Un projet authentique de parquage d’être humains
Essai par Eric Worrall- Première publication JoNova.
Imaginez que vos politiciens fous de pouvoir aiment tellement les verrouillages Covid qu’ils veulent les poursuivre indéfiniment.
Cela va être testé dans le Oxfordshire en Grande-Bretagne.
Le conseil du comté d’Oxfordshire adopte un » essai » de verrouillage climatique qui débutera en 2024 :
Le conseil du comté d’Oxfordshire a approuvé hier des plans visant à enfermer les résidents dans l’une des six zones afin de « sauver la planète » du réchauffement climatique.
La dernière étape du projet de « ville en 15 minutes » consiste à placer des barrières électroniques sur les principales routes d’entrée et de sortie de la ville, afin de confiner les habitants dans leur propre quartier.
Si les habitants veulent sortir de leur zone, ils devront obtenir l’autorisation du Conseil, qui décidera qui est digne de liberté et qui ne l’est pas.
Dans le cadre du nouveau système, les résidents seront autorisés à quitter leur zone au maximum 100 jours par an, mais pour pouvoir le faire, chaque résident devra enregistrer les détails de sa voiture auprès du conseil, qui suivra ensuite leurs mouvements grâce à des caméras intelligentes dans toute la ville.
Le communisme améliorera notre temps.
Le conseil du comté d’Oxfordshire, qui est dirigé par les travaillistes, les libéraux-démocrates et les verts, a secrètement décidé de diviser la ville d’Oxford en six districts de « 15 minutes » en 2021, peu après leur élection.
Bien entendu, aucun des conseillers n’a déclaré dans son manifeste son intention d’emprisonner les résidents locaux, préférant faire de vagues déclarations sur la façon dont ils vont « améliorer l’environnement ».
Chaque résident sera tenu d’enregistrer sa voiture auprès du conseil du comté, qui contrôlera ensuite le nombre de fois où il quittera son district grâce à des caméras de reconnaissance des plaques d’immatriculation.
Et ne pensez pas que vous pouvez contourner le système si vous avez deux voitures. Ces deux voitures seront comptées comme une seule, ce qui signifie que vous devrez répartir les trajets entre vous. 2 voitures de 50 trajets chacune ; 3 voitures de 33 trajets chacune et ainsi de suite.
Cette histoire est tellement folle que j’ai voulu la corroborer. Il s’agit de la même histoire publiée dans l‘Oxford Mail ;
Les filtres à circulation diviseront la ville en six quartiers « 15 minutes », selon un conseiller municipal chargé des routes.
Les barrages routiers empêchant la plupart des automobilistes de traverser le centre-ville d’Oxford diviseront la ville en six quartiers « de 15 minutes », a déclaré un responsable des déplacements du conseil départemental.
Et il a insisté sur le fait que ce plan controversé serait mis en œuvre, que les gens l’apprécient ou non.
Duncan Enright, membre du cabinet du conseil du comté d’Oxfordshire chargé des déplacements et de la stratégie de développement, a expliqué les propositions de filtres de circulation de l’autorité dans une interview au Sunday Times.
Il a déclaré que les filtres transformeraient Oxford en « une ville où il faut 15 minutes » pour accéder aux services locaux dans un rayon de marche très court.
Les gens peuvent conduire librement dans leur propre quartier et peuvent demander un permis pour conduire à travers les filtres, et dans d’autres quartiers, jusqu’à 100 jours par an. Cela équivaut à une moyenne de deux jours par semaine.
L’Oxfordshire et les détails de son concept de « ville de 15 mn », inspirée de Anne Hidalgo…
L’Oxfordshire est le siège de l’Université d’Oxford, l’un des principaux établissements d’enseignement de Grande-Bretagne.
Les États communistes comme l’Union soviétique et la Chine semblent adorer les restrictions de mouvement et les passeports internes.
À mon avis, la Grande-Bretagne se rapproche du communisme pur et dur depuis au moins un demi-siècle.
Il était donc inévitable qu’une tentative soit faite à un moment donné pour introduire des restrictions de mouvement à la chinoise pour les Britanniques.
À mon avis, les revendications climatiques ne sont qu’une excuse, une tentative de détourner les critiques de leur autoritarisme.
