DÉCLIN ET DÉCADENCE TERMINALE DE LA FRANCE | PIERRE-JEAN CHALENÇON | GPTV

Le 22 février à 9h, Pierre-Jean Chalençon est l’invité de Mike Borowski sur la chaîne YouTube de Géopolitique Profonde !

Pierre-Jean Chalençon est un collectionneur français, spécialiste de Napoléon Bonaparte et propriétaire d’une vaste collection d’objets napoléoniens. Ancien chroniqueur de l’émission Affaire Conclue, il s’est fait connaître pour son exubérance et son franc-parler. Aujourd’hui, il poursuit ses activités de collectionneur, intervient dans les médias et organise des événements autour de l’histoire napoléonienne.

Une classe politique corrompue et soumise aux intérêts étrangers

La France est dirigée par une élite qui ne sert plus son peuple. Depuis des décennies, les gouvernements successifs ont bradé la souveraineté nationale, cédant aux exigences de Bruxelles, de Washington et des multinationales. L’idéologie mondialiste domine chaque décision, transformant l’État en simple gestionnaire d’un territoire sans identité ni ambition. La fiscalité écrasante asphyxie les entreprises et les classes moyennes, pendant que les grandes fortunes et les fonds étrangers rachètent des pans entiers de l’économie française. L’industrie, autrefois fierté nationale, est sacrifiée au profit d’importations bon marché.

Les dirigeants actuels ne sont plus des hommes d’État, mais des technocrates interchangeables. Macron, Hollande, Sarkozy : tous appliquent la même politique mondialiste, sans se soucier des intérêts des Français. Loin de protéger le pays, ils se comportent en exécuteurs des ordres de l’Union européenne, de l’OTAN et des grandes institutions financières. L’idéologie progressiste, imposée par les élites médiatiques et universitaires, détourne l’attention des véritables enjeux : la sécurité, le pouvoir d’achat, l’immigration incontrôlée. Pendant ce temps, les Français souffrent, mais leurs dirigeants restent sourds, enfermés dans leur mépris de classe et leur obsession du politiquement correct.

L’Assemblée nationale est devenue un théâtre d’ombres où les votes sont dictés par des intérêts extérieurs. Les décisions cruciales, comme l’adhésion aux traités européens ou les choix budgétaires, sont prises sans consulter le peuple. Le référendum, outil démocratique par excellence, est banni depuis que les Français ont osé dire « non » à la Constitution européenne en 2005. Depuis, les élites ont compris qu’il valait mieux ne plus demander l’avis des citoyens.

Un peuple exaspéré, mais privé de leader

La colère gronde dans tout le pays. Inflation, insécurité, perte de repères culturels : les Français voient leur quotidien se dégrader sans que personne ne propose de solution radicale. L’augmentation des prix de l’énergie, la pression fiscale et la dévaluation du travail détruisent le pouvoir d’achat. Les classes populaires et moyennes, jadis colonne vertébrale de la nation, sont laminées par un modèle économique qui favorise les ultra-riches et maintient une partie de la population sous assistance.

Les Gilets Jaunes ont été le symptôme d’un ras-le-bol généralisé. Ce soulèvement, spontané et massif, a montré à quel point le fossé entre le peuple et les élites s’est creusé. La réponse du gouvernement a été brutale : répression policière, manipulation médiatique, tentatives de division du mouvement. La stratégie est claire : empêcher toute contestation sérieuse de remettre en cause l’ordre établi. Pourtant, la frustration ne disparaît pas.

Mais le principal problème demeure l’absence de figure forte capable de fédérer cette colère. Un Trump français ? Aucun homme politique actuel n’a son courage ni son indépendance financière pour défier le système. Un nouveau Napoléon ? Il n’existe pas. Marine Le Pen s’est banalisée, cherchant à séduire le centre au prix de son identité politique. Éric Zemmour a tenté de s’imposer, mais la machine médiatique et judiciaire l’a immédiatement écrasé. À droite comme à gauche, ceux qui osent remettre en question les dogmes du mondialisme sont marginalisés, traînés en justice ou réduits au silence.

Pire encore, le système verrouille toute alternative. Les élections sont devenues un simple rituel démocratique sans réelle possibilité de changement. L’abstention massive montre que les Français ne croient plus en leurs institutions. Ceux qui votent encore se retrouvent face à un choix biaisé : un duel imposé entre des candidats validés par l’oligarchie. Toute opposition sérieuse est éliminée avant même d’avoir pu peser dans le débat public.

Les médias et la censure comme armes de contrôle

La télévision française est un instrument de propagande au service du pouvoir. Chaque journaliste de plateau, chaque éditorialiste bien en vue sait ce qu’il peut dire ou non. Toute opinion qui sort du cadre officiel est immédiatement sanctionnée. Ceux qui osent dénoncer l’immigration massive, l’insécurité ou la faillite du modèle social sont ostracisés. Des figures populaires ont été écartées simplement pour avoir été perçues comme « trop à droite ».

Le phénomène est particulièrement frappant dans le monde de la télévision et du journalisme. De nombreux animateurs, chroniqueurs ou intellectuels qui avaient une large audience ont été éliminés, non pas pour manque de popularité, mais parce qu’ils représentaient une menace pour le narratif officiel. La diversité d’opinion est un leurre : toutes les grandes chaînes appartiennent à des groupes industriels liés au pouvoir. L’information est filtrée, les débats sont faussés, et les journalistes sont devenus des agents de propagande.

Les réseaux sociaux étaient un espoir de contournement du système, mais la censure y est devenue tout aussi brutale. La moindre critique contre le pouvoir ou les dogmes progressistes est qualifiée de « haine », de « désinformation », et supprimée. YouTube, Facebook, Twitter : toutes ces plateformes pratiquent une modération politique, excluant les voix dissidentes sous prétexte de « protection du débat démocratique ». En réalité, il s’agit de maintenir une pensée unique et d’empêcher les citoyens de se forger une opinion libre.

Pendant ce temps, l’endoctrinement continue. L’école diffuse des idéologies destructrices, la culture populaire nivelle les esprits, et la télévision abrutit les masses. Tout est fait pour empêcher les Français de prendre conscience de la véritable cause de leur déclin. On leur vend des polémiques insignifiantes pour détourner leur attention des véritables enjeux. Pendant que l’identité nationale se délite et que la pauvreté explose, les médias parlent d’écriture inclusive, de diversité ou de transition écologique imposée.

Ce système de contrôle total verrouille toute possibilité de renversement. Pourtant, l’Histoire l’a prouvé : aucun régime ne dure éternellement. Le peuple français, autrefois révolutionnaire, finira par se réveiller. Mais sans leader, sans organisation et sans stratégie claire, ce réveil risque d’être chaotique, voire tardif.

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