Le mondialisme, une idéologie et un projet totalitaire qui menace la France et le monde

Dans cet article, issu de l’entretien que nous avons eu avec Stanislas Berton, spécialiste du mondialisme, nous vous présentons ses analyses concernant l’idéologie et le projet du mondialisme, quelles sont ses origines, ses objectifs, ses réseaux, ses méthodes et ses adversaires.

Nous détaillons avec Stanislas Berton comment le mondialisme s’attaque à la famille, à la nation, à la religion, à la culture et à la vie humaine, et comment nous pouvons résister et reconquérir notre liberté et notre identité.

Qu’est-ce que le mondialisme ?

Le mondialisme est une idéologie et un projet totalitaire qui vise à abolir le politique, le contrôle économique, le domaine militaire et la dimension spirituelle.

Il s’agit de créer une gouvernance mondiale unique, qui contrôle les banques centrales, la monnaie et les ressources naturelles, qui dispose d’une armée, de services de renseignement et de médias à sa solde, et qui impose une religion universelle basée sur le culte de l’homme et de la nature.

Le mondialisme est porté par des grandes familles, des cercles de réflexion, des institutions internationales, des universités d’élite, des agents infiltrés dans les gouvernements et les élites de tous les pays.

Il a pour objectif de collectiviser et d’abolir la propriété privée en en faisant porter le chapeau aux politiques et se dégager de toute responsabilité.

Pour cela, il fait croire aux populations qu’il n’existe pas ou qu’il est bénéfique en utilisant des procédés d’ingénierie sociale, via la publicité, les relations publiques, et afin d’obtenir du peuple sont consentement à la servitude.

Qui s’oppose au mondialisme ?

Le mondialisme rencontre des résistances de la part de pays souverains et de forces spirituelles, qui refusent de se soumettre à son hégémonie.

Ces pays et ces forces défendent leurs intérêts nationaux, dénoncent les mensonges et les manipulations du mondialisme, s’opposent à ses agressions militaires et économiques et combattent son projet religieux et spirituel.

Parmi les pays qui résistent au mondialisme, on peut citer la Russie, la Chine, l’Iran, la Syrie, le Venezuela, la Corée du Nord…

Ces pays ont réussi à se libérer de l’emprise du mondialisme, à développer leur propre système financier, à renforcer leur coopération et leur solidarité, et à affirmer leur identité culturelle et religieuse.

Parmi les forces spirituelles qui résistent au mondialisme, on peut citer les chrétiens, les musulmans, les juifs, les bouddhistes, les hindous…

Elles croient en un Dieu créateur, qui a donné un ordre naturel et moral à l’univers, qui a fait l’homme à son image et à sa ressemblance, et qui attend de lui qu’il l’aime et qu’il aime son prochain.

Ces forces rejettent le culte de l’homme et de la nature, qui est une forme d’idolâtrie et de révolte contre Dieu.

Mondialisme, protestantisme, commerce, système bancaire, transhumanisme, sacrifice humain, pédocriminalité, chantage : quels sont les liens ?

Le mondialisme a des origines et des liens étroits avec le protestantisme, le commerce, le système bancaire, le transhumanisme, le sacrifice humain, la pédocriminalité et le chantage.

Ces éléments font partie de la religion et de la stratégie du mondialisme, qui est une religion satanique, messianique et mafieuse.

• Le protestantisme a favorisé le développement du mondialisme, en rompant avec l’Église catholique, en promouvant le libre examen, en valorisant le travail et l’argent, et en créant des sectes et des mouvements millénaristes.

• Le commerce a permis au mondialisme de s’étendre à travers le monde, en créant des réseaux d’échanges, en imposant des normes et des règles, et en favorisant la corruption et le pillage.

• Le système bancaire a donné au mondialisme le pouvoir de contrôler la monnaie, de créer de la dette, de financer des guerres et des révolutions, et de soumettre les nations à sa volonté.

• Le sacrifice humain est le moyen du mondialisme de rendre un culte à Satan, de tuer des innocents, de s’approprier leur énergie vitale et de préparer l’avènement de l’Antéchrist.

• La pédocriminalité est l’outil du mondialisme de corrompre et de détruire les enfants, de les utiliser comme des objets sexuels, de les vendre et de les tuer et de les priver de leur innocence et de leur dignité.

• Le transhumanisme est le projet du mondialisme de transgresser l’ordre naturel, de modifier le génome humain, de fusionner l’homme et la machine et de créer une conscience artificielle, qui se substitue à Dieu.

