Le 14 janvier à 12h30, Nicolas Stoquer vous donne rendez-vous pour un direct sur un sujet d’actualité en direct sur Géopolitique Profonde.
La liberté d’expression connaît un tournant décisif sous l’impulsion d’Elon Musk, tandis que les mondialistes européens perdent pied. En dévoilant des vérités dérangeantes, Musk fracture le monopole de l’information et expose au grand jour les failles d’un système à bout de souffle.
Les mondialistes perdent le contrôle de l’information et de l’opinion publique
Les élites européennes voient leur pouvoir s’effriter sous l’effet combiné d’un rejet populaire et de la perte du contrôle des médias traditionnels. Elon Musk, à travers X (ex-Twitter), dévoile une liste explosive impliquant 50 membres du Parti travailliste anglais dans des scandales liés à la pédophilie. Cet acte, largement médiatisé, brise un tabou que les médias mainstream protégeaient.
Elon Musk va plus loin en établissant des liens entre la culture woke et certaines dérives morales, une association que les mondialistes jugent insupportable. Cette idéologie mortifère s’est infiltrée dans tous les pans de la société, y compris dans des plateformes de divertissement comme Netflix, qui a longtemps promu des contenus polarisants et idéologiquement biaisés. Mais là encore, le vent semble tourner. Netflix, soumis à la pression d’abonnés de plus en plus critiques, commence à revoir son catalogue et à privilégier des productions moins militantes, témoignant d’un changement de paradigme face à l’épuisement du narratif woke.
Pendant ce temps, Meta, sous la direction de Zuckerberg, opère un virage surprenant en interdisant toute modération biaisée en faveur des lobbies LGBT. La censure unilatérale commence à montrer ses limites, et les géants de la tech réorientent leurs stratégies face à une opinion publique de plus en plus critique.
La panique des élites face à un vent de liberté transatlantique
Les figures de l’oligarchie européenne, comme Thierry Breton et Clara Chappaz, réagissent avec fébrilité. Sous prétexte de protéger la « véracité de l’information », ils appellent à interdire X en Europe, invoquant les régulations du DSA (Digital Services Act). Mais leurs maladresses les trahissent : Clara Chappaz parle d’interdire les « fausses opinions », révélant leur véritable agenda.
Malgré leurs efforts, ces mondialistes font face à un obstacle majeur : la puissance technologique de Musk. Avec 70 % des satellites de communication sous sa coupe via Starlink, il devient presque impossible de réduire au silence ses plateformes. Les tentatives de censure européennes semblent dérisoires face à une telle maîtrise technologique.
Un système à l’agonie face à ses contradictions
Alors que les élites européennes ne parviennent pas à assurer la sécurité dans le monde réel, elles investissent toutes leurs forces dans la traque des discours dissidents sur Internet. Leur incompétence et leurs turpitudes sont exposées au grand jour, révélant une corruption systémique et des mœurs douteuses.
Pendant ce temps, des figures comme Matthieu Pigasse, associé au Nouveau Parti Financier (NFP), tentent désespérément de mobiliser leurs médias contre une « droite radicale » en plein essor. Mais leur influence diminue chaque jour un peu plus, à mesure que le public se détourne de leurs discours convenus.
L’éveil des consciences ne peut plus être arrêté. Les mondialistes européens sont dépassés par un vent de liberté venu des États-Unis, incarné par Musk et soutenu par une population déterminée à retrouver sa souveraineté.
2 réponses
On s’en bas les gosses de la censure … Tous ces minables vont bientôt prendre le train pour des vacances prolongées voir dans le meilleur des cas , Ce faire empaler sur des pieux .