CÉRÉMONIE DES CÉSAR LGBT : ET LE GRAND GAGNANT EST… ÉMILIA PÉREZ “LE BARON TRANS MEXICAIN” ! | GPTV

CÉRÉMONIE DES CÉSAR LGBT : ET LE GRAND GAGNANT EST… ÉMILIA PÉREZ “LE BARON TRANS MEXICAIN” ! | GPTV

Le 3 mars à 12h30, Mike Borowski vous donne rendez-vous pour un sujet explosif, en direct sur Géopolitique Profonde.

Un film primé, un message clair

Le film Emilia Pérez de Jacques Audiard a marqué l’histoire du cinéma français en remportant sept César, dont celui de meilleur film. Son récit, centré sur un baron de la drogue mexicain qui transitionne pour devenir une femme, dépasse le cadre de la fiction : il illustre une transformation profonde du paysage culturel français.

Jadis marginale, la question transgenre est désormais au cœur du discours dominant, imposée comme une évidence par les institutions médiatiques et politiques. Ce sacre symbolise l’aboutissement d’un projet idéologique qui s’accélère depuis plusieurs années.

Un projet politique assumé

Depuis l’élection d’Emmanuel Macron en 2017, la question trans s’est hissée au premier plan des débats sociétaux. Derrière le prisme de l’inclusion et de la diversité, c’est une refonte complète des repères identitaires qui se met en place. L’État, les médias et les industries culturelles avancent ensemble pour déconstruire le modèle traditionnel de l’homme et de la femme.

Dans les écoles, les administrations et les productions audiovisuelles, la promotion du transgenrisme est devenue systématique, présentée comme une avancée incontournable. Cette dynamique ne relève pas d’un mouvement organique, mais d’une volonté politique appuyée par les élites progressistes, où toute remise en question est taxée de conservatisme.

Un effacement des repères identitaires

Cette évolution dépasse largement le simple combat pour les droits des minorités. Elle s’inscrit dans un projet de société qui vise à effacer toute notion de structure biologique et naturelle de l’identité. La dissolution des catégories traditionnelles ne se limite pas au genre : elle touche la famille, l’éducation et les fondements de la civilisation occidentale.

Cette stratégie repose sur un matraquage culturel, où la moindre opposition est immédiatement diabolisée. Ce que l’on présente comme une simple reconnaissance des identités fluides est en réalité une transformation radicale imposée par le haut, où les figures d’autorité – politiques, médiatiques et artistiques – façonnent un nouveau paradigme sans consultation démocratique.

Un basculement civilisationnel imposé

Le sacre d’Emilia Pérez aux César n’est pas un simple événement cinématographique : il s’agit d’un signal fort d’un basculement sociétal. Cette victoire consacre un nouveau modèle idéologique où le transgenrisme devient la norme à promouvoir et où toute critique est assimilée à une hérésie réactionnaire.

Ce phénomène ne relève pas du progrès naturel, mais d’une volonté d’ingénierie sociale, visant à redéfinir en profondeur les repères civilisationnels. Le comprendre, c’est se donner les moyens d’y résister.

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Une réponse

  1. Contrairement à ce que prétendent les « humanistes », il n’y a pas de progrès en matière de moeurs. Les sectes de l’anus existent depuis des lustres, leur prolifération semant toujours chaos et anarchie ce qui finit par détruire la société. Heureusement, la nature politique a horreur du vide, un pouvoir fort finit toujours par expulser le pouvoir décadent et les sectaires sont joyeusement massacrés.

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