Le 6 juin à 18h30, Thierry Seneclauze, Jean-François Chaperon, Olivier Piacentini et Anne-Laure Delinot seront nos invités, en direct sur Géopolitique Profonde.
Thierry Seneclauze est un agriculteur engagé, connu pour ses prises de position tranchées sur les problèmes agricoles. Il a notamment exprimé ses inquiétudes concernant les faiblesses de la politique agricole lors d’une assemblée plénière auvergnate et rhônalpine.
Jean-François Chaperon, président de la Coordination Rurale de l’Hérault, est un défenseur passionné de l’agriculture. Avec une expérience internationale et une connaissance approfondie des enjeux agricoles, il s’engage pour la diversité des terroirs et des méthodes de production.
Anne-Laure Delinot est une figure montante dans le domaine de la résistance agricole. Elle a récemment pris position sur la scène européenne, défendant la liberté d’expression et les intérêts des agriculteurs.
Olivier Piacentini est un essayiste, diplômé de l’Institut d’Études politiques de Paris, spécialisé dans les questions de mondialisation et de géopolitique. Il a publié plusieurs ouvrages, dont « Vers la chute de l’Empire occidental », « La mondialisation totalitaire », « Le mirage mondialiste » et plus récemment « La chute finale : l’Occident survivra-t-il ? ».
La mobilisation paysanne contre les politiques actuelles est un sujet brûlant.
Les agriculteurs, déjà éprouvés par des récoltes en baisse et des retards de paiement, font face à une crise sans précédent. La tragédie de Jean-Michel Sonac, dont la famille a été fauchée par une voiture, symbolise la détresse du monde agricole.
La visite de Gabriel Attal ainsi que ses promesses lors de la première mobilisation, n’a évidemment pas apporté les solutions attendues, laissant les agriculteurs dans l’incertitude tout en continuant de subir la crise qui les frappe de plein fouet.
Cette thématique, au cœur des préoccupations nationales, soulève des questions cruciales : la sécurité alimentaire, la survie des exploitations agricoles et l’impact des politiques gouvernementales sur la vie quotidienne des Français.
L’importance de cette discussion ne peut être sous-estimée.
Elle touche à l’essence même de notre société : comment nourrir notre nation tout en préservant l’intégrité de ceux qui travaillent la terre.
Comment lutter contre les directives européennes qui veulent tuer nos agriculteurs ?
Comment lutter contre la corruption des syndicats et les mensonges du gouvernement ?
Comment empêcher nos agriculteurs de mourir ?
C’est une opportunité unique de comprendre les réalités du terrain et d’entendre les voix de ceux directement affectés.
Ne manquez pas ce rendez-vous, le 6 juin à 18h30, en direct sur GPTV.
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2 réponses
L’agriculture française ne serait pas dans cet état pitoyable si la France était devenue une démocratie en 1958. Mais la Constitution de la Cinquième « République » (c’est en réalité une réprivée comme les quatre précédentes) française est, hélas, une Constitution oligarchique qu’Etienne Chouard qualifie d’ « anticonstitution ». Si la France était dotée d’une Constitution démocratique il serait facile de sauver son agriculture à coups de RIC précédés de conventions citoyennes. Les quatre fondements de la démocratie sont le RIC constituant, les autres RIC (législatif, abrogatoire, révocatoire, veto), le tirage au sort des représentants et les conventions citoyennes (définies par Jacques Testart). Il n’y a pas de partis politiques dans une démocratie. Ces derniers, arme de prédilection de l’oligarchie mondialiste, dressent les Français les uns contre les autres pour le plus grand profit de cette dernière.
C’est tout le monde dans la rue sans exception y en à marre de ces corrompus et menteurs, sionistes qui nous gouvernent, lesgens attendent quoi, les endormis qui ne se rèveillent pas, ras le bol de ces manipulateurs qui ne cessent de monter les gens les uns contre les autres, faut virer toute cette merde