Le 31 janvier à 12h30, Mike Borowski révèle comment l’État profond tente d’éliminer Robert F. Kennedy Jr., dont la nomination au ministère de la Santé menace d’exposer les collusions entre Big Pharma et les agences sanitaires.
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L’État profond tremble devant Robert F. Kennedy Jr.
Le 29 janvier, Robert F. Kennedy Jr. a été auditionné par le Sénat américain pour sa nomination au poste de ministre de la Santé sous l’administration Trump. La veille de cette audition capitale, une offensive médiatique sans précédent a éclaté contre lui. Accusations de comportements inappropriés, rappel de son passé de toxicomane, attaques sur ses positions en matière de santé publique, tout a été mis en place pour miner sa crédibilité et empêcher sa confirmation.
Cette attaque ne relève pas du hasard, elle est une manœuvre calculée de l’État profond, qui voit en Kennedy une menace directe contre son emprise sur l’appareil sanitaire américain. Son engagement pour la transparence dans les politiques de santé et sa dénonciation des collusions entre les agences sanitaires et les multinationales pharmaceutiques en font une cible prioritaire. Son ascension au pouvoir signifierait la fin de l’impunité pour ceux qui ont façonné la gestion des crises sanitaires sur des intérêts privés plutôt que sur des bases scientifiques.
L’arme utilisée contre lui est classique : attaques personnelles et diffamation. En ravivant des éléments de son passé et en le présentant comme un homme instable, ses adversaires espèrent détourner l’attention du public des scandales de corruption qu’il s’apprête à révéler. Cette tactique a été employée à maintes reprises contre ceux qui menacent le système en place, et Kennedy ne fait pas exception.
Un séisme sanitaire mondial prêt à éclater
Si Robert F. Kennedy Jr. accède au poste de ministre de la Santé, il aura un accès immédiat aux documents confidentiels des agences comme la FDA, le CDC et les NIH. Ces dossiers renferment des preuves accablantes des conflits d’intérêts entre le gouvernement et l’industrie pharmaceutique, notamment dans la gestion de la crise du Covid-19 et les pratiques douteuses des grands laboratoires.
Depuis des années, Kennedy dénonce ces collusions, exposant comment des décisions sanitaires ont été influencées par des intérêts financiers plutôt que par des considérations médicales objectives. Il a mis en évidence les liens opaques entre les autorités sanitaires et les fabricants de vaccins, démontrant comment ces derniers ont pu imposer leurs produits au détriment de la santé publique.
Ses enquêtes sur le Gardasil et d’autres vaccins expérimentaux ont révélé des manipulations scientifiques, des essais bâclés et des effets secondaires ignorés par les régulateurs. Si Kennedy obtient un poste de pouvoir, il pourrait déclassifier des documents compromettants, mettant ainsi en péril non seulement les dirigeants des agences sanitaires américaines, mais également les multinationales qui ont façonné les politiques sanitaires mondiales.
L’État profond sait que ces révélations pourraient entraîner une vague de poursuites judiciaires contre ceux qui ont imposé des traitements controversés, censuré des scientifiques dissidents et orchestré une propagande massive pour imposer un narratif unique. Il en va de la survie de tout un système de contrôle basé sur la peur et la manipulation.
Une révélation qui pourrait atteindre la France
Si les États-Unis exposent les manipulations des grandes agences sanitaires, l’impact sera mondial. En France, où la gestion de la crise sanitaire a suivi à la lettre les directives de l’OMS et des lobbies pharmaceutiques, une telle révélation remettrait en cause des décisions politiques majeures prises depuis 2020.
Les accords secrets entre le gouvernement français et les laboratoires seraient au cœur du scandale. Pourquoi ces accords ont-ils été classifiés pendant plusieurs décennies ? Quels conflits d’intérêts impliquent les conseillers scientifiques ayant dicté les mesures restrictives ? Pourquoi les traitements alternatifs ont-ils été systématiquement écartés au profit de solutions imposées par l’industrie pharmaceutique ?
Si Kennedy met au jour les connexions troubles entre l’État profond américain et Big Pharma, alors la pression de l’opinion publique française deviendra inévitable. Les citoyens exigeront des réponses sur la gestion de la crise, les mesures de coercition et les conflits d’intérêts qui ont influencé les décisions sanitaires en France.
L’État profond craint cet effet domino. Si les vérités sortent aux États-Unis, elles ne pourront pas être contenues en Europe. Les responsables des décisions prises pendant la pandémie devront rendre des comptes, et les narratifs officiels imposés par les médias dominants s’effondreront sous le poids des preuves.
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