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MACRON TAXE L’EAU EN BOUTEILLE ! | GÉOPOLITIQUE PROFONDE

Le 1er Décembre à 12h30, Mike Borowski vous donne rendez-vous pour un direct explosif au sujet d’une nouvelle dérive de l’écologie politique de Macron : la taxation de l’eau minérale.

La récente décision du Sénat de faire passer la TVA sur les bouteilles d’eau de 5,5 % à 20 % soulève une question fondamentale : cette mesure est-elle réellement écologique ou purement fiscale ?

La taxation des bouteilles d’eau : un prétexte écologique ?

Le Sénat a justifié cette augmentation par la nécessité de promouvoir des comportements écologiques. Selon les sénateurs, la réduction de la consommation d’eau embouteillée permettrait de limiter la pollution plastique. Cependant, derrière ce discours se cache une réalité économique : cette hausse devrait rapporter environ 300 millions d’euros par an à l’État.

Ce type de mesure s’inscrit dans une logique plus large d’écologie punitive, où les citoyens, déjà accablés par l’inflation, se voient contraints de payer davantage pour des produits de première nécessité. Le gouvernement prétend inciter à l’usage de l’eau du robinet, mais qu’en est-il de la qualité de cette dernière ?

L’eau du robinet : un faux choix écologique ?

La promotion de l’eau du robinet comme alternative soulève des inquiétudes légitimes. De nombreuses études dénoncent la présence de nitrates, résidus de médicaments et micropolluants dans l’eau potable distribuée par les réseaux publics.

En forçant les ménages à renoncer à l’eau embouteillée sous prétexte de fiscalité, le gouvernement ne risque-t-il pas de sacrifier la santé publique sur l’autel de l’écologie ?

Cette décision s’inscrit dans une logique globaliste inquiétante où les libertés individuelles – y compris celle de choisir son eau – sont progressivement restreintes.

Vers une taxation de l’air respirable ?

Cette hausse de la TVA sur l’eau rappelle les scénarios dystopiques évoqués dans les thèses du Great Reset, où chaque ressource essentielle à la vie pourrait devenir une source de profit pour les élites.

Si aujourd’hui l’eau est ciblée, qu’en sera-t-il demain ? Devons-nous nous attendre à une TVA sur l’air, justifiée par des objectifs climatiques ? Ces politiques, sous couvert d’écologie, masquent une volonté claire : augmenter les recettes fiscales tout en imposant un contrôle croissant sur les citoyens.

Conséquences : vers une société sous contrôle

Les conséquences de cette mesure pourraient être lourdes.

Sur le plan économique, les foyers les plus modestes risquent de subir de plein fouet cette augmentation, aggravant des inégalités déjà profondes.

Du côté de la santé publique, l’incitation à consommer l’eau du robinet pose problème, compte tenu des risques sanitaires liés à la présence de nitrates et autres polluants.

Enfin, cette centralisation accrue de la gestion de l’eau reflète une tendance inquiétante, où les décisions globales restreignent toujours davantage les libertés individuelles et le droit de choisir.

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Une réponse

  1. Il y a une solution, récupérer l’eau de pluie. Je connais des personnes qui ne boivent que l’eau de pluie, d’ailleurs, les chats préfèrent boire l’eau de pluie; ils ne boivent l’eau du robinet que s’ils n’ ont rien d’autre.

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