J’adorerais écrire que l’Université d’Oxford est en colère, que les universitaires d’Oxford sont indignés par cette tentative de restreindre la liberté des gens, mais jusqu’à présent, je n’ai pas découvert une seule expression d’indignation publique de la part des universitaires.
Pendant près de mille ans, l’université d’Oxford a été le phare de la liberté intellectuelle.
Un certain nombre de grands intellectuels d’Oxford ont été pendus ou autrement persécutés au cours des siècles, en raison de leur résistance à l’autoritarisme. Il est donc incroyablement triste que les héritiers de cette fière tradition semblent si désireux de tourner le dos aux libertés que leurs prédécesseurs ont parfois sacrifié leur vie pour défendre.
Le concept de « 15 Minute City » mentionné par le conseiller Duncan Enright est intimement lié aux objectifs de durabilité et de climat.
Extrait de Introduction à la « ville 15 min« – Durabilité, résilience et identité du lieu dans les futures villes post-pandémiques :
« … Le succès de ce concept, tel qu’il a été démontré dans la ville de Paris sous la direction du maire Anne Hidalgo, a été salué comme un puissant concept d’urbanisme qui conduira à une relance économique, tout en apportant une cohésion et une interaction sociales et en aidant à créer des écosystèmes durables dans les villes, surtout après les expériences de COVID-19 et les mesures de confinement associées.
Si certaines des caractéristiques du concept de « ville en 15 minutes » ont été temporairement adoptées dans différentes villes après les impacts du COVID-19, son adoption dans la planification à long terme se traduirait par une meilleure qualité de vie, car la proximité des services de base permettrait d’économiser le temps perdu dans le trafic, favorisant ainsi la mobilité durable [35]. »
Cela contribuera aux efforts visant à réduire les émissions, comme le prévoit l’accord de Paris, et à promouvoir une production culturelle plus élevée, entre autres. Par exemple, en repensant le système de transport pour créer davantage de rues cyclables et piétonnes, les problèmes liés à la possession d’une voiture privée seront en quelque sorte résolus, car ils seront réduits si davantage de personnes adoptent la culture du vélo.
En outre, comme l’exprime Reimer [36], l’adoption du concept de « ville en 15 minutes » ouvrira également la voie à des innovations numériques plus originales, telles que les technologies de partage de vélos, qui augmenteront les expériences de haute qualité de vie des résidents urbains.
Par exemple, comme l’exprime Gehl [37], le fait de repenser les villes pour faciliter la marche et le cyclisme inspirerait à son tour la création de parcs, de places et de lieux publics au sein des quartiers et, ce faisant, contribuerait à combler l’inégalité sociale dans l’accès à ces installations, qui ne sont pas toujours disponibles pour tous dans une ville dépendante de la voiture. … »
Balkaniser les villes en quartiers plus petits, comme les quartiers dans « The Hunger Games », causera à mon avis des dommages économiques substantiels, et réduira les contacts sociaux et la coopération entre les différentes régions des villes qui ont été manipulées de cette façon.
L’intérêt de vivre en ville, pour les personnes qui le souhaitent, réside dans le large éventail de possibilités et de ressources économiques et sociales qu’offre la vie urbaine.
Mais comme ils l’ont dit à maintes reprises, les concepts traditionnels de prospérité et de croissance économique ne sont pas les objectifs fondamentaux des « deep greens ».
Pour comprendre et identifier l’ennemi globaliste, (re)visionnez notre entretien avec Pierre-Antoine Plaquevent.
Source: Watts Up With That?
8 Responses
« les concepts traditionnels de prospérité et de croissance économique ne sont pas les objectifs fondamentaux des « deep greens » »
La croissance économique est l’ennemie: il faut que les citoyens apprennent à vivre comme des animaux dans leur écosystème, leur terrier, et les restrictions à leurs déplacements dans cette perspective sont fondamentales. Le « modèle animal », si cher à nos « deep greens » doit servir à garantir que tout « départ » des cycles naturels, soient rendu illicite, illégal. L’animal ne pollue pas, disent-ils, il existe sur un mode « durable », sa vie est réglée par les cycles naturels. La regression de l’humain à l’animal est LE projet anthropologique de cette élite. La fin de l’Homme en tant que singularité (aujourd’hui encore affranchi des cycles naturels, des lois des écosystèmes, etc.) est LE programme de l’élite mondiale. A elle la Liberté, la jouissance sans limite, l’usage libre de tous les corps (y compris ceux de nos enfants), à nous la tanière, le bol alimentaire garni de vers, le dénuement « heureux ».
