Le 17 janvier à 7h, Marc Gabriel Draghi, Vincent Pavan et Maitre David Guyon sont les invités de Nicolas Stoquer et Raphaël Besliu, en direct dans la Matinale de Géopolitique Profonde !
Retrouvez Marc Gabriel Draghi à 7h20, suivi de Vincent Pavan et Maitre David Guyon a 8h20.
Marc Gabriel Draghi est un juriste français spécialisé dans l’histoire du droit. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages sur la question monétaire et l’histoire du capitalisme, dont « Le règne des marchands du temple », « Le grand reset en marche ! » et « La Grande Narration : Vers la mort des Nations ». Il dénonce les dangers du projet du Forum économique mondial, qu’il considère comme une tentative de soumettre l’humanité à une élite mondialiste.
Vincent Pavan est un mathématicien et maître de conférences à l’université d’Aix-Marseille, spécialisé en topologie et en théorie des graphes. Il est également connu pour ses prises de position critiques à l’égard des politiques sanitaires, en particulier lors de la crise du Covid-19, dénonçant certaines décisions scientifiquement infondées.
Maître David Guyon est un avocat spécialisé dans la défense des victimes, notamment dans les affaires de violences sexuelles. Il s’est fait un nom en se consacrant avec passion à la défense des droits des plus vulnérables, en particulier les enfants, et en s’engageant dans des dossiers médiatisés de maltraitance.
Trump relance la bataille pour la liberté d’expression
Donald Trump impose un virage radical dans le combat pour la liberté d’expression. Les Dossiers Twitter (Twitter Files) exposent une collusion manifeste entre l’administration Biden et les géants de la tech, révélant une mécanique systématique de censure et de manipulation. L’affaire Hunter Biden, longtemps dissimulée, éclaire les compromissions d’un État prêt à sacrifier la vérité pour protéger ses intérêts.
Robert Kennedy Jr., figure emblématique de cette lutte, incarne un retour à l’essence du Premier Amendement. Son action contre les dérives sanitaires et médiatiques rétablit des droits fondamentaux foulés aux pieds par les élites. L’heure est à la fin des financements de campagnes de dénigrement orchestrées par des plateformes comme Meta. Les pratiques visant à réduire au silence les lanceurs d’alerte sont désormais frontalement attaquées. La dynamique américaine renverse les barrières de la censure institutionnalisée.
L’Europe bascule dans une censure sans précédent
L’Europe, loin de suivre l’exemple américain, bascule dans une censure systématique. En France, Thierry Breton impose avec le Digital Services Act (DSA) un contrôle autoritaire sous couvert de régulation numérique. Cette loi, censée combattre la désinformation, devient un outil de répression contre toute opinion dissidente.
L’interdiction des affiches « Réinfoliberté » à Toulouse en est l’exemple parfait. Ces panneaux, dénonçant les effets indésirables des injections, ont été censurés malgré leur légalité sur des espaces privés. Ce geste arbitraire, soutenu par un préfet zélé, démontre la volonté des autorités de museler toute voix critique. Les revues scientifiques, autrefois garantes d’une neutralité académique, subissent le même sort. Les pressions de l’État et des lobbys faussent les publications, transformant la recherche en un outil de propagande.
La répression s’étend également aux enseignants-chercheurs, contraints au silence face à des récits officiels imposés. Toute tentative de remettre en question ces dogmes est étouffée par un appareil répressif qui ne cache plus ses intentions.
L’article 4, une arme de répression
Malgré la censure en Europe, la quête pour la vérité s’intensifie. Les États-Unis montrent la voie, en démantelant les systèmes de contrôle qui ont gangrené leurs institutions. En Europe, la résistance s’organise. Les citoyens, conscients des enjeux, multiplient les recours juridiques et les actions pour défendre leur droit à l’information.
L’article 4 de la loi sur les dérives sectaires en France symbolise cette dérive autoritaire. Présenté comme une mesure de santé publique, il sert à intimider ceux qui osent s’éloigner des dogmes officiels. Cette loi cherche à criminaliser toute démarche alternative, érigeant l’État en juge exclusif des vérités médicales et scientifiques.
Mais la vérité ne se soumet pas. Les campagnes indépendantes comme « Réinfoliberté » démontrent qu’un contre-pouvoir existe et s’amplifie. Ce combat dépasse les frontières. Il oppose une machine de contrôle globalisée à des individus déterminés à défendre leur liberté. L’enjeu n’est pas seulement national : il est civilisationnel.
7 réponses
M. Pavan, Manifestons contre la censure et les actions de l’oligarchie. Y a t il un moyen pour les scientifiques de travailler sur les coordonnées de temps et d’espace pour établir un programme de type blockchain non piratable avec une de sorte de doodle d’inscription crypté ne déclenchant des procédure qu’à certains seuils pour générer des manifs énormes non prévisible par le système à un certain endroit ?
Lien tremp et simon veil
La censure donne de la valeur.
Le sanitaire et social se révèlerait-il pour le Talmud?
z’ont déplacé la chambre à gaza?
La Marseillaise, … « qu’un sang impur abreuve nos sillons »…
Pas catholique ni universelle mais diabolique cette phrase.
Alors dessillez vos yeux!
La croassance du développement durable de lapin.
Fais ton choix sinon T’aura la shoah.
Amen