EXPLOSIF : ENQUÊTE OUVERTE CONTRE BHL POUR PRISE ILLÉGALE D’INTÉRÊT ! | GPTV

Le 14 février à 12h30, Mike Borowski dénonce le financement massif des films de propagande de BHL par l’argent public, son rôle clé dans la guerre en Ukraine et en Libye, et le contrôle idéologique d’Arte par les élites mondialistes.

BHL et Arte un réseau d’influence financé par l’argent public

Bernard-Henri Lévy bénéficie depuis des décennies de financements publics massifs pour ses productions cinématographiques. Arte, la chaîne franco-allemande qu’il a présidée au conseil de surveillance, lui a accordé 750 000 euros entre 2011 et 2022 pour soutenir ses œuvres. Ce n’est qu’une partie de l’argent injecté dans ses projets via des circuits opaques.

Sa société de production, Les Films du Lendemain, a produit douze films financés par Arte, consolidant un réseau où l’argent public alimente directement ses projets. En parallèle, ses liens avec les institutions culturelles lui assurent un accès privilégié aux subventions, aux espaces de diffusion et aux festivals influents. Il ne s’agit pas de mérite artistique, mais d’un système verrouillé par une élite où l’argent du contribuable finance une idéologie spécifique.

Ce modèle ne se limite pas à BHL. Il démontre un système où des figures idéologiques bénéficient d’un accès exclusif aux ressources culturelles, excluant toute production indépendante qui remettrait en cause la doxa dominante. Ce contrôle absolu de la production audiovisuelle permet de façonner la perception du public et d’imposer des récits idéologiques sous couvert de neutralité culturelle.

Des films pour légitimer la guerre et l’ingérence occidentale

Depuis des décennies, BHL utilise le cinéma comme un instrument de propagande, justifiant les interventions militaires occidentales sous prétexte de défendre la démocratie. En 2011, son film sur la Libye a accompagné l’intervention de l’OTAN, construisant un récit diabolisant Kadhafi et préparant l’opinion à la destruction du pays. Résultat : la Libye est aujourd’hui un État failli livré aux milices islamistes et aux trafiquants d’êtres humains.

Son dernier documentaire sur l’Ukraine suit la même logique. En glorifiant la résistance ukrainienne et en diabolisant la Russie, il pousse à un soutien militaire total, balayant toute possibilité de négociation. Ces productions ne sont pas neutres, elles orientent l’opinion publique pour légitimer une escalade de la guerre. L’objectif n’est pas d’informer, mais de mobiliser l’émotion collective au service d’une politique belliciste.

BHL ne s’arrête pas aux conflits récents. Ses films sont toujours alignés sur les intérêts de l’OTAN et des cercles mondialistes qui cherchent à remodeler le monde selon leurs propres intérêts. En manipulant les récits historiques et en imposant une vision binaire des conflits, il contribue activement à la guerre informationnelle qui précède et accompagne chaque intervention militaire.

Arte et la culture comme outils d’endoctrinement

Arte ne se limite pas à financer les films de BHL. La chaîne est un relais culturel du progressisme mondialiste, diffusant des contenus qui servent une idéologie bien définie. La promotion du transgenrisme, du multiculturalisme forcé et du Great Reset y est omniprésente, noyant le spectateur sous une avalanche de productions militantes déguisées en œuvres artistiques.

Ce biais idéologique se retrouve dans les choix éditoriaux. Les films et documentaires financés par Arte participent à la déconstruction des repères traditionnels, en attaquant systématiquement la souveraineté des nations, les identités culturelles et les valeurs enracinées. En occupant l’espace médiatique avec des récits imposés, cette structure verrouille tout débat et impose une pensée unique.

Le contrôle d’Arte par des figures comme BHL n’est pas un hasard. Les élites mondialistes ont compris que la guerre culturelle est essentielle pour remodeler les sociétés. En finançant massivement des œuvres conformes à leur vision du monde, elles transforment la culture en un outil d’ingénierie sociale. Ce n’est plus de l’art, mais une propagande institutionnalisée, destinée à préparer les populations aux transformations imposées par les grandes instances supranationales.

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Une réponse

  1. un procès contre saint BHL , la Lumière cascher de la République ?
    Quelle horreur !
    On sombre dans l’ antisémitisme; les bêtes immondes tuent les dieux de la Démocratie et des Droits de l ‘Homme.

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