Je ne crois pas qu’il s’agisse de « communisme pur et dur ». C’est bien pire: une néo-aristocratie a décidé de figer l’histoire en rendant l’économie « circulaire », afin d’empêcher l’émergence de classes montantes, entrepreneuriales et affranchies de son emprise lesquelles, à l’image du Tiers Etat dans le XVIIIe siècle pré-révolutionnaire, seraient tentées de se livrer à des activités productrices de richesses nouvelles susceptibles de procurer à ce Tiers Etat un enrichissement et un pouvoir économique qui dérangerait la domination de la néo-aristocratie. Toute la perversion d’une élite immobiliste face au risque de se voir dérangée par un tiers-état entreprenant (bien représenté par un Elon Musk aujourd’hui) renvoie à la situation qu’avait connu la France une décennie avant la décapitation de Louis XVI, quand l’aristocratie voyait son statut menacé par la bourgeoisie proto-industrielle. Avec Davos et ses agents en poste dans les gouvernements occidentaux, nous sommes en présence d’une classe post-capitaliste, composée d’une élite enrichie au XXe siècle par les énergies fossiles et l’informatique et qui tient à tout prix à ce que personne, après elle, ne s’enrichisse jamais en risquant de bousculer ses acquis, d’où l’impératif de rendre l’économie « circulaire » (excluant toute ascension socio-économique des acteurs) et une gouvernance dans laquelle les Young Global Leader sont nommés d’en haut (au mépris de tout principe méritocratique) . Donc, pas de « communisme », bien sûr mais un « post-capitalisme » voulu par une néo-aristocratie qui entend pérenniser sa domination et étouffer, y compris dans la violence et le génocide, toute velléité de création de richesses et de création tout court, d’où l’importance pour cette caste maudite d’un « revenu universel » conçu pour garantir l’inertie des populations et les maintenir dans un état végétatif pérenne. Tel est l’horizon que réserve cette néo-aristocratie (issue de la bourgeoisie des XIX et XXe siècles) à l’Occident dans ce moment du siècle. On gaspille son temps et son énergie à pointer du doigt tantôt « les méfaits du capitalisme », tantôt « un communisme absolu », dans ce que nous vivons et subissons aujourd’hui.
Merci pour votre commentaire enrichissant que je vais méditer comme il le mérite, bonne analyse .
Ceci dit, notez que ceux dont vous parlez sont majoritairement soit de gauche (clan Biden, Clinton, Obama) sinon néo-conservateurs.
Quiconque a étudié les néo-conservateurs sait qu’il s’agit d’un mouvement Trotskiste dès le premier jour, crée par et pour des Trotskistes clairement identifiés .
Donc communisme non, mais Trotskisme oui .
Oui, d’accord avec cela: le trotskysme était un mondialisme chimiquement pur, et on se dit en se penchant sur le cas Trotsky que si cette fripouille avait été au pouvoir à Moscou au moment de l’offensive hitlérienne, il ne fait aucun doute qu’il aurait scellé une alliance avec le chef nazi en vue d' »abattre le capitalisme en Amérique du Nord » et d’espérer doubler Hitler après avoir scellé une alliance stratégique avec lui. Hitler et Trotsky partageaient le même ressentiment anti-national et la même aspiration à broyer les nations dans la poursuite d’un projet global et totalitaire.
