Le 5 janvier à 9h, Tarick Dali, Raphaël Besliu et Lara Stam sont les invités de Nicolas Stoquer, sur la chaîne YouTube de Géopolitique Profonde !
Tarick Dali est un conseiller en communication et ancien journaliste au Figaro. Il a cofondé Droite Libre et occupe actuellement le poste de secrétaire général adjoint du CNIP (Centre National des Indépendants et Paysans). En plus de ses responsabilités politiques, il a mené une carrière significative dans le secteur de l’équipement automobile, notamment en tant que Directeur de Développement pour la France, où il a acquis une compréhension approfondie des défis industriels et économiques auxquels l’Europe fait face aujourd’hui.
Lara Stam, chroniqueuse de talent sur Radio Courtoisie, elle est connue pour ses prises de position très pragmatiques sur les questions de souveraineté nationale et d’indépendance géopolitique.
L’idéologie climatique, une destruction programmée de l’Europe
L’Europe a décidé de condamner son industrie automobile en imposant la fin des moteurs thermiques au profit du tout électrique. Cette transition brutale n’est pas une simple adaptation, c’est une destruction programmée. Les entreprises, les emplois, et même la souveraineté industrielle sont les victimes directes de cette idéologie climatique aveugle.
Les batteries électriques, censées être le futur de la mobilité, reposent sur des matières premières rares, principalement importées de pays étrangers. Cette dépendance fragilise l’Europe face à des puissances comme la Chine. En parallèle, l’abandon du gaz russe bon marché a entraîné une flambée des coûts énergétiques. Résultat ? Les grandes entreprises, comme celles de l’industrie allemande, fuient vers les États-Unis, où l’énergie est moins chère et les règles plus favorables.
La situation devient absurde lorsque l’on constate que l’électricité qui alimentera ces voitures électriques proviendra largement des centrales nucléaires. Pourtant, les écologistes, farouches opposants à cette énergie, continuent de pousser pour sa suppression. C’est une politique suicidaire qui menace l’Europe, non seulement économiquement, mais aussi technologiquement.
L’automobiliste, cible désignée d’une guerre idéologique
La voiture, véritable symbole de liberté et de progrès, est aujourd’hui traquée par des politiques idéologiques qui visent à l’effacer du paysage. L’automobiliste est devenu l’ennemi public numéro un, harcelé par des réglementations absurdes et des infrastructures conçues pour le punir.
Le périphérique parisien, limité à 50 km/h, n’est qu’un exemple parmi tant d’autres. Ces mesures, prétendument prises au nom de la sécurité ou de l’écologie, transforment la vie quotidienne en cauchemar pour des millions de travailleurs. Ajoutez à cela les voies cyclables imposées de force, les sens de circulation modifiés et les pistes de bus omniprésentes : conduire en ville devient un supplice.
Cette offensive n’a rien de rationnel. Elle vise à restreindre la liberté des citoyens, tout en créant une fracture entre une élite déconnectée, qui prône des alternatives comme le vélo ou les trottinettes, et une majorité silencieuse qui dépend de son véhicule pour travailler et vivre. C’est une attaque directe contre les libertés fondamentales.
Hidalgo s’attaque aux SUV, une guerre contre la classe moyenne
Anne Hidalgo pousse encore plus loin cette logique punitive en annonçant un référendum visant à interdire les SUV à Paris. Ce n’est pas une mesure écologique, c’est une déclaration de guerre contre la classe moyenne, qui utilise ces véhicules pour des raisons pratiques et légitimes.
Les SUV ne sont pas un luxe, ils répondent à des besoins concrets. Ils offrent sécurité, capacité de transport et polyvalence. Les interdire, c’est priver des familles et des professionnels d’une solution adaptée à leurs besoins. Cette mesure reflète un mépris évident pour la réalité des Français, déjà écrasés par des taxes et des restrictions de circulation.
Ce référendum n’a qu’un seul objectif : consolider le contrôle de la mairie de Paris sur les modes de vie de ses citoyens. Ce n’est pas une mesure environnementale, c’est une manœuvre idéologique qui cherche à diviser la population entre ceux qui peuvent s’adapter aux lubies politiques et ceux qui en paient le prix fort.
Une réponse
Les Temps modernes et la civilisation de la bagnole c’est fini! Comme la terre est fini.
Oui, oui. Illimité la Révolution kabbalistique, ne le dites pas aux enfants cela leur fait peurrr.
D’où vient la croissance illimitée et le développement durable de lapin de l’En-sof et Coco en billevesées mondialiste.