Le 14 mars à 7h, Marc Gabriel Draghi, Philippe Pascot, Bruno Gollnisch et Olivier Tournafond sont les invités de Nicolas Stoquer dans La Matinale de Géopolitique Profonde !
Retrouvez Marc Gabriel Draghi à 7h20 suivi de Philippe Pascot à 8h puis Bruno Gollnisch à 8h45 et enfin d’Olivier Tournafond à 9h30.
Marc Gabriel Draghi est un juriste français spécialisé dans l’histoire du droit. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages sur la question monétaire et l’histoire du capitalisme, dont « Le règne des marchands du temple », « Le grand reset en marche ! » et « La Grande Narration : Vers la mort des Nations ». Il dénonce les dangers du projet du Forum économique mondial, qu’il considère comme une tentative de soumettre l’humanité à une élite mondialiste.
Philippe Pascot est un écrivain a succès, ancien maire adjoint d’Evry et ancien conseiller régional. Administrateur de l’association ANTICOR, il joue un rôle actif dans la promotion de la transparence et de l’intégrité en politique. Il vient aujourd’hui nous parler de la réédition de son ouvrage à succès « Pilleurs d’État: Encore et encore ».
Bruno Gollnisch est un homme politique français associé au Front National, devenu le Rassemblement National. Il a débuté sa carrière politique en tant que député français de 1986 à 1988. Par la suite, il a été élu député européen, mandat qu’il a exercé de 1989 à 2019. Au sein du Front National, il a occupé plusieurs postes de direction, y compris celui de secrétaire général, délégué général et vice-président. Il a également dirigé la campagne présidentielle de Jean-Marie Le Pen en 2002.
Olivier Tournafond est un professeur de droit privé à l’université Paris Val de Marne, et de sciences criminelles. Il a publié de nombreux ouvrages et articles sur des sujets liés à son domaine d’expertise. Il est également patron d’émission sur Radio Courtoisie.

La France livrée à un pillage organisé
Les élites politiques et économiques ont transformé la France en un territoire de prédation où l’argent public est siphonné au profit d’une caste sans scrupules. Corruption, détournements, fraudes : tout est permis tant que cela sert l’oligarchie en place. Derrière une façade de démocratie, une véritable mafia institutionnelle s’est mise en place, verrouillant tous les rouages du pouvoir. Philippe Pascot l’a dénoncé sans relâche : ceux qui gouvernent ont fait du pillage d’État un système structuré et impuni.
Loin d’être des serviteurs du peuple, ces prédateurs agissent en bande organisée, se protégeant mutuellement pour échapper à toute forme de justice. Les collusions entre politiques, grands groupes et finance internationale permettent à cette oligarchie de s’enrichir toujours plus, pendant que la population s’appauvrit. Impôts toujours plus lourds, privatisations sauvages, destruction des services publics : tout est orchestré pour que les Français financent leur propre spoliation.
Une caste politico-médiatique au service du mensonge
Le système ne se maintient que grâce à une propagande de masse, diffusée sans relâche par une presse aux ordres. La télévision, la radio, la presse écrite et même les réseaux sociaux sont contrôlés par une caste médiatique endogame, parfaitement alignée avec le pouvoir politique. La liberté d’expression n’existe plus : ceux qui osent contester le narratif officiel sont immédiatement censurés, diffamés ou exclus du débat public.
Cette alliance entre médias et politiques permet d’imposer des récits officiels sans aucune contradiction. Les mensonges d’État deviennent des vérités incontestables, martelées en boucle pour formater l’opinion publique. Chaque crise est instrumentalisée : COVID, climat, guerres… toujours pour justifier de nouvelles restrictions et un renforcement du contrôle sur la population. L’objectif est clair : empêcher toute révolte et maintenir les Français dans un état de sidération permanente.
Le règne de la peur et de la soumission
La stratégie du pouvoir repose sur une manipulation psychologique de masse. Les crises sont utilisées comme des armes pour maintenir la population dans un état d’angoisse permanent. Peur du virus, peur du réchauffement climatique, peur de la guerre… Chaque menace est amplifiée au maximum pour justifier un contrôle toujours plus strict. C’est une méthode éprouvée : une population terrorisée est plus facile à manipuler et à soumettre.
Les sociopathes au pouvoir ne se contentent pas d’instrumentaliser la peur, ils pratiquent aussi une inversion accusatoire systématique. Ceux qui dénoncent la tyrannie sont traités de complotistes, les résistants sont criminalisés, et ceux qui osent défendre la souveraineté nationale sont taxés d’extrémistes. Tout est fait pour que les Français soient désorientés, incapables de comprendre qui sont leurs véritables ennemis. À terme, ce système mène à une destruction programmée de la nation, un holocauste du peuple français orchestré par ses propres dirigeants.
Ce que l’élite ne veut pas que vous sachiez sur le pouvoir… Découvrez le en cliquant ici :
