DOMINATION PATRIARCALE : LA PANDÉMIE A SANCTIONNÉ LES MAUVAISES ÉTUDIANTES… ET LES PLUS BELLES !

Selon une nouvelle étude, des étudiantes séduisantes ont vu leurs notes chuter après être passées à l’apprentissage en ligne pendant la pandémie

Dans ce qui, nous en sommes sûrs, n’est qu’une coïncidence et rien de plus, les notes des étudiantes séduisantes examinées par une nouvelle étude ont chuté après que les cours aient été déplacés en ligne pendant les fermetures de Covid.

Une toute nouvelle étude intitulée « Student beauty and grades under in-person and remote teaching » a révélé que « lorsque l’enseignement se fait en personne, les étudiants séduisants obtiennent de meilleures notes« .

La même étude a révélé que « les notes des étudiantes séduisantes diminuent lorsque l’enseignement est dispensé à distance » et que « l’effet n’est présent que dans les cours où l’interaction entre l’enseignant et l’étudiant est importante.« 

L’article a demandé à un jury de 74 personnes d’évaluer le physique de 307 étudiants en ingénierie sur une échelle de 1 à 10.

Ils ont ensuite examiné les données qui sous-tendent les notes des étudiants avant et pendant les pandémies, au sein du programme de génie industriel de l’université de Lund.

« Cet article a montré que l’attrait facial des étudiants a un impact sur les résultats scolaires lorsque les cours ont lieu en personne« , conclut l’étude.

« Lorsque l’enseignement est passé en ligne après le début de la pandémie, les notes des étudiantes séduisantes se sont détériorées. Ce résultat implique que la prime à la beauté féminine observée lorsque l’enseignement est dispensé en personne est susceptible d’être principalement une conséquence de la discrimination« , poursuit l’étude.

« Au contraire, pour les étudiants masculins, il y avait encore une prime de beauté significative même après l’introduction de l’enseignement en ligne. Cette dernière constatation suggère que, pour les hommes en particulier, la beauté peut être un attribut améliorant la productivité.« 

« La pandémie nous a fourni une excellente occasion de démêler si cette prime à la beauté est due à la discrimination ou le résultat d’un attribut productif« , a déclaré au Times l’auteur de l’étude, Adrian Mehic, de l’université de Lund.

Vous pouvez consulter l’étude dans toute sa splendeur ici.

Pour relever le niveau et comprendre la véritable définition du patriarcat, revoir notre entretien avec Sylvain Durain :

Source : ZeroHedge

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0 réponse

  1. A quand la même étude discriminant les profs syndiqués à gauche VS ceux non-syndiqués ou syndiqués autre-part qu’à gauche concernant les notes différenciées « diversité »/ »sous-chiens »; « étudiants de gauche »/ »étudiants de droite »; « élèves lobotomisés-zombifiés mainstream »/ « élèves ayant un esprit critique » etc … ?

    Quitte à couper les cheveux en quatre autant les couper TOUS en quatre, sinon c’est de la discrimination et comme ils disent « discriminer (donc choisir) c’est mal ! »
    Mao, Staline et tous les pires criminels contre l’humanité eux-aussi n’étaient pas « pro-choix ». 😉

    Pour l’analyse : « élèves lobotomisés-zombifiés mainstream »/ « élèves ayant un esprit critique », nous savons d’avance les résultats que cela donnerait, la prime à la lobotomie-zombification est ce qu’il y a de plus commun dans l’en-saigne-ment.
    D’expérience : On entend de ces trucs hallucinants OKLM en salle des profs, mais au moins on peut faire semblant de bosser sans rater aucune miette des conversations en surenchère de « bienpensance » .
    Padamalgam, on ne va pas faire une règle sur la base d’un petit 80% profs, puisque depuis pas mal de temps déjà : « Achtung, se poser des questions ou poser des questions c’est déjà désobéir » 😀

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