TRUMP HUMILIE L’EUROPE, S’ALLIE À POUTINE, ET PRÉPARE LA PROCHAINE GUERRE ? | LA MATINALE GPTV

TRUMP HUMILIE L’EUROPE, S’ALLIE À POUTINE, ET PRÉPARE LA PROCHAINE GUERRE ? | LA MATINALE GPTV

Le 21 février à 7h, Marc-Gabriel Draghi, le colonel Jacques Baud et Gilles Lartigot sont les invités de La Matinale animée par Nicolas Stoquer et Raphaël Besliu, en direct sur Géopolitique Profonde.

Marc Gabriel Draghi est un juriste français spécialisé dans l’histoire du droit. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages sur la question monétaire et l’histoire du capitalisme, dont « Le règne des marchands du temple », « Le grand reset en marche ! » et « La Grande Narration : Vers la mort des Nations ». Il dénonce les dangers du projet du Forum économique mondial, qu’il considère comme une tentative de soumettre l’humanité à une élite mondialiste.

Jacques Baud est un ancien colonel de l’armée suisse, analyste stratégique, spécialiste du renseignement et du terrorisme. Il a été formé dans les services de renseignement américain et britannique, et a participé à plusieurs missions des Nations unies en Afrique et au Soudan.

Gilles Lartigot est un auteur et conférencier français, reconnu pour son militantisme en faveur d’une consommation alimentaire saine et consciente. Il est particulièrement connu pour son ouvrage “EAT – Chronique d’un fauve dans la jungle alimentaire”, publié en septembre 2013 et “EAT 2 – Des morts et des vivants”, qui est la suite de son premier volume. Il vient aujourd’hui nous présenter son nouvel ouvrage « La jungle alimentaire ».

Retrouvez la revue de presse à 7h, Marc-Gabriel Draghi à 7h20, le Colonel Jacques Baud à 8h et Gilles Lartigot à 9h20.

Trump impose une vision réaliste des relations internationales

Donald Trump ne voit ni ennemis ni alliés éternels, seulement des rapports de force dictés par les intérêts. Son retour sur la scène politique américaine signe la fin de l’idéologie néoconservatrice qui a plongé l’Occident dans des guerres inutiles. Loin du dogme de l’agression russe en Ukraine, Trump reconnaît à la Russie des intérêts légitimes, tout comme aux États-Unis. Cette approche lui permet d’envisager un apaisement stratégique avec Moscou afin de rediriger toute l’attention sur l’adversaire véritable : la Chine, seule puissance capable de contester l’hégémonie américaine.

La tentative de l’Union européenne d’imposer un narratif belliciste sur l’Ukraine est balayée. Trump sait que la guerre est perdue et que Zelensky n’est plus qu’un pion sacrifié. L’exclusion de l’UE des négociations de paix à Riyad est une humiliation qui confirme ce que Trump pense des Européens : ils sont incapables de défendre leurs propres intérêts et ne sont plus que des spectateurs dans le jeu mondial.

L’Europe reléguée au second plan par les États-Unis

Trump ne s’embarrasse pas de précautions diplomatiques avec l’Union européenne. À ses yeux, les Européens sont devenus des assistés sous parapluie nucléaire américain, incapables de garantir leur propre sécurité. L’OTAN ne peut exister sans les États-Unis, et il ne se privera pas d’en rappeler le coût à des dirigeants européens qui refusent d’investir dans leur défense. Cette dépendance les discrédite aux yeux de Trump, qui préfère traiter directement avec la Russie plutôt que d’écouter les gesticulations de Bruxelles ou de Paris.

La France et l’Europe disparaissent de l’échiquier diplomatique mondial. Macron et ses homologues n’ont plus d’influence sur les grands arbitrages stratégiques. L’alliance entre Washington et Moscou, dictée par le réalisme trumpien, redéfinit les priorités géopolitiques et marginalise l’Europe, reléguée à un rôle d’exécutant des décisions américaines.

La Chine, l’ennemi véritable de l’Amérique

L’obsession stratégique de Trump n’est ni l’Europe ni la Russie, mais la Chine. Il veut libérer les États-Unis des conflits secondaires pour concentrer toute la puissance américaine sur l’endiguement de Pékin. Le rapprochement pragmatique avec la Russie s’inscrit dans cette logique : Moscou n’est pas un ennemi, mais un acteur avec lequel un équilibre est possible.

Ce basculement stratégique sonne le glas des illusions européennes. La guerre en Ukraine n’est plus qu’un détail pour Washington, et le prochain affrontement décisif se joue en Asie-Pacifique. Trump prépare les États-Unis à ce choc tandis que l’Europe continue de s’accrocher à un combat déjà perdu.

Ne subissez plus la propagande occidentale et anticipez les véritables rapports de force avec votre revue mensuelle de Géopolitique Profonde :

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3 réponses

  1. Vous savez quoi? Le général De Gaulle voyait juste!! il a créé la dissuasion nucléaire et il sortit de l’OTAN . Il incombait de poursuivre cette politique!!! Il vaut mieux un petit chez soi qu’un grand chez les autres!! Depuis que le monde est monde c’est le rapport de force qui prédomine!! Il n’y a pas de place pour les rêveurs!!! et les stupides!!!

  2. l’Europe sous le parapluie de l’OTAN s,est cru le maître du monde, tout en étant dans la guerre Ukraine, Russie, en disant qu’elle n’était surtout Pas en guerre avec la russie.donc aucun langage clair, maintenant que Trump leur a montré de qui ils dépendent ça pleure sur les chaînes medi atique. …. Le moment est venu de remettre les pendules à l’heure….

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