Le 24 janvier à 7h, Marc-Gabriel Draghi et Paul-Antoine Martin sont les invités de La Matinale animée par Nicolas Stoquer en direct sur Géopolitique Profonde.
Retrouvez Marc Gabriel Draghi à 7h15, suivi de Paul-Antoine Martin à 8h.
Marc Gabriel Draghi est un juriste français spécialisé dans l’histoire du droit. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages sur la question monétaire et l’histoire du capitalisme, dont « Le règne des marchands du temple », « Le grand reset en marche ! » et « La Grande Narration : Vers la mort des Nations ». Il dénonce les dangers du projet du Forum économique mondial, qu’il considère comme une tentative de soumettre l’humanité à une élite mondialiste.
Paul-Antoine Martin est un haut-fonctionnaire français, reconnu pour son expertise au sein des institutions publiques. Auteur du livre « Le clan des seigneurs : Immersion dans la caste d’État » publié chez Max Milo, il y dénonce les dérives de la haute administration et les mécanismes de pouvoir en place, souvent dissimulés au grand public. Son ouvrage offre une analyse critique du fonctionnement des élites politiques et administratives françaises.
Les Européens masquent leur impuissance par une censure déguisée en liberté d’expression
L’Union européenne dissimule son incapacité à relever les défis de la guerre de cinquième génération en instaurant une censure systématique sous couvert de lutte contre la désinformation. Cette stratégie prétend protéger la liberté d’expression, mais en réalité, elle érode les fondements démocratiques du continent. En cherchant à contrôler le narratif, Bruxelles révèle son impuissance stratégique, fragilisant davantage ses institutions.
Pendant ce temps, des puissances comme les États-Unis et la Russie dominent l’art de la guerre informationnelle. Face à ces adversaires, l’Europe s’enlise dans la répression interne au lieu de développer des réponses innovantes. Ce choix stratégique, à court terme et suicidaire, confirme le statut de l’Europe comme acteur secondaire dans la géopolitique mondiale.
Fico et la menace d’une révolution de couleur en Slovaquie
Robert Fico, Premier ministre slovaque, pointe du doigt un danger croissant : une tentative de déstabilisation politique orchestrée par l’Union européenne. Selon lui, son opposition frontale à une intégration européenne plus poussée pourrait faire de la Slovaquie une cible pour une « révolution de couleur ». Si cette crainte se vérifie, cela marquerait un tournant dramatique, mettant en lumière les dérives autoritaires des institutions européennes lorsqu’un État membre ose défier leur agenda centralisateur.
Ces accusations, bien que controversées, reflètent un climat de méfiance croissante au sein de l’Union européenne. Les pays critiques de Bruxelles deviennent des épouvantails à abattre, au prix de leur souveraineté politique. La Slovaquie, à l’instar de la Hongrie et de la Pologne, se retrouve désormais sous pression croissante.
Trump impose l’humiliation ultime : négocier la paix sans l’Europe
Donald Trump, en projetant de négocier directement avec Vladimir Poutine sur la crise ukrainienne, marginalise l’Europe d’une manière brutale et inédite. L’Union européenne, qui se considère comme un acteur majeur de la paix mondiale, se voit reléguée au rôle de spectateur impuissant. Cette mise à l’écart illustre l’incapacité de Bruxelles à influer sur les grandes décisions géopolitiques.
L’administration Biden, déjà agacée par l’indécision européenne, a ouvert la voie. Trump, avec son pragmatisme sans détour, enfonce le clou en plaçant les intérêts américains au centre des alliances. Le message est sans équivoque : l’avenir de l’ordre mondial se négocie sans Bruxelles, confirmant la perte de poids stratégique de l’Europe sur la scène internationale.
Et si Poutine demandait l’extradition de Fauci ?
Dans ce climat de tensions internationales, une rumeur éclate : et si Vladimir Poutine demandait l’extradition d’Anthony Fauci ?
Cette hypothèse, bien que provocante, souligne l’escalade dans l’utilisation des figures publiques comme armes de guerre diplomatique. Une telle demande ne viserait pas seulement Fauci, mais l’ensemble du système politico-sanitaire américain. Ce serait un coup de maître symbolique pour Moscou, accentuant encore davantage les fractures entre les alliés occidentaux.
L’État français sacrifie l’épargne des citoyens pour financer sa survie
En France, l’État puise sans vergogne dans l’épargne populaire pour pallier sa gestion catastrophique des finances publiques. Sous prétexte de transition écologique, les ménages se voient ponctionnés pour financer une dette publique devenue hors de contrôle. Cette opération, présentée comme un impératif climatique, masque en réalité l’incapacité chronique des élites à réduire les dépenses inutiles et à engager des réformes structurelles.
Avec une pression fiscale record et une confiance des citoyens au plus bas, le risque d’une explosion sociale se profile. Ce détournement de l’épargne populaire ne fait qu’approfondir le fossé entre les dirigeants et la population, exacerbant les tensions sociales dans un pays déjà fragilisé.
Vers une Union des Républiques socialistes Européennes ?
La gestion autoritaire de l’Europe et sa propension à étouffer les contestations internes rappellent une tendance inquiétante : celle d’une centralisation excessive à la soviétique.
Certains critiques parlent déjà d’une « Union des Républiques socialistes Européennes », où les États membres perdent progressivement leur souveraineté au profit d’un pouvoir central oppressant. Cette dérive alimente le scepticisme des peuples européens, renforçant les fractures internes au sein de l’Union.
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