Le professeur Christian Perronne dénonce la gestion de la crise sanitaire en France
Le professeur Christian Perronne, chef du service des maladies infectieuses à l’hôpital Raymond-Poincaré de Garches, a accordé une interview exclusive à notre rédaction, dans laquelle il révèle les dessous de la crise sanitaire en France.
Il dénonce les mensonges, les manipulations et les conflits d’intérêts qui ont entaché la réponse du gouvernement à la pandémie de covid-19.
Il expose également les dangers des vaccins, les effets bénéfiques de l’hydroxychloroquine, et les pressions exercées par les lobbies pharmaceutiques.
Il appelle à une réforme de l’hôpital public, à une certification périodique des médecins, et à des poursuites judiciaires contre les responsables de la crise.
Christian Perronne, le médecin qui dénonce la crise du Covid-19
Christian Perronne est un médecin et un auteur qui a publié une trilogie de livres sur la crise du Covid-19.
Dans son dernier ouvrage, il pose 33 questions auxquelles les autorités n’ont pas répondu.
Il expose son point de vue critique sur la gestion de la pandémie, les traitements, les vaccins, les conflits d’intérêts, les manipulations médiatiques et les enjeux géopolitiques.
Un homme du système devenu lanceur d’alerte
Christian Perronne était un homme du système, expert en santé publique et en politique vaccinale.
Il a occupé des postes à responsabilité au ministère de la Santé, à l’OMS et à l’Inserm.
Il s’est battu pour la reconnaissance de la maladie de Lyme, une infection bactérienne transmise par les tiques, qu’il considère comme une bactérie de guerre modifiée par les Américains.
Il a vu dès le début la manipulation autour du Covid-19 et a pris position publiquement pour dénoncer les erreurs, les mensonges et les crimes commis pendant la crise.
Il a alors été victime de censure, de menaces et de sanctions professionnelles.
Scandale sanitaire
Le professeur Perronne affirme que la crise sanitaire a été gérée de manière catastrophique par les autorités françaises, qui ont menti à la population sur la gravité de la situation, sur la disponibilité des masques, sur les tests, sur les traitements, et sur les vaccins.
Il accuse le gouvernement d’avoir ignoré les alertes lancées par les experts indépendants, et d’avoir suivi les recommandations de l’OMS, qui est selon lui sous l’influence de la Chine et des laboratoires pharmaceutiques.
Il met en garde contre les dangers des vaccins, qu’il qualifie de “thérapies géniques”, qui n’ont pas été testés suffisamment et qui présentent des risques d’effets secondaires graves, voire mortels.
En outre, il affirme qu’ils ne protègent pas contre les variants du virus, et favorisent l’émergence de nouvelles souches plus résistantes.
Il s’oppose au passeport sanitaire, qu’il considère comme une atteinte aux libertés individuelles et une discrimination.
Des traitements efficaces interdits par les autorités
Le professeur Perronne révèle que l’hydroxychloroquine, un médicament utilisé depuis des décennies contre le paludisme, a montré des effets positifs contre le covid-19, en réduisant la charge virale et en prévenant les complications.
Il soutient que ce médicament a été injustement décrié et interdit en France, sous la pression des lobbies qui voulaient vendre des vaccins plus coûteux et moins efficaces.
Il dénonce également les études biaisées et frauduleuses qui ont été publiées pour discréditer l’Hydroxychloroquine, notamment celle du Lancet, qui a été rétractée par la suite.
Christian Perronne défend l’efficacité de l’Hydroxychloroquine, associée à l’azithromycine, un antibiotique, pour traiter le Covid-19.
Il cite des études scientifiques et des témoignages de médecins qui ont obtenu de bons résultats avec ce protocole et soutient également l’Ivermectine, un antiparasitaire, la vitamine D et le zinc, qui ont des effets bénéfiques sur le système immunitaire.
Il dénonce l’interdiction de ces traitements par les autorités sanitaires, qui ont privilégié le Remdesivir, un antiviral inefficace et toxique, et les vaccins, qu’il juge dangereux et inutiles.
Christian Perronne accuse les laboratoires pharmaceutiques de vouloir imposer des vaccins pour faire du profit, au détriment de la santé publique.
La destruction de l’hôpital public et du secret médical
Le Professeur Perronne dénonce la détérioration de l’hôpital public en France, causée par les politiques de droite et de gauche, des gouvernements successifs et explique comment il a été soumis à la logique de rentabilité, de bureaucratie et de corruption.
Il soupçonne une volonté de vendre les hôpitaux publics à des investisseurs américains, qui cherchent à faire des profits sur la santé.
Il déplore la loi HPST de 2009, qui a ôté le pouvoir médical à l’hôpital et donné le contrôle aux gestionnaires et aux politiques et qui a instauré la tarification à l’acte, favorisant ainsi la rentabilité au détriment de la qualité des soins
Il critique par ailleurs la gestion inefficace des ressources humaines, qui a conduit à la pénurie de personnel, à la démotivation des soignants, et à la dégradation des conditions de travail.
Il dénonce la pénurie de lits, de matériel et de personnel, qui a conduit à la saturation des services de réanimation et à la mise en place de triages des patients.
