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VOICI POURQUOI LE CANCER MONDIALISTE EST EN PHASE TERMINALE EN FRANCE | JEAN-MICHEL VERNOCHET | GPTV

Le 22 avril à 18h30, Jean-Michel Vernochet, Philippe Herlin, Stéphanie Reynaud et Jean-Luc Robert seront nos invités, en direct sur Géopolitique Profonde.

Jean-Michel Vernochet est un géopolitologue, journaliste et essayiste français. Ancien membre de l’organisation Égalité et Réconciliation, il a également fondé l’association humanitaire “Terre Future” et a enseigné à l’École supérieure de journalisme de Paris.

Philippe Herlin est un économiste et essayiste, qui publie chez Eyrolles. Il est Docteur en économie du Conservatoire National des Arts et Métiers (CNAM) en 2012, et il a eu le “Prix Spécial du Jury” du 24e Prix Turgot décerné le 12 avril 2011 pour « Finance : le nouveau paradigme ». Il s’intéresse notamment à l’or et aux monnaies complémentaires telles que le bitcoin.

Stéphanie Reynaud est comédienne. Elle est également passionnée par les médias et la communication, et anime la chaîne YouTube nommée « Tribune Libre », où elle interviewe des personnalités diverses sur des sujets d’actualité.

Jean-Luc Robert est psychologue et enseignant spécialisé dans le domaine des Troubles du Spectre Autistique depuis 2001. Il développe une méthode de guidance parentale à domicile : LezAPe (Les Ateliers Parents-enfants), afin d’aider les parents à apporter les meilleures réponses possibles aux troubles du comportement de leur enfant. Il a publié récemment L’enfant et ses désirs insatiables.

Pour cette émission, nous débattrons autour d’un sujet important, qui impacte fortement la société occidentale : le wokisme.

Le wokisme, désigne un courant de pensée progressiste qui lutte pour une certaine conception de la justice sociale, à travers la défense de diverses causes telles que le racisme, le sexisme, et les droits des LGBT+. Ce mouvement, qui trouve ses origines dans le militantisme afro-américain, est aujourd’hui au cœur de débats houleux, tant pour ses méthodes que pour ses idées.

La discussion autour du wokisme soulève des questions fondamentales sur l’identité, la culture et la politique.

Le wokisme, bien que se présentant comme un mouvement progressiste et émancipateur, fait l’objet de critiques virulentes. Certains le perçoivent comme une idéologie qui divise la société en catégories rigides et antagonistes, créant ainsi de nouvelles formes de domination et d’exclusion. Les détracteurs du wokisme l’accusent de promouvoir une vision manichéenne du monde, où les individus sont jugés non pas sur leur mérite ou leur individualité, mais sur leur appartenance à des groupes sociaux ou ethniques.

Le wokisme, dans sa dimension LGBT est aussi fortement critiqué. Cherchant à promouvoir une plus grande reconnaissance et égalité pour les personnes LGBTQ+, le militantisme de cette communauté, notamment auprès de la jeunesse pour diffuser la théorie du genre, fait l’objet de vives critiques.

La cancel culture, souvent associée au wokisme, est critiquée pour sa tendance à réprimer la liberté d’expression et à encourager la censure. Elle est vue par certains comme un outil d’intolérance, où les erreurs et les opinions divergentes ne sont pas permises, menant à l’ostracisation et à l’effacement public des personnes ciblées.

Ces critiques soulignent les risques potentiels d’une polarisation accrue et d’une cohésion sociale affaiblie, posant la question de savoir si le wokisme pourrait, en fin de compte, conduire à des conflits plus profonds au sein des sociétés occidentales.

Dans un monde où les idées et les valeurs sont en perpétuelle évolution, comprendre les courants de pensée tels que le wokisme est essentiel.

Ne manquez pas ce rendez-vous, le 22 avril à 18h30, en direct sur GPTV.

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2 Responses

  1. La France est une oligo-ploutocratie. Seule l’instauration de la démocratie pourra venir à bout du wokisme. Les quatre fondements de la démocratie sont le RIC constituant, les autres RIC (législatif, abrogatoire, révocatoire, veto…), le tirage au sort des représentants et les conventions citoyennes (définies par Jacques Testart). Il n’y a pas de partis politiques dans une démocratie. Ces derniers, arme de prédilection de l’oligarchie mondialiste, dressent les Français les uns contre les autres pour le plus grand profit de cette dernière.

    Élection versus Tirage au sort : Étienne Chouard nous démontre en 16 points les vertus du tirage au sort par rapport à l’élection : https://www.chouard.org/dossiers/tirage-au-sort/

    « Le suffrage par le sort est de la nature de la démocratie. Le suffrage par le choix est de celle de l’aristocratie. Le sort est une façon d’élire qui n’afflige personne ; il laisse à chaque citoyen une espérance raisonnable de servir sa patrie. »

    Montesquieu (1689-1755), extrait de « De l’esprit des lois » (1748).

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