Le 7 juin à 18h30, Oskar Freysinger, Nicolas Stoquer, Lara Stam et Jérémy Marquie seront les invités de la Grande Émission animée par Mike Borowski, en direct sur Géopolitique Profonde.
Oskar Freysinger est une figure politique suisse bien connue, membre de l’Union démocratique du centre (UDC). Il a été fondateur de l’UDC Valais en 1999 et a servi comme député du canton du Valais au Conseil national de décembre 2003 à novembre 2015. Il a également occupé le poste de conseiller d’État valaisan entre 2013 et 2017. Freysinger est également connu pour son engagement dans des débats politiques vifs, ce qui a contribué à sa notoriété au sein du paysage politique suisse.
Nicolas Stoquer est un géopolitologue et un expert en intelligence économique. Il est également patron d’émission à Radio Courtoisie, où il anime notamment Le libre journal de Géopolitique Profonde en partenariat avec notre média.
Lara Stam est chroniqueuse sur Radio Courtoisie aux côtés de Nicolas Stoquer, notamment sur le Libre Journal de Géopolitique Profonde.
Jérémy Marquie est un analyste politique et fondateur du mouvement France&Vous, connu pour son approche participative de la politique. Il se distingue par son engagement envers la démocratie directe et son plaidoyer pour une plus grande implication citoyenne dans les décisions nationales.
La démocratie directe en Suisse est vue comme un modèle unique qui permet aux citoyens de jouer un rôle actif dans la gouvernance de leur pays. Les institutions directes suisses, telles que les référendums et les initiatives populaires, ont permis aux citoyens de proposer et de voter sur des lois importantes, façonnant ainsi la politique et la société suisses de manière significative.
Cependant, ce modèle fait face à des défis contemporains, notamment la complexité croissante des questions politiques et la mondialisation. La question se pose de savoir comment maintenir l’efficacité de la démocratie directe dans ce contexte changeant. De plus, la neutralité suisse, qui accueille en son sein de nombreuses institutions mondialistes, présente des défis uniques pour l’harmonie et la stabilité du pays.
La neutralité de la Suisse en matière de politique étrangère est un autre pilier de son modèle politique. Cette position a permis à la Suisse de jouer un rôle de médiateur dans les affaires internationales et a influencé sa politique intérieure en favorisant une approche non interventionniste. Cependant, dans un monde de plus en plus interconnecté, la pertinence et l’impact de cette neutralité sont régulièrement remis en question.
Malgré son image de pays démocratique et neutre, la présence de nombreuses entreprises privées apatrides, l’organisation d’événements majeurs de la caste politique mondialiste, une question importante se pose : la Suisse est-elle le berceau actuel du mondialisme ?
Ne manquez pas ce rendez-vous, le 7 juin à 18h30, en direct sur GPTV.
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3 réponses
Vers 55:00 Lara Stam n’a pas compris que l’âne de Paris a organisé un RIO à Paris (référendum d’initiative oligarchique) et non un RIC (référendum d’initiative citoyenne). Pourtant Oscar Freysinger avait parlé du RIC en Suisse auparavant. Il y a encore des partis politiques en Suisse. Ce n’est donc pas encore une vraie démocratie.
Au début de l’émission le jeune droitard Jérémy Marquie m’a agréablement surpris en se faisant l’avocat de la démocratie directe, mais à la fin de l’émission il parle avec passion de la politique politicienne ! C’était trop beau pour être vrai…
Les quatre fondements de la démocratie sont le RIC constituant, les autres RIC (législatif, abrogatoire, révocatoire, veto), le tirage au sort des représentants et les conventions citoyennes (définies par Jacques Testart). Il n’y a pas de partis politiques dans une démocratie. Ces derniers, arme de prédilection de l’oligarchie mondialiste, dressent les Français les uns contre les autres pour le plus grand profit de cette dernière.
Élection versus Tirage au sort : Étienne Chouard nous démontre en 16 points les vertus du tirage au sort par rapport à l’élection : https://www.chouard.org/dossiers/tirage-au-sort/
« Le suffrage par le sort est de la nature de la démocratie. Le suffrage par le choix est de celle de l’aristocratie. Le sort est une façon d’élire qui n’afflige personne ; il laisse à chaque citoyen une espérance raisonnable de servir sa patrie. »
Montesquieu (1689-1755), extrait de « De l’esprit des lois » (1748).
Les référendums sont issus des citoyens et non des politiciens
limage et flou chef