• Le chantage est le moyen pour le mondialisme de contrôler et de manipuler les opposants ou les gêneurs, de les faire chanter avec des preuves compromettantes, de les assassiner ou de les faire disparaître, de les trahir ou de les abandonner.

Quelle est la situation actuelle de la guerre contre le mondialisme ?

La guerre contre le mondialisme est une lutte de longue durée, qui se joue sur plusieurs fronts : politique, économique, militaire, spirituel…

Cette guerre oppose le mondialisme à une alliance de pays souverains et de forces spirituelles, qui cherchent à restaurer l’ordre naturel et à défendre la liberté et la dignité humaine.

Le rôle clef des États-Unis

Dans cette guerre, les États-Unis jouent un rôle clé, car ils sont le terrain d’une bataille entre une frange patriote et une frange mondialiste.

La frange patriote est représentée par Donald Trump, qui a été élu en 2016 grâce à une défaillance du système de fraude électorale, qui a pris des mesures contre le mondialisme, comme Make America Great Again ou le décret contre la fraude électorale, qui a noué des alliances avec la Chine, la Russie et l’Arabie saoudite, et qui a fait passer la loi Reversus Wade, qui limite l’avortement.

La frange mondialiste est représentée par George Soros, qui finance notamment le Parti démocrate, les antifas, les islamistes, les nazis et contrôle les médias, les réseaux sociaux, les juges, les procureurs…

Elle organise des crises sanitaires, des émeutes, des attentats, afin d’imposer le Great Reset, qui est le plan du Forum économique mondial pour instaurer le mondialisme.

Les États souverains, farouches opposants au Mondialisme

La Chine et la Russie sont les piliers de l’alliance anti-mondialiste, car ils ont réussi à s’en libérer, à développer leur propre système financier, à renforcer leur coopération et leur solidarité et à affirmer leur identité culturelle et religieuse.

Ils sont visés par des attaques, comme la crise sanitaire ou la situation en Ukraine, mais ils résistent et ripostent et sont soutenus par d’autres pays, comme l’Inde, le Brésil ou l’Afrique du Sud, qui font partie des BRICS, groupe de pays émergents qui s’opposent au mondialisme.

L’Arabie saoudite est la clé pour comprendre la guerre contre le mondialisme, car il a été créé par la CIA pour contrôler les réserves de pétrole.

L’Arabie saoudite a financé le mondialisme et la vie politique occidentale, notamment le Parti démocrate et le Parti socialiste, mais a connu une purge anticorruption en 2017, menée par Mohamed Ben Salman, quia finalement rompu avec le mondialisme et veut rejoindre les BRICS.

Quelle est la position de la France face au mondialisme ?

La France est un pays qui a une longue histoire de résistance au mondialisme, mais qui a aussi été profondément infiltré et influencé par celui-ci.

C’est en réalité un pays occupé par le mondialisme depuis au moins la Révolution française, coup d’État proto mondialiste, qui a renversé la monarchie catholique.

Depuis ce basculement en partie orchestré par des agents mondialistes, la France a perdu une grande partie de sa souveraineté politique, économique, culturelle et spirituelle.

Elle a été progressivement transformée en une république laïque, progressiste et universaliste, qui a renié son héritage catholique et monarchique.

Elle a également été entraînée dans des guerres et des conflits qui ne servaient pas ses intérêts, mais ceux du mondialisme.

Aujourd’hui, la France est un pays qui subit les conséquences de la mondialisation, comme l’immigration de masse, la perte d’identité, la crise sociale, la dépendance financière, la soumission aux institutions supranationales…

C’est aussi un pays menacé par le projet mondialiste de créer un gouvernement mondial, une monnaie unique et une religion universelle.

Face à cette situation, il existe en France des courants de pensée et des mouvements politiques qui s’opposent au mondialisme et défendent la souveraineté, la tradition, la nation, la foi…

Ces courants sont souvent marginalisés, diabolisés ou censurés par les médias et les élites mondialistes, qui les accusent de complotisme, de populisme, de nationalisme ou de fascisme.

Ils sont aussi souvent divisés, dispersés ou infiltrés par des agents du système.

Néanmoins, ils représentent une force de résistance qui peut espérer un réveil du peuple français et une reconquête de sa liberté et de sa grandeur.

Pour cela, ils doivent s’unir, s’organiser, s’informer, se former, se mobiliser, et surtout se reconnecter à leur histoire, à leur culture, à leur identité, et à leur vocation spirituelle.

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