EXPLOSIF : TRUMP DÉTRUIT ZELENSKY ET L’UE DEVIENT FOLLE ! | LA MATINALE GPTV

Le 20 février à 7h, Oskar Freysinger, Fabrice Grimal et le Général Christian Piquemal sont les invités de Nicolas Stoquer et Raphaël Besliu, en direct dans La Matinale sur la chaîne YouTube de Géopolitique Profonde !

Retrouvez Oskar Freysinger à 7h30, suivi de Fabrice Grimal à 8h30 et enfin du Général Christian Piquemal à 9h15 !

Oskar Freysinger est un homme politique suisse, ancien vice-président de l’UDC (Union Démocratique du Centre) et ex-élu au parlement suisse. Il a également exercé la fonction de Secrétaire d’État. Aujourd’hui, il se consacre à l’écriture, la traduction et partage ses analyses en tant que chroniqueur. Son dernier ouvrage est Animalia, aux éditions Serena.

Fabrice Grimal est un entrepreneur français, auteur et figure notable du mouvement des Gilets jaunes. En 2018, il publie son premier essai intitulé « Vers la Révolution – Et si la France se soulevait de nouveau ? », où il analyse la situation sociale et démocratique de la France et envisage la possibilité d’une révolte généralisée. Son engagement au sein des Gilets jaunes l’a conduit à être désigné comme candidat citoyen à l’élection présidentielle de 2022 par plusieurs groupes issus de ce mouvement.

Le Général Christian Piquemal est un officier général français, ancien commandant de la Légion étrangère. Il a occupé des postes prestigieux au sein de l’armée française avant de devenir une figure publique en raison de ses prises de position critiques envers certaines politiques migratoires et sociétales en France.Fabrice Grimal

Trump et Poutine redessinent l’ordre mondial… sans l’Europe

L’Europe n’a plus aucune emprise sur son propre destin. Son avenir ne se négocie plus dans ses propres capitales, mais à Ryad, à Moscou et à Washington, où les nouvelles lignes de force du monde se redessinent. Avec le retour de Donald Trump à la Maison-Blanche, les priorités américaines ont radicalement changé : l’hégémonie progressiste imposée par l’administration Biden est morte, et avec elle, la protection automatique accordée aux élites mondialistes européennes.

Trump ne considère plus l’Europe comme un allié stratégique, mais comme un poids mort. Son objectif est clair : restaurer la puissance américaine, rétablir des relations pragmatiques avec la Russie et briser le pouvoir des bureaucraties globalistes. À Moscou, Vladimir Poutine poursuit également sa politique de reconstruction d’un monde multipolaire, en s’appuyant sur des alliés solides comme la Chine, l’Inde et les monarchies du Golfe. Pris en étau, les dirigeants européens sont dépassés par des événements qu’ils ne contrôlent plus.

Une élite européenne isolée

Les dirigeants de l’Union européenne sont dans une impasse totale. Leur modèle politique repose sur une alliance inconditionnelle avec Washington, mais Trump n’a aucun intérêt à soutenir un projet bureaucratique qui affaiblit les nations. L’Europe se retrouve seule, sans leadership, et incapable d’exister par elle-même sur l’échiquier mondial.

Pendant ce temps, les peuples européens rejettent massivement l’idéologie progressiste qui leur a été imposée par cette élite hors sol. La promotion agressive du wokisme, du LGBT, de l’immigration massive et des politiques climatiques extrêmes a creusé un fossé entre les dirigeants et les citoyens. En France, en Allemagne, en Italie, la colère monte. Mais les gouvernements refusent d’entendre cette révolte et s’accrochent désespérément à leur pouvoir. Face à ce rejet, ils ne réagissent que par la répression, la censure et la diabolisation des opposants.

L’Europe doit faire un choix

La dynamique mondiale bascule irrémédiablement en faveur du conservatisme et du souverainisme. Donald Trump et Vladimir Poutine, chacun avec leur propre approche, imposent un retour à la force des nations, à la stabilité et aux valeurs traditionnelles. L’ère de la gouvernance technocratique et des utopies progressistes touche à sa fin, remplacée par une vision pragmatique et ancrée dans la réalité des rapports de force.

Aux États-Unis, Trump détruit méthodiquement l’héritage de l’administration Biden et remet en place une politique étrangère fondée sur la réalité géopolitique, et non sur des idéologies. Son objectif est clair : restaurer la puissance américaine sans se laisser parasiter par des agendas supranationaux qui affaiblissent les États. En Russie, Poutine renforce son influence, consolide ses alliances avec la Chine, l’Inde et le monde arabe, et impose une alternative crédible au modèle occidental en déclin. Son succès militaire et diplomatique face aux sanctions et à l’isolement voulu par l’Occident prouve que l’ère du monde unipolaire est révolue.

Ce mouvement dépasse largement la Russie et l’Amérique. Partout, les peuples se détournent du globalisme et réclament le retour aux souverainetés nationales. En Europe, l’affrontement est inévitable entre une élite en perdition et des populations prêtes à retrouver leur autonomie. Le choix est simple : suivre la vague souverainiste et reprendre son destin en main, ou sombrer avec la caste mondialiste dans un effondrement irréversible.

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