Christian Perronne alerte sur le dossier médical partagé, qui met fin au secret médical et expose les données de santé des citoyens aux sociétés privées, qui peuvent les exploiter à des fins commerciales ou de surveillance.
Il appelle à une réforme de l’hôpital public, qui passe par une revalorisation des salaires, une amélioration des équipements, une réduction des dépenses inutiles, et une meilleure organisation des services.
Le Professeur Perronne propose de créer des pôles d’excellence, qui regrouperaient les compétences et les moyens nécessaires pour traiter les pathologies les plus complexes.
Il suggère également de renforcer la coopération entre les hôpitaux publics et les cliniques privées, dans le respect de l’égalité d’accès aux soins.
La formation des médecins et le rôle du Conseil de l’Ordre
Christian Perronne regrette la dégradation de la formation des médecins, qui sont devenus des techniciens et non des cliniciens.
Il déplore leur soumission aux recommandations officielles et aux conflits d’intérêts, qui les empêchent de penser par eux-mêmes et de soigner leurs patients selon leur conscience et dénonce le Conseil de l’Ordre des médecins, qui sanctionne ceux ne suivant pas la doxa et qui osent prescrire des traitements alternatifs.
Il appelle les médecins à se révolter contre ce système qui les opprime et qui les déshonore.
La collusion entre le gouvernement français et les cabinets de conseil américains
Christian Perronne révèle que la politique de Covid-19 a été gérée par des cabinets de conseil américains, comme McKinsey, Accenture ou Deloitte, qui ont été payés des millions d’euros par le gouvernement français.
Il s’interroge sur les liens entre ces cabinets et les intérêts géopolitiques des États-Unis, qui cherchent à affaiblir l’Europe et à contrôler le monde et espère que ces cabinets seront poursuivis pour crime contre l’humanité, pour avoir participé à la mise en place de mesures liberticides, inefficaces et mortifères, comme le confinement, le couvre-feu, le pass sanitaire ou la vaccination obligatoire.
Contrôle financier
Le professeur Perronne dénonce le contrôle financier exercé par des sociétés privées américaines, notamment Microsoft, sur le journal médical et les données de santé françaises.
Il explique que Microsoft a racheté le Lancet, le journal médical le plus prestigieux au monde, et qu’il a imposé sa ligne éditoriale, favorable aux vaccins et aux intérêts des laboratoires.
Il ajoute que Microsoft a également obtenu le marché du Health Data Hub, la plateforme qui centralise les données de santé des Français, et qu’il a accès à des informations sensibles et confidentielles, sans garantie de sécurité ni de respect de la vie privée.
Il demande une enquête sur le Pentagone, qui aurait dépensé des sommes astronomiques pour influencer la recherche médicale et la santé publique et le soupçonne ld’avoir financé des recherches sur les armes biologiques, et participé à la création du virus du covid-19, dans un laboratoire de Wuhan.
Il accuse le Pentagone d’avoir orchestré la pandémie, dans le but de déstabiliser la Chine, l’Europe, et le reste du monde.
Certification périodique
Le professeur Perronne annonce la création du Conseil national de certification périodique, qui vise à garantir les compétences des médecins et la qualité des pratiques professionnelles.
Il explique que ce conseil sera composé de médecins indépendants, élus par leurs pairs, et qu’il aura pour mission d’évaluer les connaissances et les aptitudes des médecins, tous les cinq ans, à travers des examens théoriques et pratiques.
Il précise que ce conseil sera également chargé de sanctionner les médecins qui ne respectent pas les règles déontologiques, ou qui commettent des fautes graves.
Il dénonce les pratiques douteuses dans le traitement de la tuberculose par des spécialistes français de la santé et affirme que ces spécialistes ont prescrit des médicaments inefficaces et toxiques, qui ont provoqué des résistances et des décès.
Il accuse ces spécialistes d’avoir été corrompus par les laboratoires qui fabriquent ces médicaments, et d’avoir falsifié les résultats des essais cliniques.
Le professeur Perronne révèle qu’il a été victime de harcèlement et de menaces, pour avoir dénoncé ces scandales.
Poursuites judiciaires
Le professeur Perronne évoque la possibilité de poursuivre les gouvernants pour crimes contre l’humanité, pour leur gestion de la crise sanitaire.
Il affirme avoir quitté son poste pendant la crise du covid, et avoir des liens avec des politiques et des hauts fonctionnaires, qui lui ont confié des preuves accablantes contre le gouvernement.
Il espère que ses détracteurs seront un jour confrontés à la justice, et qu’ils devront rendre des comptes pour leurs actes.
Il invite les citoyens à se mobiliser, à s’informer, et à résister à la dictature sanitaire et les encourage à signer la pétition qu’il a lancée, qui demande la levée de l’état d’urgence, la réouverture des lieux de culture, la liberté de choix thérapeutique, et la fin de la censure.
Il les exhorte à se joindre aux manifestations pacifiques, qui ont lieu tous les samedis, partout en France et les appelle à défendre leurs droits, leur santé, et leur avenir.
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