Le 11 novembre à 19h, le Général de Richoufftz, Serge Federbusch, François Martin et Franck Layre Cassou sont les invités de la Grande Émission animée par Mike Borowski sur Géopolitique Profonde. Ils débattront d’un sujet brûlant : les banlieues françaises.
Le Général de Richoufftz, surnommé le « général des banlieues », s’est fait connaître pour son approche innovante visant à réintégrer les jeunes issus de l’immigration dans la société française. Auteur du livre « France Sécessionniste : Que faire ? », il a mis en place un programme intitulé « Permis, Sport, Emploi », permettant à plus de 2000 jeunes de retrouver un emploi et un sentiment d’appartenance nationale. Ce programme repose sur un partenariat public/privé mobilisant des ressources locales pendant six mois. Grâce à cette initiative, il a réussi à offrir une alternative aux jeunes tentés par la criminalité, prônant ainsi l’inclusion par l’effort collectif.
François Martin est un géopolitologue, journaliste et essayiste français, diplômé de l’ESSEC et de l’EMBA HEC, et auditeur de l’IHEDN et de l’INHESJ. Avec une carrière de 40 ans dans le commerce international de l’alimentaire, il a acquis une expérience considérable sur plus de 100 pays et maîtrise six langues et est connu pour ses analyses pénétrantes sur des sujets internationaux complexes.
Serge Federbusch est un essayiste et homme politique français, connu pour ses positions tranchées sur la politique nationale et son engagement contre le déclin de Paris. Fondateur du mouvement Aimer Paris, il est un critique fervent des élites politiques et des dysfonctionnements de la gestion publique. Il présentera son dernier livre, “Le Sabre et l’Esprit” aux éditions de Passy.
Franck Layré-Cassou est un personnage public aux multiples facettes. Passionné d’histoire, il est également reconnu comme un fervent napoléonien, ayant publié des ouvrages sur l’Empereur et son influence persistante dans notre quotidien. Sa carrière politique l’a vu candidat sous la bannière de Reconquête!dans la 11ème circonscription de Paris et est aujourd’hui militant au sein du Rassemblement National.
Les banlieues : un État dans l’État ?
La question de la sécession des banlieues françaises est devenue un enjeu central des débats sociétaux et politiques. Le ministre de l’Intérieur, Bruno Retaillau, a récemment employé le terme de « mexicanisation » pour qualifier l’emprise croissante des réseaux criminels sur ces territoires.
Cette comparaison, loin d’être anodine, évoque le spectre d’une économie parallèle florissante, d’une violence omniprésente, et de zones de non-droit où les lois de la République ont perdu toute autorité. Certains quartiers paraissent aujourd’hui fonctionner comme des enclaves quasi autonomes, où les trafiquants de drogue dictent leur propre loi.
Des chiffres alarmants
Les statistiques sont édifiantes : au cours des cinq dernières années, les saisies de drogues dans les banlieues ont bondi de 30 %, tandis que les agressions contre les forces de l’ordre ont doublé. Ces données témoignent d’une dynamique inquiétante où les trafics s’enracinent et prospèrent malgré les interventions policières répétées.
On peut légitimement se demander si l’État ne laisse pas volontairement ces zones s’enfoncer dans le chaos, afin de justifier un durcissement sécuritaire. Quoi qu’il en soit, c’est un échec cuisant des politiques d’intégration et de prévention mises en place depuis des décennies.
Le trafic de drogue : l’État complice ?
L’État ferme les yeux sur le trafic de drogues pour stimuler artificiellement le pouvoir d’achat. Ce marché noir injecte des liquidités dans l’économie, notamment dans des zones défavorisées, et soutient la consommation locale. En tolérant implicitement ce trafic, l’État cherche à éviter des tensions sociales en offrant une alternative économique à des populations marginalisées.
Cette complaisance permet de maintenir une stabilité sociale en compensant l’insuffisance des politiques de redistribution, bien que cela engendre des coûts sanitaires et sécuritaires élevés à long terme.
Répression ou réintégration : quelle stratégie pour l’avenir ?
Face à cette situation, deux approches s’opposent. D’un côté, les partisans d’une réponse musclée prônent un renforcement significatif des effectifs policiers et un durcissement des sanctions pénales, espérant ainsi restaurer l’autorité de l’État par la force. De l’autre, des voix comme celle du général de Richoufftz appellent à un réinvestissement massif dans l’éducation, la formation professionnelle, et la réhabilitation sociale. Cette stratégie vise à s’attaquer aux racines du problème en offrant aux jeunes des alternatives crédibles à la délinquance et surtout, elle permet de redonner un sens à la vie de certains jeunes déracinés et incités dès le plus jeune âge à détester la France.
