Le 28 février à 7h, Marc Gabriel Draghi, Jean Yves Le Gallou et Bernard Monnot sont les invités de Nicolas Stoquer et Raphaël Besliu, en direct dans La Matinale sur la chaîne YouTube de Géopolitique Profonde !
Marc Gabriel Draghi est un juriste français spécialisé dans l’histoire du droit. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages sur la question monétaire et l’histoire du capitalisme, dont « Le règne des marchands du temple », « Le grand reset en marche ! » et « La Grande Narration : Vers la mort des Nations ». Il dénonce les dangers du projet du Forum économique mondial, qu’il considère comme une tentative de soumettre l’humanité à une élite mondialiste.
Jean-Yves Le Gallou est énarque et essayiste, président de Polémia et co-fondateur de l’Institut Iliade. Il est notamment l’auteur, chez Via Romana, de La Tyrannie médiatique, du Dictionnaire de Novlangue (avec Michel Geoffroy), d’Européen d’abord, Essai sur la préférence de civilisation, du Manuel de lutte contre la diabolisation et de La société de propagande : Manuel de résistance au goulag mental.
Bernard Monot est un économiste et homme politique français, ancien député européen du Front National (2014-2019). Spécialiste des questions monétaires et financières, il a été l’un des principaux artisans du programme économique du FN sous Marine Le Pen, prônant une sortie de l’euro et un retour à la souveraineté monétaire. Il a ensuite quitté le parti pour rejoindre Debout la France, critiquant l’évolution du RN vers une ligne plus modérée. Ses analyses portent sur l’endettement, la domination des marchés financiers et la nécessité d’un changement radical de système économique.
Retrouvez Marc Gabriel Draghi à 7h30, suivi de Jean Yves Le Gallou à 8h15 et enfin de Bernard Monot à 9h15 !
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La dette comme arme d’asservissement des peuples
La France est piégée dans une spirale d’endettement voulu et orchestré par ses élites. Loin d’être une conséquence accidentelle de crises économiques successives, cette dette est un outil de domination qui prive la nation de sa souveraineté. Chaque emprunt contracté sur les marchés financiers la rend un peu plus dépendante des grandes institutions bancaires et des organisations supranationales comme l’Union Européenne ou le FMI. Emmanuel Macron, parfait représentant de cette oligarchie, accélère cette soumission en multipliant les dépenses sous prétexte de menaces fabriquées : lutte contre le changement climatique, soutien à l’Ukraine, investissements dans une transition énergétique ruineuse.
Cette stratégie vise à rendre la France ingouvernable sans l’accord de Bruxelles et des puissances financières. Plus l’endettement s’aggrave, plus le pays est contraint de suivre des réformes dictées par l’extérieur : coupes dans les services publics, privatisations, hausse des impôts. Tout est fait pour que l’État-nation disparaisse au profit d’un pouvoir technocratique européen. La seule issue est un changement de paradigme total : rejet du modèle néolibéral, réaffirmation de la souveraineté monétaire et rapprochement avec les BRICS, qui offrent une alternative à la domination du dollar et des marchés occidentaux.
Sécurité : un État complice du chaos
La sécurité, premier des droits, est aujourd’hui un luxe en France. La criminalité explose pendant que l’État multiplie les entraves à la police, qui se retrouve impuissante face à une délinquance de plus en plus violente et majoritairement issue de l’immigration. Jean-Yves Le Gallou dénonce un système anarcho-tyrannique, où les véritables criminels sont protégés sous prétexte de droits de l’Homme tandis que les honnêtes citoyens sont surveillés, censurés et réprimés au moindre écart.
Les forces de l’ordre, pourtant en première ligne, sont réduites à l’inaction par des consignes politiques absurdes. Les zones de non-droit se multiplient, les délinquants sont remis en liberté à peine arrêtés, et les tribunaux laxistes favorisent une impunité totale. Pendant ce temps, le gouvernement impose un contrôle social toujours plus strict sur les Français, en renforçant les sanctions pour des délits d’opinion, en surveillant les transactions bancaires et en muselant toute voix dissidente. Ce déséquilibre n’a qu’un objectif : désarmer le peuple et rendre toute contestation impossible.
Face à cette dérive, seule une réforme radicale de la justice et des forces de l’ordre peut permettre de rétablir l’ordre. L’impunité doit cesser, les frontières doivent être rétablies, et les policiers doivent être autorisés à agir sans crainte d’être sanctionnés par leur propre hiérarchie. Tant que l’État favorisera les criminels plutôt que ceux qui protègent la nation, la France continuera sa descente aux enfers.
Une opposition sous contrôle, un système verrouillé
Le Rassemblement National n’est plus une force d’opposition crédible. Obsédé par la dédiabolisation, il se couche devant le système au lieu de le combattre. Plutôt que d’assumer une ligne souverainiste et identitaire, il cherche l’acceptabilité médiatique en multipliant les concessions. Ce n’est pas en jouant le jeu du politiquement correct qu’on gagne la bataille des idées. La France a besoin d’une droite décomplexée, capable d’affronter le réel sans craindre les foudres des médias et des institutions.
L’exemple allemand prouve qu’une autre voie est possible. L’AfD, contrairement au RN, refuse de se soumettre aux diktats du politiquement correct. Elle assume pleinement son discours, défend une ligne claire sur l’immigration, la souveraineté et la sécurité. Résultat : malgré la diabolisation, elle progresse électoralement et impose ses thèmes dans le débat public. Pendant ce temps, le RN patine et se banalise, trahissant ses électeurs historiques pour séduire un électorat qui ne votera jamais pour lui.
L’heure n’est plus aux demi-mesures. L’opposition doit être frontale et assumée, sans concession aux dogmes du système. Tant que la droite française continuera à se censurer elle-même, elle restera sous contrôle, incapable de renverser l’oligarchie qui détruit la nation. La bataille des idées doit être menée avec force, sans peur des étiquettes ou des intimidations médiatiques.
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Une réponse
Macron l’illuminé, L’Homme-Roi sans race et sans qualité qui détruit l’institution divine de la famille.
Macron est-il un free-martin?