COVID aurait été un super détonateur vers la vaccination pour les réfractaires !!!
A l’image des décès fulgurants des jumeaux Bogdanoff en parfaite santé et hostiles à l’arn , contrats simultanés !!???
La question est posée ?