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LE PIÈGE DE LA MONNAIE NUMÉRIQUE DES ÉTATS EST EN PLACE

Le piège de la monnaie numérique des États

Vous avez remarqué tous ces États qui créent leur monnaie numérique ?

De nombreux pays ont annoncé qu’ils commençaient à mettre en place les Monnaies Numériques de Banque Centrale (MNBC) : 

  • Le Nigeria avec le E-naira,
  • La Lituanie avec le LBCOIN,
  • La Suède avec l’E-couronne,
  • Le Japon avec le Crypto-yen,
  • La Jamaïque avec le Jam-Dex,

Et même la Banque centrale européenne avec l’Euro numérique.

Selon une étude de la Banque des Règlements Internationaux (BRI), 90% des banques centrales étudient l’idée de lancer une MNBC.

Elles prétendent que les MNBC offriront un meilleur accès aux services financiers, qu’elles réduiront la fraude et le blanchiment d’argent, qu’elles amélioreront l’efficacité en permettant une politique monétaire plus efficace grâce à un contrôle accru de la masse monétaire.

Les pays les plus en demandeurs pour l’adoption de cette cryptomonnaie d’État sont ceux qui annoncent le plus d’évasion fiscale :​

Et les MNBC sont souvent considérées comme LA réponse du gouvernement aux évasions.

Mais à l’exception de l’utilisation de technologies similaires, elles sont fondamentalement différentes de l’esprit initial de la cryptomonnaie.

La différence : 

Entre les MNBC et les cryptomonnaies actuelles, la différence réside dans le niveau de centralisation et de contrôle.

Aucune personne ou organisation ne pouvaient contrôler une cryptomonnaie comme le Bitcoin, il a été créé comme une alternative décentralisée aux monnaies fiduciaires, et comme une réponse aux politiques monétaires qui sont responsables de la dévaluation de la monnaie.

Puis est venue l’apparition d’autres cryptomonnaies bien moins décentralisées et pour finir maintenant avec les MNBC.

Le problème : 

Ces MNBC permettraient aux gouvernements d’avoir un contrôle : 

  • Rapide,
  • Facile,
  • Total.

Leur permettant de traquer les entreprises, les organisations et les particuliers.

L’État aurait sur chaque transaction et sur n’importe qui la capacité d’appliquer une censure des transactions.

Certes, la plupart de l’argent est déjà numérique, mais la distinction est qu’aucune base de données unique ne peut suivre et superviser chaque transaction.

La dérive en un clic : 

En renonçant à ces contrôles en autorisant un accès aux comptes des citoyens, on donnerait un pouvoir sans précédent en termes de violation de la vie privée, mais aussi la possibilité de surveiller ou de désactiver des comptes indésirables sur une fraude perçue ou réelle.

Donner aux États la possibilité de geler certains comptes pourrait porter gravement atteinte aux droits.

Et leur donner la possibilité de jouer avec notre moyen de subsistance pourrait avoir de graves conséquences, comme la renonciation à l’utilisation de son droit à la libre expression par crainte de voir sa vie ruinée en un seul clic (comme en Chine).

Il n’est pas difficile d’imaginer les nombreuses dérives de ce pouvoir.

Et la vie privée dans tout ça : 

Les transactions effectuées avec des MNBC pourraient être enregistrées sur une blockchain publique, ce qui permet de suivre et d’analyser les données financières.

Utiliser un outil qui affecte la vie privée à une telle échelle constitue une profonde violation des droits.

Vous imaginez ce qu’il se passera quand l’État aura accès à l’intégralité de vos informations financières en un clic ?

Ce ne sont que quelques exemples qui pourraient affecter la vie de citoyens non avertis si l’euro numérique était adopté… Ou lorsqu’il sera adopté !

Vous voulez préserver vos libertés ?

J’ai créé un Portefeuille Alternatif.

Il va vous permettre d’avoir un capital intouchable, même lorsque le gouvernement adoptera sa cryptomonnaie d’état !

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Portefeuille Alternatif

Il est plus que temps de réagir.

Amicalement,

Franck Pengam | Fondateur de Géopolitique Profonde

PS : Le Portefeuille Alternatif est destiné aux épargnants qui veulent se protéger et investir à l’international en dehors de l’Europe et de l’euro : si vous n’avez pas au moins quelques milliers d’euros de côté au minimum il ne vous sera d’aucune utilité. Pour ceux qui n’ont pas beaucoup d’épargne (moins de 3000€ de côté), le Plan Anti Crise ou le programme gratuit pour se décentraliser suffiront pour vous protéger.

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