COMMENT L’ÉTAT PROFOND MANIPULE LE CLIMAT ? | LUC VERVLIET | GPTV

COMMENT L’ÉTAT PROFOND MANIPULE LE CLIMAT ? | LUC VERVLIET | GPTV

Le 19 février à 19h, Luc Vervliet et Patrick Pasin sont les invités de La Grande Émission animée par Mike Borowski en direct sur Géopolitique Profonde.

Luc Vervliet est un ingénieur et biologiste moléculaire. En tant qu’auteur, il a publié plusieurs ouvrages, dont « Manipulation du climat et contrôle des peuples » aux éditions Résurgence, où il propose une analyse critique du discours dominant sur le changement climatique, remettant en question les approches alarmistes et les décisions politiques qui en découlent.

Patrick Pasin est un auteur, conférencier et entrepreneur français, connu pour ses critiques sur la géopolitique, la santé publique et la souveraineté individuelle.

Un réchauffement climatique orchestré pour soumettre les peuples

Le discours officiel sur le réchauffement climatique est omniprésent. Politiques, médias et institutions internationales matraquent un récit unique : l’activité humaine serait responsable du dérèglement climatique, et seule une transition drastique vers un modèle « écologique » imposé pourrait éviter la catastrophe. Mais cette vision simpliste occulte une réalité bien plus sombre : le climat est devenu un outil de domination au service des élites mondialistes.

Derrière le GIEC, présenté comme l’autorité scientifique incontestable en matière de climat, se cachent des intérêts financiers colossaux. Ses rapports ne sont pas des analyses objectives, mais des instruments destinés à justifier des politiques contraignantes. Taxe carbone, restrictions énergétiques, surveillance accrue des consommations : chaque mesure dite « écologique » sert à limiter les libertés individuelles et renforcer le pouvoir des institutions globalistes. L’État profond instrumentalise la peur climatique pour remodeler la société selon ses propres intérêts, en imposant des normes qui asphyxient économiquement les populations et affaiblissent les souverainetés nationales.

HAARP, un programme scientifique ou une arme climatique secrète ?

Derrière l’écran de fumée médiatique sur le climat, des technologies avancées permettent d’influencer les conditions météorologiques de manière artificielle. Parmi elles, le programme HAARP (High-Frequency Active Auroral Research Program), officiellement dédié à l’étude de l’ionosphère, soulève de nombreuses interrogations. Situé en Alaska, ce réseau d’antennes ultra-puissantes peut générer des ondes électromagnétiques capables de perturber le climat et de provoquer des catastrophes naturelles sur commande.

Les sécheresses soudaines, les ouragans ravageurs et les vagues de chaleur extrêmes pourraient être bien plus que de simples phénomènes naturels. HAARP serait capable de manipuler les courants atmosphériques, intensifier des tempêtes ou créer des conditions météorologiques extrêmes pour affaiblir certaines régions stratégiques. L’objectif ? Déstabiliser des États, justifier des interventions humanitaires ou économiques et maintenir un climat de peur permanent pour légitimer un contrôle accru des populations.

Les guerres modernes ne se mènent plus uniquement par les armes conventionnelles. Le climat devient un champ de bataille invisible, utilisé pour plier des nations entières sous des impératifs écologiques artificiellement créés. Cette militarisation du climat permet à l’État profond d’instaurer une gouvernance mondiale sous couvert de protection environnementale.

Incendies, chemtrails et manipulations climatiques : la peur comme levier de domination

Chaque année, des feux de forêt d’une ampleur inédite ravagent des régions entières, entraînant destructions, déplacements de population et renforcement des politiques de restriction. Pourtant, plusieurs éléments suggèrent que ces incendies ne sont pas toujours accidentels. Témoignages, vidéos et études montrent des départs de feu simultanés et des comportements étranges des flammes, laissant penser à une intervention humaine.

Provoquer des catastrophes naturelles permet de maintenir les populations dans la peur et de justifier des mesures drastiques. Sous prétexte de « sécurisation », l’État profond impose de nouvelles normes liberticides, limite l’accès aux ressources naturelles et renforce sa mainmise sur les territoires les plus riches en matières premières.

En parallèle, un autre phénomène intrigant attire l’attention : les chemtrails. De nombreux chercheurs indépendants affirment qu’elles contiennent des nanoparticules de métaux lourds, diffusées dans l’atmosphère pour influencer la météo et perturber l’équilibre climatique. Cette géo-ingénierie permettrait non seulement de modifier artificiellement le climat, mais aussi d’affecter la santé des populations, affaiblissant leur capacité de résistance face aux manipulations politiques et économiques.

Une stratégie globale pour un contrôle total

En manipulant le climat, l’État profond ne se contente pas de justifier des politiques de taxation et de restriction. Il redessine les équilibres géopolitiques et économiques, favorisant une centralisation du pouvoir sous prétexte d’une crise planétaire. Les grandes institutions internationales, contrôlées par les élites mondialistes, poussent vers un modèle où les États-nations doivent se soumettre à des règles supranationales sous couvert de lutte contre le réchauffement climatique.

L’objectif final est clair : imposer une gouvernance mondiale où chaque individu sera tracé, surveillé et limité dans ses choix sous prétexte de « sauver la planète ». En manipulant la météo, en contrôlant l’accès aux ressources naturelles et en entretenant une peur constante, l’État profond s’assure que les populations acceptent sans broncher un système de domination totale.

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3 réponses

  1. Interview super et je confirme que les arbres sont porteurs d’esprits puisque j’ai photographié suite à une séance de yoga l’esprit de Martin Luther King mort le 4/4 1968.
    J’ai toujours été entouré par le nombre 11.
    Si on ajoute 11 à 68 on obtient la date 7/7 1979 date de mon coma.

  2. Autre indice pour Fukhushima: la date! Les géoingénieurs et autres sous-évolués signent toujours leurs crimes.
    Si c’était le hasard, les crimes collectifs et autres révolutions colorées et assassinats ciblés seraient répartis au hasard sur les 30 jours du mois. Or ce n’est pas le cas, la plupart sont à une date où le 11 et le 22 apparaissent, même les 2 comme pour JFK assassiné un 22/11! Quand c’est le mois de novembre (11), d’autres chiffres associés précisent le but du crime pour informer les copains de la même secte mondiale: par ordre décroissant, le 13, le 3, le 8 et enfin le 6 ou le 4. Quand c’est le chiffre de l’année qui est déjà là (2011 pour Fukushima -double 11, le 11 étant confirmé par le 1+1=2, réappuyé par le jour: 11/3 (même date que l’attentat de Madrid 200 morts en 2004) ou (2020 donc 22) la combinaison du mois et du jour précise encore mieux le but. C’est pourquoi les 3 années covidiotes ont été de 2020 à 2022 Et le H1N1 en 2009, 9+2=11!. Comptez aussi le nombre de 22/3 avec attentats, révolutions etc..

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