L’AGENCE FRANÇAISE DU DÉVELOPPEMENT : L’USAID FRANÇAIS | GPTV

Le 28 février à 12h30, Mike Borowski dévoile le scandale de l’AFD : 15,96 milliards dépensés, 60 milliards de dettes et des dons à la Chine aux frais des Français.

Un gouffre financier payé par les Français

L’Agence Française de Développement (AFD) est une machine à brûler l’argent public. En 2023, 15,96 milliards d’euros ont été dépensés pour l’aide publique au développement (APD), un montant supérieur au budget de la Justice (12,2 milliards) ou de l’Agriculture (6,7 milliards). Depuis l’arrivée d’Emmanuel Macron, cette somme a explosé, sans aucun contrôle ni transparence. Le gouvernement martèle que cette aide ne coûte rien aux Français, mais c’est faux : chaque euro provient des impôts.

L’AFD fonctionne comme une pompe à subventions. Son financement repose en partie sur des fonds publics, mais surtout sur une dette colossale. Elle s’endette à hauteur de 85% sur les marchés financiers pour prêter aux pays étrangers, parfois à des taux ridicules. Résultat ? 60 milliards de dettes cumulées, dont 10 milliards supplémentaires en seulement deux ans. Et qui va payer cette dette ? Toujours les contribuables français, alors que l’AFD sait pertinemment qu’une partie de ces prêts ne sera jamais remboursée.

Des milliards d’euros donnés à des pays étrangers

Contrairement à ce que l’AFD veut faire croire, la majorité de ses financements ne sont pas des prêts, mais bien des dons. En 2023, 87% de l’APD a été distribuée sous forme de dons, et 65% des aides de l’AFD sont également des dons. Pourtant, l’AFD prétend que « 85% de son activité repose sur des prêts ». En réalité, elle confond son propre mode de financement avec son mode de distribution, une erreur révélatrice du niveau d’opacité et d’incompétence de cette institution.

Parmi les bénéficiaires de cette manne financière, on retrouve des pays qui n’ont pas besoin de notre aide. Entre 2018 et 2020, la France a versé 371 millions d’euros à la Chine, dont 277 millions en dons. Un scandale absolu quand on sait que la Chine a un PIB six fois supérieur à celui de la France et qu’elle nous concurrence férocement sur tous les plans économiques. Offrir de l’argent à la Chine pendant que des Français peinent à boucler leurs fins de mois est une insulte au bon sens.

D’autres projets financés par l’AFD sont tout aussi absurdes. Des millions d’euros sont injectés dans des initiatives comme la « budgétisation genrée en Jordanie », la promotion de l’égalité des sexes en Irak ou encore l’étude de l’impact du Covid sur les inégalités au Togo. Ce n’est pas du soft power, c’est du gaspillage idéologique. Pendant ce temps, nos infrastructures s’effondrent, nos services publics sont à bout de souffle et les Français voient leur pouvoir d’achat s’éroder.

Salaires dorés et projets pharaoniques

Pendant que l’AFD accumule les dettes, son personnel se goinfre d’argent public. Son directeur, Rémy Rioux, perçoit un salaire de 17 500 € par mois, hors primes, soit plus que le Président de la République. L’agence emploie 2 800 personnes, avec un budget de 403 millions d’euros en frais de personnel. Loin d’être une institution rigoureuse, l’AFD fonctionne comme une bureaucratie tentaculaire, avec une multitude d’adjoints, de directeurs et de responsables qui coûtent une fortune.

Mais le sommet du scandale, c’est son nouveau siège social en construction à Paris, gare d’Austerlitz. Coût du projet ? Un milliard d’euros. Ce palais doré de 50 000 m² prévoit 8 000 m² de bureaux supplémentaires « en cours de définition ». Pendant que l’AFD se dote d’un bunker luxueux, des millions de Français peinent à se loger.

L’AFD est une bombe à retardement financière. Son modèle repose sur l’endettement et l’illusion d’une rentabilité qui n’existe pas. Elle ne sert ni les intérêts des Français, ni ceux des entreprises françaises. Pire encore, elle contribue à l’appauvrissement du pays en jetant des milliards par les fenêtres, sous couvert de générosité internationale. Combien de temps encore les Français accepteront-ils de financer cette gabegie ?

Ouvrez les yeux sur les vérités cachées derrière ces politiques grâce à votre revue mensuelle de Géopolitique Profonde !

Cliquez sur l’image !
Facebook
Twitter
Telegram

3 réponses

  1. Mike Borowski, vous avez repris intégralement le texte de Sarah Knafo. Vous devriez au moins avoir l’honnêteté de citer votre source !

  2. Le DD développement durable de lapin est fini ! la suite sera t-elle post-développement ou post-humain ?
    C’est à dire, Brigitte, penser la décroissance de fait plutôt que dépenser pour la régression kabbaliste.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *