LE VRAI NOM DU GRAND BORDEL MONDIAL : ARC-EN-CIEL | MARTIN PELTIER | GPTV

Le 16 mars à 19h, Martin Peltier est l’invité de Raphaël Besliu sur la chaîne YouTube de Géopolitique Profonde !

Martin Peltier est un essayiste et journaliste français, connu pour son regard incisif sur les mutations idéologiques et politiques de l’Occident. Dans son ouvrage Le vrai nom du grand bordel : Arc-en-ciel, il décrypte la mécanique d’un empire globalisé, structuré autour de l’écologisme, du wokisme, du LGBTisme et de l’antiracisme, visant à déconstruire les repères traditionnels et à imposer une gouvernance mondiale sous couvert de progrès. Il dévoile la cohérence cachée derrière ces mouvements et leur instrumentalisation par des institutions supranationales, notamment l’ONU.

L’Empire Arc-en-ciel

Loin d’être une somme d’idéologies indépendantes, l’Empire Arc-en-ciel constitue un projet global où chaque mouvement joue un rôle précis. Derrière l’écologisme, l’antiracisme, le wokisme et le LGBTisme, une même logique s’impose : déconstruire les repères traditionnels et imposer un ordre mondial fondé sur l’indifférenciation. Ces idéologies ne sont pas spontanées ; elles s’articulent selon une matrice bien définie, visant à formater les sociétés et à les rendre malléables.

L’Empire Arc-en-ciel fonctionne par une infiltration progressive des structures étatiques, culturelles et médiatiques. Les ONG, les institutions internationales et les grandes entreprises globalistes diffusent ces nouvelles normes sous couvert de justice sociale. Toute opposition est immédiatement stigmatisée : remettre en question ces dogmes revient à être accusé de haine, de fascisme ou de complotisme. La tactique est claire : faire taire les voix dissidentes pour imposer une vision unique du monde.

Ce projet ne repose pas seulement sur des discours, mais sur des politiques concrètes. L’éducation est un des premiers secteurs touchés : les programmes scolaires sont repensés pour intégrer une vision du monde où les traditions, la nation et la famille sont dévalorisées au profit d’un individu déraciné et interchangeable. La culture populaire est saturée de récits mettant en avant cette idéologie, tandis que les entreprises adoptent des chartes et des règlements forçant leurs employés à adhérer à cette pensée sous peine de représailles. Tout est normé, tout est contrôlé.

L’ONU : cœur du système de domination mondial

Loin d’être un simple forum de coopération, l’Organisation des Nations Unies est le pilier central de ce projet de refonte civilisationnelle. Derrière son vernis humaniste, elle impose un agenda idéologique radical sous prétexte de droits humains, de développement durable et de diversité. Ce ne sont pas de simples recommandations : les politiques de l’ONU influencent directement les législations nationales, les institutions économiques et les programmes éducatifs.

L’ONU utilise un soft power redoutable. Grâce à ses innombrables agences et sous-organisations (UNESCO, OMS, HCR, etc.), elle impose des normes globales qui deviennent des obligations déguisées. Elle diffuse ses idéaux à travers les ONG, les médias et les multinationales, qui relaient son discours sous couvert de modernité et de progrès. Chaque État qui refuse de se plier aux injonctions de l’ONU se retrouve sous pression diplomatique, économique et sociale.

Ses objectifs sont clairs : affaiblir la souveraineté des nations et faire des populations des sujets d’un ordre globalisé. En imposant des politiques uniformes sous prétexte de bien commun, l’ONU sape les fondements des États et des cultures. L’invasion de concepts comme la « justice climatique », les « droits sexuels » ou l’« inclusion systémique » ne sont que des outils pour remodeler la société selon une logique technocratique, où les élites décident de ce qui est acceptable et de ce qui doit disparaître.

L’ingénierie du chaos pour asseoir le nouvel ordre mondial

Le chaos n’est pas une conséquence accidentelle du projet Arc-en-ciel, il en est le moteur stratégique. Plus une société est désorganisée, plus elle devient facile à contrôler. Crises identitaires, tensions sociales, effondrement des valeurs traditionnelles, tout est savamment orchestré pour plonger les peuples dans un état de fragilité psychologique et culturelle.

Les grandes crises contemporaines ne sont pas simplement subies : elles sont exploitées à dessein. La pandémie, par exemple, a servi de laboratoire pour tester des restrictions massives des libertés et préparer les esprits à une gouvernance globale sous prétexte de sécurité sanitaire. Le changement climatique est utilisé comme levier pour justifier des restrictions économiques et énergétiques qui affaiblissent les États-nations. Les tensions autour du racisme systémique et des luttes de genre fragmentent les sociétés, empêchant toute union face à ceux qui orchestrent ce désordre.

Chaque crise est une opportunité d’accélérer la transition vers un nouvel ordre mondial où les populations, atomisées, seront soumises à une autorité centralisée. Plus les peuples sont divisés, plus ils sont dépendants d’un pouvoir supérieur qui leur promet protection et stabilité en échange de leur liberté. Cette ingénierie du chaos est une stratégie planifiée, et non un simple phénomène naturel.

Le but ultime de l’Empire Arc-en-ciel est limpide : anéantir les identités, dissoudre les souverainetés et imposer une gouvernance mondiale omnipotente. Ce projet ne laisse place à aucune alternative. Il avance sous couvert de progrès, mais vise en réalité à soumettre l’humanité à une structure supranationale totalitaire, où les décisions majeures ne seront plus prises par les peuples, mais par des élites détachées de toute responsabilité démocratique.

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