Le 22 février à 12h30, Mike Borowski dénonce l’hypocrisie des élites et le traitement de faveur dont bénéficie Christophe Dechavanne, condamné pour récidive de conduite sous stupéfiants, mais protégé par un système complice et des médias silencieux, alors qu’un opposant politique aurait été lynché médiatiquement.
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Une élite hypocrite et protégée
Christophe Dechavanne, figure du paysage audiovisuel et macroniste convaincu, vient d’être condamné pour conduite sous stupéfiants en récidive. Pourtant, loin d’assumer, il invoque une excuse grotesque : il aurait été contaminé en embrassant une femme ayant consommé de la cocaïne. Ce genre de justification ridicule ne tiendrait pas une seconde pour un citoyen ordinaire. Mais lorsqu’il s’agit d’un protégé du système, tout est fait pour minimiser les faits et détourner l’attention.
L’ampleur du traitement de faveur dont il bénéficie est évidente. Absent au tribunal, il envoie son avocat plaider un faux positif et dénoncer un climat « anxiogène », alors que son passif judiciaire le condamne déjà. La justice le sanctionne d’une simple amende et d’un retrait de permis, alors qu’un individu lambda aurait subi une peine bien plus lourde, voire de la prison ferme. Mais dans cette caste médiatique, l’entre-soi prévaut : on protège l’un des siens, on relativise, et on tourne rapidement la page.
Médias et justice : deux poids, deux mesures
L’affaire Dechavanne révèle une fois de plus l’hypocrisie totale du paysage médiatique français. Malgré sa récidive avérée, les grands médias évitent toute condamnation ferme et préfèrent insister sur un supposé acharnement judiciaire. Les mêmes qui traquent le moindre faux pas des opposants politiques couvrent ici un ami du pouvoir, protégeant l’image d’un macroniste influent.
Imaginons un instant que ce scandale implique un membre du RN, de Debout la France ou de l’UPR. Les chaînes d’information auraient orchestré un lynchage médiatique immédiat, parlant de « déshonneur » et de « déliquescence morale ». Mais Dechavanne, lui, bénéficie d’une protection invisible. Aucune indignation sur les plateaux, aucun éditorial fustigeant son comportement irresponsable. Pire encore, certaines osent minimiser : « Tout le monde en prend aujourd’hui », clament certains de ses soutiens. Une banalisation qui en dit long sur la décadence des élites.
Le deux poids, deux mesures est criant. Un citoyen ordinaire aurait vu son permis annulé sur-le-champ et risqué un casier judiciaire lourd de conséquences. Un politicien anti-système aurait été détruit médiatiquement. Mais Dechavanne, lui, peut compter sur ses amis du show-business et du pouvoir pour étouffer l’affaire et protéger son image. Le système protège ses fidèles et sacrifie ses adversaires.
Une élite en pleine décadence
Cette affaire met en lumière un monde déconnecté des réalités. Loin des valeurs qu’elle prétend défendre, l’élite médiatique et politique sombre dans une décadence morale assumée. On se drogue en toute impunité, on vit au-dessus des lois, on méprise les règles imposées au peuple. Ce n’est plus un simple excès, c’est une norme.
Dechavanne, qui s’indignait hier contre la montée de la « radicalité populiste », incarne cette caste donneuse de leçons. Il se permet d’expliquer au petit peuple ce qui est bien ou mal, tout en s’octroyant tous les passe-droits. Ce modèle d’hypocrisie arrogante est devenu la norme des élites parisiennes : moraliser à outrance tout en menant une vie dissolue, protégée par un système complice.
Le plus choquant, c’est la réaction du public formaté par ces médias : certains trouvent ça normal. Quand certains déclarent que « tout le monde en prend aujourd’hui », ils révèlent l’ampleur de la corruption des esprits orchestrée par cette élite déconnectée. Les drogues et les excès ne sont pas un problème quand on fait partie du système. Mais pour le citoyen lambda, une seule infraction peut ruiner une vie. Voilà l’injustice d’une société qui protège ses élites et écrase son peuple.
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