POURQUOI SI PEU DE NAISSANCE ET AUTANT DE DÉCÈS ? ON BRISE L’OMERTA ! | GPTV

Le 4 mars à 12h30, Mike Borowski révèle que l’INSEE a enregistré 69 970 décès en janvier 2025, soit 8,4 % de plus qu’en 2024, un chiffre supérieur au pire mois du Covid, tandis que la natalité s’effondre. Les effets des injections et un agenda de dépopulation ne font plus aucun doute.

Une surmortalité inexpliquée mais prévisible

L’INSEE vient de publier un chiffre alarmant : 69 970 décès enregistrés en janvier 2025, soit 8,4 % de plus qu’en janvier 2024. Pire encore, ce bilan dépasse de 3 000 morts le pire mois de la crise du Covid. Ces chiffres, pourtant officiels, passent sous silence dans les médias traditionnels. Pourquoi un tel mutisme face à une hécatombe qui dépasse celle d’une pandémie mondiale ?

Aucune épidémie majeure, aucune catastrophe naturelle, aucune vague de froid meurtrière n’a marqué janvier 2025. Pourtant, les décès explosent. Les explications avancées par certains experts – vieillissement de la population, conséquences du Covid long, défaillance du système de santé – apparaissent dérisoires face à l’ampleur du phénomène.

Derrière cette surmortalité, des pathologies en hausse inquiétante : maladies cardiovasculaires, AVC, thromboses, cancers fulgurants, maladies neurodégénératives. Autant d’affections dont l’augmentation suit de près les campagnes massives d’injections expérimentales.

Depuis trois ans, de nombreux médecins et scientifiques alertent sur les effets secondaires des injections : myocardites, péricardites, troubles immunitaires, perturbations hormonales. Officiellement, ces effets sont considérés comme rares, mais les chiffres de l’INSEE suggèrent un impact bien plus large et dévastateur.

La question n’est plus de savoir si ces injections ont un rôle dans cette hécatombe, mais à quel point elles sont responsables.

Chute des naissances et effondrement démographique

En parallèle à cette surmortalité, un autre phénomène dramatique se confirme : l’effondrement des naissances. Depuis 2022, la France enregistre une baisse historique de la natalité, atteignant en 2024 le plus bas niveau depuis la Seconde Guerre mondiale.

Les raisons avancées – crise économique, nouvelles aspirations des femmes, instabilité sociale – ne tiennent pas face à une chute aussi brutale et soudaine. La fertilité humaine ne s’effondre pas en quelques années sans cause profonde.

Plusieurs signaux d’alerte sont ignorés :

  • Augmentation des fausses couches et des complications de grossesse.
  • Dérèglements menstruels signalés massivement après les injections.
  • Baisse de la fertilité masculine, confirmée par plusieurs études montrant une diminution du nombre et de la qualité des spermatozoïdes.

Ce phénomène est observé dans tous les pays où les campagnes d’injections ont été imposées à grande échelle. En Allemagne, en Italie, au Royaume-Uni, aux États-Unis, les courbes démographiques s’effondrent. Une coïncidence ? Impossible.

Pourquoi cacher ces chiffres ?

Si ces chiffres sont disponibles publiquement sur le site de l’INSEE, pourquoi aucun média de masse ne les analyse ? Pourquoi aucun débat public n’a lieu sur ces tendances démographiques alarmantes ?

La réponse est simple : les conclusions dérangent.

Admettre que la surmortalité pourrait être liée aux injections, c’est reconnaître une erreur monumentale. C’est ouvrir la porte à une remise en cause de l’ensemble de la gestion de la crise sanitaire, des décisions politiques aux complicités des laboratoires pharmaceutiques.

L’effondrement de la natalité pose une question encore plus grave : s’il s’agit d’un effet direct des injections, alors nous sommes face à une catastrophe sanitaire d’ampleur historique.

Une volonté délibérée de réduction de la population

Depuis des décennies, les élites mondialistes et certaines institutions influentes défendent un agenda de réduction démographique. Sous couvert de lutte contre le changement climatique, de gestion durable des ressources ou de transition écologique, des théories prônant une baisse drastique de la population mondiale sont mises en avant.

Des figures comme Bill Gates, Klaus Schwab et d’autres responsables influents ont plusieurs fois évoqué la nécessité de réduire le nombre d’êtres humains sur Terre. Le Forum Économique Mondial, l’ONU et d’autres institutions internationales mettent en avant des scénarios où la démographie doit être “contrôlée” pour assurer la “stabilité” de la planète.

Si cet agenda était appliqué discrètement, à quoi ressemblerait-il ?

  • Une augmentation progressive de la mortalité sous couvert de crises sanitaires ou d’effets secondaires “inévitables”.
  • Un effondrement des naissances sous prétexte d’un “choix sociétal”, tout en sapant la fertilité à grande échelle.
  • Une désinformation massive pour empêcher toute remise en cause et faire passer ces tendances pour des évolutions “naturelles”.

Les chiffres sont là. La surmortalité explose. La natalité s’effondre. Pourtant, personne n’en parle.

Pourquoi ? Parce que ceux qui détiennent le pouvoir, qu’il soit politique, financier ou médiatique, ont tout intérêt à maintenir l’opinion publique dans l’ignorance. Admettre ces faits serait explosif.

Les rares voix qui osent soulever ces questions sont censurées, ostracisées, réduites au silence. La désinformation bat son plein, les médias préférant détourner l’attention sur des crises artificielles, des polémiques secondaires ou des récits fabriqués.

Mais ces chiffres ne mentent pas. Quelque chose d’anormal se produit, et ceux qui refusent de voir la réalité en face seront les prochaines victimes.

Découvrez les vérités cachées derrière ces chiffres inquiétants avec votre revue mensuelle de Géopolitique Profonde !

Cliquez sur l’image !
Facebook
Twitter
Telegram

2 réponses

  1. Je suis entièrement d’accord…si on réfléchit un peu et qu’on écoute autour de soi, la corrélation est plus qu’évidente. C’était très habile….

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *