Le 16 février à 12h30, Mike Borowski revient sur l’opportunité unique pour Hanouna de briser l’omerta sur les affaires Benalla, Alstom, Brigitte Macron et la censure médiatique.
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Hanouna doit briser l’omerta sur la Macronie
Cyril Hanouna a toujours cultivé une image d’animateur proche du peuple, offrant une tribune aux voix dissidentes que les grands médias refusent d’entendre. Son émission a souvent flirté avec les limites du politiquement correct, sans jamais aller trop loin. Mais aujourd’hui, la donne a changé. La disparition annoncée de C8 pourrait être l’occasion d’un ultime coup d’éclat : une semaine entière consacrée aux dossiers les plus explosifs du quinquennat Macron.
La Macronie s’est construite sur des scandales soigneusement étouffés. Derrière l’image d’un président moderne et progressiste, les affaires s’accumulent, et les médias dominants se chargent de minimiser leur impact. Affaire Benalla, vente d’Alstom, mystères autour de Brigitte Macron, dossiers sensibles sur le passé de certains proches du président, autant de sujets qui, traités en profondeur, pourraient faire vaciller le pouvoir.
Hanouna a entre les mains une arme redoutable : une audience de plusieurs millions de téléspectateurs et une diffusion en direct qui rend toute censure difficile. S’il décidait de consacrer ses derniers jours d’antenne à révéler ce que l’État et les médias cherchent à cacher, l’impact serait colossal. La question est simple : en aura-t-il le courage ?
Des dossiers explosifs à mettre sur la table
L’affaire Benalla est un scandale d’État sans précédent sous la Cinquième République. Un simple chargé de mission devenu un homme de confiance du président, bénéficiant d’un accès privilégié à l’Élysée, aux passeports diplomatiques, aux contrats douteux à l’étranger. La justice a été lente à enquêter, et l’affaire a progressivement disparu des radars médiatiques, comme tant d’autres. Pourtant, les zones d’ombre demeurent. Qui protégeait réellement Benalla ? Quels étaient ses véritables liens avec Macron et son entourage ?
L’affaire Alstom, quant à elle, démontre la soumission de la France aux intérêts américains. Le rachat par General Electric a non seulement affaibli l’indépendance énergétique du pays, mais il a aussi privé l’industrie française d’un fleuron stratégique. Emmanuel Macron, alors ministre de l’Économie, a joué un rôle clé dans cette transaction, présentée comme une simple opération économique alors qu’elle s’inscrivait dans une logique plus large de vassalisation industrielle. Aujourd’hui encore, aucun débat sérieux n’a eu lieu sur cette vente qui a coûté des milliers d’emplois et affaibli la souveraineté nationale.
Un autre sujet demeure tabou : l’identité et le passé de Brigitte Macron. Les enquêtes indépendantes menées par certains journalistes, notamment Xavier Poussard, ont démontré des incohérences troublantes dans son histoire officielle. Les médias se sont empressés de qualifier ces investigations de « complotistes », sans jamais y répondre sur le fond. Or, une démocratie repose sur la transparence, y compris pour ceux qui occupent les plus hautes fonctions.
D’autres affaires restent dans l’ombre, comme celle de Mathieu Gallet, ex-patron de Radio France et proche d’Emmanuel Macron, dont le parcours a été marqué par des polémiques et des accusations de favoritisme. Le silence médiatique sur ces sujets interroge : pourquoi certaines affaires font-elles la une pendant des semaines, tandis que d’autres disparaissent en quelques jours ?
Une opportunité historique pour Hanouna
Si Hanouna décide de franchir le cap, il pourrait inviter des figures interdites des plateaux de télévision traditionnels. Xavier Poussard, qui a enquêté sur plusieurs de ces affaires, pourrait apporter des éléments concrets sur des dossiers occultés. Candace Owens, opposante radicale au système médiatique américain, pourrait établir des parallèles avec les mécanismes de contrôle de l’information en France. D’anciens camarades de promo de Macron, des lanceurs d’alerte, des experts indépendants pourraient venir témoigner sans filtre.
Une semaine d’émissions en prime-time, avec trois heures de direct chaque soir, pourrait attirer des audiences records. Habituellement suivie par environ deux millions de téléspectateurs, une telle programmation pourrait facilement dépasser les trois ou quatre millions, sans compter l’énorme répercussion sur les réseaux sociaux.
Ce serait un électrochoc médiatique sans précédent, capable de fissurer le récit officiel et d’obliger d’autres médias à s’emparer de ces sujets. Mais pour cela, Hanouna doit accepter d’aller jusqu’au bout, sans craindre les pressions.
Hanouna en aura-t-il le courage ?
Ce moment de vérité est crucial. Pendant des années, Hanouna a affirmé être du côté du peuple, dénonçant la déconnexion des élites, défendant ceux que les médias méprisent. S’il choisit le silence dans cette dernière ligne droite, il prouvera qu’il n’est qu’un rouage de plus dans le système qu’il prétendait combattre.
À l’inverse, s’il ose consacrer cette ultime semaine à un déballage en règle des secrets de la Macronie, il marquera l’histoire médiatique française. Son émission pourrait devenir un tournant, un événement inoubliable pour tous ceux qui cherchent à comprendre ce qui se joue réellement derrière les façades du pouvoir.
Il ne s’agit plus de divertir, mais d’informer. Plus de rire, mais de révéler. Plus de jeux, mais de vérité. Hanouna a aujourd’hui un choix à faire : rejoindre le rang des censeurs ou devenir celui qui, à la dernière minute, a osé briser l’omerta.
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4 réponses
Dans tous les cas, ça restera une marionnette
ou pas
bonne idée Mike , toi tu as du courage! il faut que ça bouge. Je ne pourrai hélas être des votres le 1er mars pour des raisons de santé mais suis de tout coeur avec vous.
C est bien parlé, ça. Mike. C est peut être la solution pour lui devenir président de la république. Où plus rien du tout et là , il ne pourrait plus profiter de sa fortune. Mais sa popularité serait encore plus en croissance.