Le dilemme reste entier : l’État doit-il privilégier une approche coercitive pour reprendre le contrôle de ces territoires, ou investir dans des solutions de long terme basées sur la réintégration sociale ? La réponse à cette question déterminera l’avenir des banlieues françaises et, par extension, la cohésion sociale de tout un pays. Car si rien n’est fait pour freiner cette dérive, le risque d’une fracture sociale plus grande, voire d’une guerre civile, semble chaque jour plus imminent.
9 Responses
Arrêter le commerce de la drogue !! Avec nos politiques qui ont besoin de cette drogue aux quotidiens et faut savoir que le commerce de la drogue entre dans le pib tout comme la prostitution.
Donc sport gratuit, permis gratuit, camp … etc et les français eux doivent payer pour leurs propres enfants.
Il s émeut car les gamins chantent la marseillaise !! Non mais on sait qu ils se payent notre tête pour la plupart !
% Réussite de mise à l’emploi… ça faut le regarder sur le long terme car ces jeunes sont devenus adultes et comment ont ils élevés leurs propres enfants car le constat est qu ils sont de plus en plus violents et islamisés ? Les quartiers sont armés jusqu au dents !
Personne n’envisage le retrait de la nationalité aux délinquants et leurs familles ? Et l’accès aux services publics aux français uniquement ?.. bien sûr tout cela est impossible en restant dans l union Européenne.
Et quand va t on respecter le choix des français de souche qui n’a jamais voulu cette immigration.
Les enfants blancs sont maintenant traités de sales blancs … honnêtement je n y crois pas !
Et c est aux blancs de faire encore l effort de les intégrer … des efforts ont en a fait des milliards aux politiques de la ville, avec l accès à l’emploi dans les services publics favorisés pour les étrangers…et nos gamins diplômés et oui ils se barrent à l’étranger car ils en n’ont ras le bol de l insécurité, et des impôts de dingue.. bref
Quel plaisir de retrouver M. Borowski, pas de raccourcis foireux, pas de moquerie stupides..
MERCI
M. Federbusch, ce ne sont pas des référendums qui nous permettront de venir à bout de l’oligarchie mondialiste mais des RIC. Je vous rappelle que tout référendum est un RIO (Référendum d’Initiative Oligarchique) et qu’une oligarchie, même patriote, n’inscrira jamais le RIC dans la Constitution (Charles de Gaulle, qui était entouré de patriotes, ne l’a pas fait) et surtout pas le RIC constituant dans son article 89. Par conséquent, M. Federbusch, vous vous inscrivez dans la servitude volontaire comme tous les droitards.
« Etienne de La Boétie (1530-1563) avait remarqué dans son « Discours de la servitude volontaire » (1577) que les peuples s’habituaient à tout, y compris à la tyrannie. À ses yeux, l’habitude est la première responsable des tyrannies. Ce jeune homme avait mis le doigt sur quelque chose de largement sous-estimé. En effet, le cerveau s’habitue à tout type de système, et ce encore plus facilement quand il y est né. Ainsi, il est toujours sidérant de constater comment les humains du XXIème siècle s’habituent au fait de devoir choisir ceux qui voteront les lois auxquelles ils devront obéir, quand bien même elles les mettent à genoux, les dépossèdent de leurs biens, mettent leurs enfants en esclavage ou les mènent à une guerre non désirée. Partout sur terre, les humains naissent dans ce système qui leur demande de choisir des maîtres, et n’ayant connu que cela, ils évoluent dans ce système comme si c’était une fatalité, comme si penser à un autre paradigme revenait à songer à une utopie naïve. Partant de là, il n’est pas exagéré de considérer le régime représentatif, la démocratie parlementaire, comme la servitude volontaire contemporaine. »
Alexis Haupt, philosophe et essayiste français né en 1990.
Quand une personne déclare qu’une personne qui tient des discours pédo dans un de ses livres ne doit pas être tue car il faut différencier les propos de « l’artiste » de son oeuvre, j’arrête de l’écouter.
Tant que la France n’aura pas pris les mesures qui s’imposent et protégé ses enfants des cinglés, elle peut dire adieu à son futur, c’est tellement bête à comprendre, mais bon… la France a peut-être besoin de devenir un pays du tiers monde après tout, elle est tombée tellement bas.
Et c est aux blancs de faire encore l effort de les intégrer … des efforts ont en a fait : des milliards aux politiques de la ville, avec l accès à l’emploi dans les services publics favorisés pour les étrangers…et nos gamins diplômés et oui ils se barrent à l’étranger car ils en n’ont ras le bol de l insécurité, et des impôts de dingue.. bref
C’était dans une émission de GPTV et ça m’avait choqué perso
Quand la police était respectable, elle était respectée….
Elle n’est là que pour vider les poches des automobilistes pour obéir aux ordres de leurs maqueraux assoiffés de fric…..