Pour en revenir au « Global Reset », ouvrage cosigné par un ancien trotskyste français: il s’agit d’un manifeste post-capitaliste et ce n’est certes pas un hasard si K. Schwab affiche un portrait de Lénine dans son bureau. Ces gens se nourrissent de signes et de symboles comme toutes les sectes. Le capitalisme, à leurs yeux, a rempli son objet historique, qui était d’offrir la domination politique, la puissance, au sens le plus heideggerien du terme, à une caste enrichie grâce à lui; quant au communisme, il fut un outil, un instrument utile pour amener l’immense Asie dans la sphère industrielle capitaliste (seuls les pays musulmans d’Asie orientale, Malaisie, Indonésie, Brunei, et ceux, tels le Japon et partiellement la Corée, dont l’industrialisation s’était opérée de manière quasi-synchrone avec celle de l’Occident, ont échappé au communisme, c’est bien là le signe de la fonction historique du communisme, visage « dur » du capitalisme en appétit de ressources, dévorant le monde agraire de l’Orient). Le communisme fut le fourrier, le chausse-pied du capitalisme des hauts-fourneaux qu’avaitent connu l’Europe et l’Amérique 100 ans avant l’Asie orientale dont les économies étaient demeurées réglé sur les saisons les heures données par la position du soleil dans le ciel. Le communisme aura servi à introduire la pendule d’atelier dans ces vastes espaces ruraux d’Asie orientale, propulsant ainsi la Chine au rang qui est le sien aujourd’hui dans le monde industriel. Il ne fut qu’une ruse historique du capitalisme, son masque messianique ou entéléchique, sa carotte.
La néo-aristocratie qui se forme et s’affirme sous nos yeux, caste jouisseuse qui ne crée rien et a bien l’intention que rien ne se crée plus désormais hormis les outils génocidaires qu’elle fait mettre au point par les groupes pharmaceutiques et les firmes de bio-ingénierie, se tourne à présent, comme pour boucler une vaste boucle historique, vers l’économie de rente, la propriété foncière rurale, et l’on voit Bill Gates acheter des terres en Amérique du Nord, comme il l’avait fait des brevets industriels dans « l’ère capitaliste ». L’homme, figure de proue de cette caste délétère, entend bien s’installer dans le statut d’artistocrate terrien, à l’image ce que pouvait être l’aristocratie française sous Louis XV.
Elon Musk, lui, continue d’entreprendre, de concevoir des machines, comme autrefois la bourgeoisie d’entreprise, et d’intervenir sur le plan des affaires politiques en se démarquant de la Caste qui apparaît tous les jours davantage pour ce qu’elle est : un fruit pourrissant et statique de l’arbre industriel quasi-mort dont les racines plongent dans la décennie 1850.
Lockdown se traduit par « confinement » dans ce contexte, pas « verrouillage ». Les mauvaises traductions noient l’info, le sens et le poisson.
Pour donner une idée, le conseil d’Oxfordshire c’est comme si la socialiste alcoolique Martine Aubry décidait de confiner la région nord 59.
Elle est belle la démon-crassie socialiste de la Fabian Society des frères latruelle !
Soyons certains que pour l’Oxfordshire, le confinement ne concernera que les citoyens légaux, les clandestins eux, pourront se promener exactement quand et comment ils le désirent, sur-citoyens exactement comme lors des confinements.
La blague étant, que ce confinement climatique se fait au nom du Co2 et que les clandos sont des sources supplémentaires de Co2, donc la vérité est ailleurs, loins ailleurs du prétexte.
Les clandos n’auront et n’ont pas besoin de présenter des papiers, ni d’état civil pour avoir accès à des prestations, ni de cotiser pour être assurés sociaux, ni de justifier de leur nationalité, de leur âge réel, ni rien de tout cela.
Même les tests de médecine légale prouvant que les « mineurs isolés de 40 ans » sont interdits à notre administration, par notre propre administration.
Ceci étant dit, nous aussi les sous-chiens pouvons créer nos propre griffonnages ayant valeur de loi :
Hier soir, bien avinés au bar du coin, Robert, Jean-Michel, Arnaud et moi-même avons crée de nouvelles loi à notre état indépendant de Gaulois.
Il est dorénavant légal de mettre hors d’état de nuire par n’importe quel moyen n’importe quel despote d’occupant républicain qui prendrait une décision ou aurait une seule parole qui ne nous plairait pas.
C’est écrit sur du papier, Ginette est greffière donc cela a force de loi !
Ce que font nos pourritures ne pisse pas plus haut, c’est devenu ridicule !
Secession totale nous ne leur reconnaissons plus aucune légitimité, autorité, ni le moindre droit que de partir en courant avant qu’on leur tombe dessus et que nous leur apportions le châtiment qu’exigent NOS lois populaires et démocratiques . ^^