Le 21 octobre à 19h, Myriam Palomba, Sarah Frikh, Jean-Luc Robert et Lionel Labosse sont les invités de Mike Borowski, en direct sur la chaîne YouTube de Géopolitique Profonde !
Myriam Palomba est une journaliste et directrice de rédaction française, connue pour son travail dans la presse people. Elle a occupé des postes clés dans des magazines tels que Public et est également active dans la production de contenu digital. Myriam Palomba se distingue par son franc-parler et son regard critique sur les médias et la politique.
Sarah Frikh est une journaliste, consultante en harcèlement et cyberharcèlement. Elle est également présidente de l’association « Réchauffons nos SDF » qui a aidé près d’une centaine de femmes et enfants et fait plus de 200 mises à l’abri. Elle a lancé en 2017 une pétition sur change.org pour demander des centres d’hébergement pour les femmes SDF, qui a recueilli plus de 404 000 signatures. Elle alerte régulièrement sur la situation de ces personnes en difficulté sur les réseaux sociaux et organise des actions concrètes pour leur venir en aide.
Jean-Luc Robert est un auteur et conférencier français reconnu pour ses analyses critiques sur les dérives sociétales, en particulier celles liées à la santé mentale et à la neurodiversité. Après une carrière en tant que psychologue spécialisé dans les troubles du comportement chez les enfants, il se tourne vers l’écriture et la vulgarisation pour dénoncer les excès de la médicalisation à outrance. Son dernier ouvrage, “Neuro divers +”, explore les enjeux et les conséquences du surdiagnostic chez les jeunes et les adultes, mettant en lumière les dangers de la marchandisation de la santé mentale.
Lionel Labosse, essayiste, journaliste indépendant et auteur engagé, est reconnu pour ses prises de position audacieuses sur les sujets de société et de politique. Il a déjà marqué les esprits par ses travaux critiques sur les médias mainstream et la politique française.
L’empire obscur de P. Diddy
L’affaire Puff Daddy est bien plus qu’un simple scandale de célébrités ; elle dévoile un système profondément ancré de pédocriminalité, de drogues et de disparitions d’enfants au sein des cercles de pouvoir. Des informations confidentielles révèlent l’existence de cérémonies sataniques où des personnalités influentes participaient à des orgies et des rituels obscurs, impliquant des mineurs dont certains n’ont jamais été retrouvés. Ces pratiques, organisées par P. Diddy lui-même, viseraient à manipuler et corrompre des figures de l’industrie musicale, des financiers, et des politiques américains.
Mais ce n’est pas tout. Des sources affirment que ce réseau s’étend bien au-delà des frontières américaines, avec des connexions en Europe, et notamment en France. Les enquêtes préliminaires pointent des liens directs entre P. Diddy et des rappeurs influents comme Booba ou Kaaris, ainsi que des figures politiques françaises telles que Jean Sarkozy et d’autres membres influents de l’entourage politique. La disparition de certains enfants et des preuves photographiques montrant des rencontres secrètes démontrant un véritable réseau de pouvoir tentaculaire, avec des ramifications internationales.
P. Diddy et le spectre d’Epstein
Face à ces accusations dévastatrices, P. Diddy est placé sous une surveillance stricte dans une cellule anti-suicide, le même type de dispositif où Jeffrey Epstein a été retrouvé mort. Ce choix des autorités n’est pas anodin : ils envoient un message clair. P. Diddy détient des informations sensibles capables de compromettre des personnalités influentes dans les sphères politiques et industrielles.
Cette mesure de sécurité indique clairement l’intention de contrôler P. Diddy pour éviter toute fuite compromettante. Mais le risque est évident : tout comme Epstein, il pourrait bien finir par « se suicider » de manière suspecte avant d’avoir l’occasion de parler. Ce scandale dépasse largement le cadre de l’affaire Epstein, c’est une bombe à retardement qui menace de révéler l’existence d’un réseau tentaculaire actif aussi bien aux États-Unis qu’en Europe, avec des ramifications jusqu’en France.
La chute de Kamala Harris en marche
Alors que Kamala Harris se lance dans la course présidentielle, l’affaire P. Diddy pourrait bien porter un coup fatal à sa carrière politique. Les liens étroits et stratégiques qu’ils ont tissés représentent désormais une menace directe pour sa campagne. Pour rappel, P. Diddy a joué un rôle crucial lors de l’élection de Barack Obama, mobilisant massivement l’électorat afro-américain à travers son mouvement « Vote or Die ». Plus récemment, son soutien actif à Harris et leur proximité affichée lors de plusieurs événements publics montrent une alliance politique solide. Ce soutien, jadis un atout majeur, est aujourd’hui devenu un fardeau potentiellement fatal pour la vice-présidente, désormais associée à un réseau criminel impliquant des abus d’une gravité extrême.
En dépit des révélations accablantes, les médias français persistent dans leur silence, refusant de couvrir cette affaire aux ramifications pourtant évidentes. Les preuves s’accumulent et montrent clairement une tentative de dissimulation orchestrée par ceux qui cherchent à protéger leurs intérêts. Ce n’est plus une simple affaire de rumeurs : c’est une bombe politique prête à exploser, dont les répercussions dépasseraient les frontières des États-Unis. Si la vérité éclate, elle emportera Kamala Harris et de nombreuses figures influentes du parti démocrate et de l’establishment américain. Les connexions internationales, notamment en Europe et en France, montrent l’ampleur d’un réseau tentaculaire impliquant des élites politiques, médiatiques et financières. Une telle révélation provoquerait un séisme politique mondial et compromettrait des intérêts majeurs des deux côtés de l’Atlantique.
