BOYCOTTÉE CAR ELLE PROTÈGE LA CULTURE FRANÇAISE ?! | VÉRONICA ANTONELLI | GPTV

Le 4 janvier à 9h, Véronica Antonelli est l’invitée de Mike Borowski en direct sur Géopolitique Profonde. Ils reviennent ensemble sur le boycott dont elle a été victime.

Véronica Antonelli, cantatrice mondialement reconnue, interprète un air lyrique devant le Sacré-Cœur. Son chant, vibrant et majestueux, attire une foule admirative. Mais la scène tourne au scandale : la police l’interpelle pour « chant sans autorisation ». Cet acte absurde illustre une vérité brutale : la culture française, dans ce qu’elle a de plus authentique, est systématiquement écrasée.

Une star mondiale ignorée en France

Véronica Antonelli, ovationnée sur les scènes d’Amérique, de Chine et du Japon, est réduite au silence dans son propre pays. Pourquoi ? Parce qu’elle incarne une culture française enracinée, à l’opposé des normes imposées par le système. Pendant que des artistes sans talent mais politiquement corrects envahissent les médias subventionnés, ceux qui portent l’identité française sont marginalisés.

Cette stratégie s’inscrit dans une logique d’uniformisation culturelle imposée par une élite mondialisée. Quand Emmanuel Macron déclare que « la culture française n’existe pas », il valide une politique qui détruit méthodiquement les traditions et le patrimoine vivant. Véronica Antonelli n’est pas seulement une artiste, elle est un symbole. Et ce symbole, le système veut l’effacer.

Montmartre trahi par les bobos

Montmartre, ce quartier autrefois vibrant et populaire, est aujourd’hui envahi par une élite bourgeoise-bohème. Les « bobos », ces nouveaux occupants, imposent une esthétique lisse et fade, incompatible avec l’histoire de ce lieu mythique. Les ruelles où résonnaient autrefois les voix des artistes sont devenues des décors stériles, calibrés pour le tourisme de masse.

Les spectacles spontanés, comme celui de Véronica Antonelli, sont désormais criminalisés. Bureaucratie et gentrification s’allient pour éradiquer toute forme d’expression libre. À Montmartre, les vrais artistes, ceux qui faisaient vivre l’âme du quartier, sont chassés pour faire place à des commerces de luxe et des résidences aseptisées.

Mais ne nous trompons pas : ce n’est pas seulement une question de gentrification. C’est un combat idéologique. En détruisant Montmartre et son esprit frondeur, le système cherche à éliminer ce qui reste d’une France rebelle, d’une culture qui refuse de se plier aux diktats de la mondialisation.

La culture française, un obstacle pour la globalisation

La vraie culture française dérange. Elle incarne une richesse, une singularité, un lien avec le peuple et son histoire. Or, dans un monde dominé par la globalisation, cette singularité est perçue comme une menace. Pour les élites mondialistes, il faut détruire les identités fortes pour imposer un modèle culturel uniformisé, où l’art n’est qu’un produit de consommation.

Le cas Véronica Antonelli est emblématique. Une cantatrice qui chante gratuitement pour le plaisir des passants est une anomalie dans ce système. Elle rappelle que l’art peut être un acte de liberté et de communion, loin des logiques marchandes.

C’est précisément pour cette raison qu’elle est persécutée. Ce que le système ne contrôle pas, il le broie. Et dans cette guerre contre la culture française, Montmartre est un champ de bataille.

Résister pour préserver notre patrimoine

Il s’agit d’un enjeu collectif, d’une lutte pour préserver ce qui fait l’identité de la France. L’arrestation de cette artiste devant le Sacré-Cœur est une honte, mais elle doit aussi être un électrochoc.

Montmartre, et plus largement la culture française, ne doivent pas être abandonnés. Ils sont les témoins d’un héritage, les garants d’une mémoire commune. La résistance passe par la valorisation de ces artistes authentiques, par le refus d’un système qui privilégie la fadeur mondialisée à la richesse des traditions locales.

Véronica Antonelli est un symbole d’espoir. Son combat montre que tout n’est pas perdu. En soutenant des artistes comme elle, en défendant des lieux comme Montmartre, nous pouvons empêcher la destruction de notre culture.

Pour aller plus loin et comprendre les enjeux de cette guerre culturelle, recevez votre revue mensuelle Géopolitique Profonde :