GUERRE TOTALE CONTRE LE CATHOLICISME : LES ENNEMIS DE LA FRANCE NE SE CACHENT PLUS ! | GPTV

Le 25 octobre à 12h30, Mike Borowski décrypte la montée des attaques contre le catholicisme en France, entre profanations des lieux saints et complicité silencieuse des médias.

Une offensive sans précédent contre le catholicisme

Les attaques contre l’Église catholique se multiplient, et ces dernières années, nous assistons à une escalade sans précédent. L’un des exemples les plus marquants est la proposition récente de Rachida Dati, ancienne ministre et maire du 7ème arrondissement de Paris, qui souhaite rendre payante l’entrée à la cathédrale Notre-Dame. Ce monument emblématique de la foi chrétienne, au cœur de Paris, serait ainsi transformé en attraction touristique, accessible uniquement à ceux qui peuvent se permettre de payer.

Le fait de vouloir monnayer l’accès à l’un des plus grands monuments catholiques de France, peu de temps après sa reconstruction partielle suite à l’incendie de 2019, montre bien que les élites politiques ne se cachent plus dans leur mépris des croyants. Sous couvert de modernité et de gestion économique, on assiste à une tentative claire de dissocier ces lieux de leur signification spirituelle pour les réduire à des objets marchands. Cette initiative fait écho à une politique plus vaste de désacralisation des lieux de culte, une démarche qui participe à l’effacement progressif du patrimoine chrétien.

À Marseille, une autre attaque symbolique a récemment fait la une. La mairie envisage sérieusement de réquisitionner la Basilique Notre-Dame de la Garde pour en faire une salle de shoot. Oui, vous avez bien lu, ce lieu sacré, surnommé « La Bonne Mère » par les habitants de Marseille, pourrait être utilisé pour permettre aux toxicomanes de s’injecter leur drogue en toute légalité. Cette proposition, au-delà de son caractère absurde et choquant, symbolise la profanation ultime d’un lieu saint. Si un tel projet venait à se concrétiser, cela marquerait une étape décisive dans la guerre menée contre le catholicisme en France.

Le silence complice des médias

Les médias, complices silencieux de cette offensive contre l’Église, participent activement à ce processus de destruction. Dans les émissions populaires, comme celle de Cyril Hanouna, certains chroniqueurs n’hésitent plus à exprimer ouvertement leur hostilité envers les symboles religieux catholiques. Récemment, plusieurs d’entre eux ont même suggéré de raser la Basilique du Sacré-Cœur, considérée par eux comme un symbole de la réaction contre-révolutionnaire. Ce monument, perché sur la colline de Montmartre, est pourtant un des plus visités de la capitale et un lieu de prière quotidien pour des milliers de fidèles.

Cette attaque verbale reflète une tendance plus générale à vouloir déboulonner les symboles chrétiens qui ont façonné la France. Démolir la Basilique du Sacré-Cœur, c’est vouloir effacer de l’histoire de France une partie de son héritage spirituel. Ce type de déclarations, qui aurait été inimaginable il y a quelques décennies, devient aujourd’hui monnaie courante dans les cercles médiatiques et politiques, révélant l’ampleur du mépris envers le catholicisme.

En parallèle, sur le terrain, les églises continuent de brûler dans l’indifférence quasi générale. En moins d’un an, ce sont 40 églises qui ont été incendiées en France. Un chiffre alarmant qui montre que l’hostilité envers la religion catholique se traduit désormais par des actes criminels, perpétrés dans une quasi-impunité. Pourtant, ces attaques ne font que très rarement la une des médias traditionnels, comme s’il s’agissait de simples faits divers sans grande importance.

La République en guerre contre l’Église

Face à cette vague d’attaques contre l’Église, certains théologiens n’hésitent plus à parler de l’arrivée imminente de l’Antéchrist en France. Le rejet des valeurs chrétiennes et l’effacement progressif de la foi dans l’espace public préfigurent un basculement vers une société déconnectée de ses racines spirituelles.

De nombreux croyants s’interrogent : sommes-nous en train de vivre les prémices d’une ère de persécutions ? Les symboles religieux sont saccagés, les lieux de culte incendiés, et le discours médiatique relègue le catholicisme au rang de simple folklore, lorsqu’il n’est pas ouvertement attaqué. La République, qui se présente comme laïque, ne cache plus sa volonté de détruire l’influence de l’Église. Ce processus, qui peut paraître subtil pour certains, est en réalité une véritable guerre spirituelle menée contre les valeurs qui ont fait la France.

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