Le 23 novembre à 12h30, Mike Borowski anime un direct d’actualité sur Géopolitique Profonde.
La crise sanitaire et les injections Covid-19 : une interrogation nationale
Depuis décembre 2019, le monde vit au rythme des conséquences de la pandémie de Covid-19. En France, la gestion de cette crise sanitaire a marqué un tournant sans précédent. Confinements successifs, port du masque obligatoire, déploiement du pass sanitaire et du QR code : autant de mesures qui ont bouleversé le quotidien des citoyens et provoqué des débats passionnés.
Parmi ces réponses à la pandémie, les campagnes de vaccination massive ont été présentées comme l’outil central pour mettre fin à la crise.
Un coût financier exorbitant
Le coût de la gestion de la pandémie a atteint des sommets historiques. Selon les rapports officiels, plus de 600 milliards d’euros ont été dépensés pour faire face à la situation. Ces dépenses incluent l’achat des doses de vaccins, les aides massives octroyées aux entreprises mises en difficulté par les restrictions, ainsi que le renforcement des moyens pour les hôpitaux. Leur efficacité et leur impact à long terme restent des sujets de controverse.
Parallèlement, des interrogations persistent sur les conséquences des injections de vaccins anti-Covid-19, particulièrement concernant leurs effets secondaires. Alors que les campagnes de vaccination se sont déroulées à un rythme effréné, le débat public sur leur innocuité a été largement occulté.
Effets secondaires : un tabou médical ?
Deux ans après le début des campagnes de vaccination, des milliers de personnes rapportent des effets secondaires qu’ils attribuent aux vaccins. Selon Le Figaro, plus de 200 000 cas d’effets indésirables ont été recensés en France. Parmi eux, des témoignages bouleversants évoquent des douleurs chroniques, des troubles neurologiques, des myocardites, voire des cas de paralysie. Si ces patients réclament reconnaissance et prise en charge, ils dénoncent également une forme de silence médical autour de leur situation.
Ce silence intrigue. Pourquoi les effets secondaires ne sont-ils pas davantage discutés ou pris en compte dans les discours publics ? La réponse serait à chercher dans les rapports de force économiques et politiques. Les laboratoires pharmaceutiques, ayant imposé une narration unique autour des vaccins, auraient contribué à faire taire les voix dissidentes.
L’argent au cœur du débat
La question des profits liés à cette crise reste également au centre des préoccupations. Les géants pharmaceutiques, comme Pfizer et Moderna, ont enregistré des bénéfices records, transformant la crise sanitaire en une opportunité économique sans précédent. Pendant ce temps, les États se sont retrouvés dans une position paradoxale : garants de la santé publique, mais aussi relais obligés de ces entreprises.
Cette situation soulève une interrogation cruciale : à qui profite réellement cette crise ?
Les 200 000 cas d’effets secondaires recensés pourraient bien ne représenter que la pointe de l’iceberg. Si ces chiffres sont sous-estimés, les véritables conséquences sanitaires des vaccins pourraient encore se révéler au fil des années.
Vers une crise de confiance généralisée ?
Au-delà des chiffres, la pandémie a profondément altéré la relation entre les citoyens et les institutions médicales. La gestion perçue comme opaque de la crise, le manque de transparence sur les effets secondaires des vaccins, ainsi que les profits astronomiques des laboratoires pharmaceutiques nourrissent une défiance croissante.
Cette crise de confiance ne se limite pas au domaine sanitaire. Elle illustre une fracture plus large entre une partie de la population et les élites politiques et économiques, accusées de servir des intérêts privés au détriment du bien commun.
La pandémie de Covid-19, au-delà de ses dimensions sanitaires, restera un tournant majeur, révélateur des failles structurelles de nos sociétés. Le débat sur les vaccins ne fait que commencer, et ses répercussions pourraient bien s’étendre sur des décennies.
8 Responses
Exposé magistral, clair, émouvant et teinté parfois d’humour merci de réveiller les consciences. Votre travail est remarquable
Seulement 1 à 10% des remontées de pharmacovigilances sont effectuées par les médecins ou pharmaciens . On peut multiplier par 100 le nombre de 200 000 victimes de ces injections .
Georges Prado dans le chat est payé pour faire peur aux non injectés. Ne mordez pas à l’hameçon
L’autruche prise comme proie qui met sa tete dans le sable se fait presque toujours massacrer.
Ils ne voulaient rien entendre et rien voir maintenant c’est le carnage public.. Le réveille sera difficile pour certains.
Oui, en effet, ceci dit, comment retirer les produits dans notre corps. Suite à 3 injections. Il y a bien une solution, n’est-ce pas ? Un manque de moyens auprès des contacts aidants : Où ? Comment ? Avec qui ? Qui a-t-il vraiment dans notre corps. Est-ce une bombe 💣 à retarder à échelle humaine ? Que vont devenir ces gens ayant fait 3 vaccins ? Informer ou pas, tout est dit et ces contraintes. Sommes-nous en mesure de n’avoir aucune conséquence dans le temps ⌛ ? Les signes avant courreurs ? Pourquoi le gouvernement aurait voulu tuer à long terme son peuple ? Quel intérêt ?
Il y a des pistes pour soigner les effets secondaires des vax dans le livre de j m Sabatier : Covid long et effets secondaires des vaccins !!!! Et beaucoup de vidéos